jeudi 31 octobre 2013

Manifestation à Quimper: vers une fédération des régions mécontentes? - L'édito de Christophe Barbier

Hollande, il est urgent de ne rien faire


Jeudy Politique : Hollande, il est urgent de ne... par lejdd

Chantal Jouanno : « Je ne vais pas pleurer sur les grands clubs de foot


Chantal Jouanno : « Je ne vais pas pleurer sur... par FranceInfo

PolitiqueS : Martin Hirsch, président de l’Agence du service civique


PolitiqueS : Martin Hirsch, président de l... par LCP

Zemmour : « Le mariage de Bayrou et de Borloo est célébré dans les ruines

Écotaxe : Une reculade caractérisée et une défaite politique

Dominique Bussereau : l'écotaxe est une bonne taxe

Bourdin Direct: Bernard Cazeneuve - 31/10

l'expresso du 31/10

"Les images de l'arrivée des otages m'ont laissée dubitative. Leur extrême réserve, leur habillement : étonnant." Sur Europe 1, Marine Le Pen a dit ressentir un certain trouble en découvrant les images des ex-otages français après leur libération. "La barbe taillée d'une manière étonnante, l'habillement étrange, le chèche... Ça mérite des explications", a-t-elle poursuivi, sans en dire plus : "Non, je ne suis pas dans l'allusion, je vous explique le sentiment que j'ai eu et je pense qu'il est partagé par un certain nombre de Français. Je n'irai pas jusqu'à faire des théories, je crois que je ne serais pas dans mon rôle."

La mise au point

Le ministre Alain Vidalies, interrogé sur la libération des quatre otages d'Arlit, a répété sans relâche jeudi matin que "la France ne verse pas de rançon". Sur i-Télé, le ministre délégué aux Relations avec le Parlement a assuré qu'"il n'y a pas eu de rançon versée. C'est l'application d'un principe posé avant que cette affaire ne soit dénouée, qui vaut pour les autres affaires, pour les autres otages, c'est que la France ne verse pas de rançon". Oui, mais les services secrets contre la parole officielle, la nécessité de ne pas motiver des preneurs d'otages? "La France ne verse pas de rançon", a-t-il réitéré.

L'annonce

Marion Maréchal-Le Pen a trouvé son point de chute pour les municipales. La jeune députée FN souhaitait aider une liste dans l'une des trois mairies gagnables de sa circonscription du Vaucluse. Ce sera finalement à Sorgues qu'elle donnera un coup de main à Gérard Gérent, un conseiller municipal de l'actuelle majorité UMP. Elle sera seconde de cette liste Rassemblement Bleu Marine.

La prévision

Dominique Buserreau, député UMP, en est quasi-sûr. Nicolas Sarkozy sera candidat en 2017. Il a rencontré l'ex-président il y a peu, dans ses bureaux de Miromesnil, à Paris. "Je suis plutôt ressorti de cette rencontre - qui était dans un cadre plutôt amical et familial - avec l'idée qu'il serait candidat", explique-t-il ce jeudi sur RTL. "Il n'y a pas un visiteur de Nicolas Sarkozy, depuis qu'il a quitté l’Élysée qui est allé le voir rue de Miromesnil ou qui l'a rencontré dans une autre circonstance, qui ne ressorte pas avec l'idée que Nicolas Sarkozy a envie d'être candidat."

http://www.lejdd.fr/Politique/Marine-Le-Pen-genee-par-la-barbe-des-ex-otages-636439

mercredi 30 octobre 2013

La libération des otages, Cazeneuve et Obama: Les cartons de la semaine - L'édito de Christophe Barbier

Bourdin Direct: François Rebsamen - 30/10

François Hollande à propos des autres otages français : "nous devons tout faire"

L'expresso du 30/10

La ministre du Logement, Cécile Duflot, veut rester au gouvernement, malgré le sort réservé à l'écotaxe: "La question de ma place au gouvernement se pose légitimement", a-t-elle avancé toutefois mercredi, sur Europe 1. Pour elle, le report, et non un "abandon" est une "bonne décision", a-t-elle expliqué. Elle s'estime "plus utile" au gouvernement que "dans la critique" : "Je préfère avoir les moyens d'action que simplement les moyens d'expression. Ma culture, c'est celle de l'action."
Lire aussi l'interview de Noël Mamère : "Ecologistes, qu'est-ce que vous faites dans cette galère?"

L'annonce

Le patron des sénateurs socialistes François Rebsamen a annoncé mercredi sur BFMTV qu'il allait demander une commission d'enquête sur la création de la société Ecomouv, chargée de contrôler et de collecter l'écotaxe. "Je vais le faire, on verra si cela est accepté", a-t-il expliqué.

L'explication

La ministre de la Réforme de l'Etat, Marylise Lebranchu, a estimé mercredi qu'il fallait désormais "se retrouver autour de la table", pas "dans la rue" pour résoudre la crise en Bretagne cristallisée autour de la bataille contre l'écotaxe. Interrogée sur France 2, la ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique, qui est aussi l'un des ministres élus de Bretagne, a une nouvelle fois appelé chacun à prendre ses "responsabilités", fustigeant une "surenchère".

La promesse

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a assuré, sur RTL, que des actions seraient menées pour libérer les autres otages français dans le monde : François Hollande est déterminé à conduire "toutes les actions nécessaires pour libérer tous les otages", a-t-il promis.

L'attaque

Les accusations de l'hebdomadaire Valeurs actuelles, qui assure dans son prochain numéro à paraître qu'un "cabinet noir" à l'Elysée fouillerait les archives présidentielles de Nicolas Sarkozy pour sortir des affaires, n'étonnent pas Jean-Pierre Raffarin. "On voit bien que le gouvernement a un seul message : l'héritage", a-t-il lancé sur i-Télé. "Ils attaquent le passé pour légitimer leur impuissance."

L'aveu

Frédéric Beigbeder, écrivain et directeur du magazine Lui, l'humoriste Nicolas Bedos, les polémistes Yvan Rioufol et Eric Zemmour, l'avocat (de DSK et Charlie Hebdo notamment) Richard Malka ou encore Basile de Koch, époux de Frigide Barjot, révèlent dans un "manifeste" à paraître dans la revue Causeur leur point commun : ils vont "aux putes" comme ils disent, ou au moins soutiennent ceux qui y vont. Libération se fait l'écho mercredi de cette initiative, un texte défendant les clients de prostitués et contre une éventuelle pénalisation. La pétition se nomme "Touche pas à ma pute! Le manifeste des 343 salauds", en référence aux 343 Salopes qui défendaient, elles, la légalisation de l'avortement. Selon la directrice du magazine, Elisabeth Levy, ce texte a aussi pour but "d’emmerder les féministes d’aujourd’hui".

En coulisses

Révolution dans la cuisine élyséenne. Le chef du "château" part à la retraite et passe la main à son second. Le responsable de la gastronomie au sein du palais présidentiel, Bernard Vaussion, quitte ses fourneaux mercredi, après 40 ans au-dessus des casseroles de six chefs d'Etat. C'est Guillaume Gomez, 35 ans, qui le remplace. Ce n'est pas un second couteau : il a été meilleur ouvrier de France et a été décoré de l'Ordre national du mérite par Nicolas Sarkozy pour ses bons services rendus.
 

mardi 29 octobre 2013

Impôts: les promesses du candidat Hollande


Impôts: les promesses du candidat Hollande par LeHuffPost

Barnier : "Arrêtez d'accuser Bruxelles"


Barnier : "Arrêtez d'accuser Bruxelles" par FranceInfo

Ecotaxe suspendue : Copé "soulagé"


Ecotaxe suspendue : Copé "soulagé" par FranceInfo

Ecotaxe: «la confrontation et la violence doivent céder la place au dialogue»


Ecotaxe: «la confrontation et la violence... par Matignon

Ecotaxe: Noël Mamère parle d'un "manque de courage absolu" du gouv

Jean-Marc Ayrault suspend l'écotaxe sur tout le territoire

Montebourg s'en prend (encore) à une journaliste


Arnaud Montebourg flingue quatre journalistes... par 20Minutes

L'expresso du 29/10

Jean-François Copé a été interrogé mardi matin sur RTL sur les propos d'Alain Juppé, critiquant la "droite décomplexée" vantée par le président de l'UMP : "La droite ne fera jamais d'alliance avec le FN. La contrepartie, c'est qu'on ne fait pas de langue de bois, pas d'eau tiède", a-t-il expliqué, avançant : "Ce qui fait monter le FN, c'est le déni de réalité. Personne ne vote FN avec plaisir."

La phrase


"Le président de la République élude les problèmes du pays, il fait du slalom", a estimé François Bayrou sur i-Télé, au sujet de François Hollande.

La prédiction

Marine Le Pen n'est pas insensible aux sondages. Commentant l'impopularité record de François Hollande, elle a observé, sur France Inter : "Pour la première fois le FN est au même niveau que le PS pour les 'bonnes opinions'. Les courbes vont d’ailleurs se croiser", a-t-elle lancé, reprenant une expression du camp Sarkozy lors de la dernière campagne présidentielle.

L'attaque

Corinne Lepage espère une place sur les listes socialistes aux municipales à Paris. Seulement, elle voudrait que d'autres membres de son mouvement Cap 21, qui a soutenu François Hollande en 2012, trouvent également des places. Ce que la fédération socialiste de Paris lui refuse, n'acceptant que sa candidature à elle. Dans Libération, l'ancienne ministre critique la méthode : "A Paris, le sectarisme du PS est préoccupant ; y compris pour Hidalgo et le reste de sa campagne."

Les coulisses

Victimes des errements de la direction du PS sur le dossier Leonarda, le bras droit d'Harlem Désir devrait quitter son poste de directeur du cabinet du Premier secrétaire. Mehdi Ouraoui, que certains socialistes accusent d'être "le mauvais génie" d'Harlem Désir, va, selon Libération, partir de Paris pour tenter de s'implanter à Pau, en vue des municipales. Il pourrait faire face, lors de l'élection, à François Bayrou qui annoncera la semaine prochaine s'il se présente dans la capitale du Béarn.

http://www.lejdd.fr/Politique/Cope-Personne-ne-vote-FN-avec-plaisir-636108

La taxe à 75% est la plus stupide que l'on puisse imaginer

NKM : "L'overdose fiscale rend impossible l'écotaxe"

Bourdin Direct: Thierry Lepaon - 29/10

Suspension de l'écotaxe: "un geste courageux du Premier ministre", estime Marylise Lebranchu - 29/10

lundi 28 octobre 2013

Borloo : "L'écotaxe, une bonne idée dévoyée" o


Borloo : "L'écotaxe, une bonne idée dévoyée" par Europe1fr

Sondage BVA-Orange: "François Hollande devient le président le plus i

Durand: "Le gouvernement ne doit pas reculer en Bretagne" - 28/10

Le remaniement gouvernemental, une solution face à la crise?

Bourdin Direct: Jean-Vincent Placé - 28/10

L'expresso du 28/10

Presque timidement, Bertrand Delanoë a émis un début de critiques à l'encontre du gouvernement. Sur i-Télé, il a lancé : "Parfois c’est vrai que je ne comprends pas tout mais je leur fais confiance". Interrogé sur sa volonté présumée de devenir Premier ministre, il n'a pas été plus clair : "Je ne souhaite pas exercer de responsabilité politique classique, si je peux donner des coups de main, je le ferai."

L'annonce

Jean-Louis Borloo, patron de l'UDI, a confirmé les noces de son parti avec le MoDem pour la "semaine prochaine". "J'ai fait le pari de réunir toutes les familles centristes ; ce sera fait la semaine prochaine", a-t-il dit sur Europe 1. "François Bayrou et moi serons les deux leaders de ce mouvement", a-t-il ajouté, avant de définir brièvement la ligne politique de cette nouvelle formation : "On sera une alternative à la majorité actuelle. On veut un nouveau modèle de société."

La contradiction

Anne Hidalgo a changé d'avis sur l'affaire Leonarda. Interrogée lundi matin sur France Inter sur le cas de cette jeune fille d'immigrés kosovars contrainte à retourner dans son pays faute de papiers, elle a expliqué qu'elle ne souhaitait pas son retour en France. Le 18 octobre, elle demandait pourtant "solennellement" son retour.
 D.fr vous propose un condensé de l'info politique de lundi matin.

Le désaccord

Presque timidement, Bertrand Delanoë a émis un début de critiques à l'encontre du gouvernement. Sur i-Télé, il a lancé : "Parfois c’est vrai que je ne comprends pas tout mais je leur fais confiance". Interrogé sur sa volonté présumée de devenir Premier ministre, il n'a pas été plus clair : "Je ne souhaite pas exercer de responsabilité politique classique, si je peux donner des coups de main, je le ferai."

L'annonce

Jean-Louis Borloo, patron de l'UDI, a confirmé les noces de son parti avec le MoDem pour la "semaine prochaine". "J'ai fait le pari de réunir toutes les familles centristes ; ce sera fait la semaine prochaine", a-t-il dit sur Europe 1. "François Bayrou et moi serons les deux leaders de ce mouvement", a-t-il ajouté, avant de définir brièvement la ligne politique de cette nouvelle formation : "On sera une alternative à la majorité actuelle. On veut un nouveau modèle de société."

La contradiction

Anne Hidalgo a changé d'avis sur l'affaire Leonarda. Interrogée lundi matin sur France Inter sur le cas de cette jeune fille d'immigrés kosovars contrainte à retourner dans son pays faute de papiers, elle a expliqué qu'elle ne souhaitait pas son retour en France. Le 18 octobre, elle demandait pourtant "solennellement" son retour.
Elle s'est donc expliquée sur cette volte-face : "Choquée du manque de discernement de la police, je me suis élevée à ce moment là pour faire évoluer les choses."

L'explication

Que faire avec l'écotaxe? Stéphane Le Foll a annoncé dimanche soir des annonces" sur le sujet qui déchire notamment la Bretagne. Conseiller officieux de François Hollande et maire socialiste de Quimper, Bernard Poignant a expliqué la démarche, dans Ouest-France : "Nous ne pouvons la supprimer car cela joue pour la France entière. Un moratoire? C’est une autre façon de dire un abandon (…). Si nous nous privons de cette taxe, c’est un milliard en moins pour les travaux routiers et ferroviaires." L'édile a poursuivi, circonspect : "Ne peut-on abaisser cette somme? Peut-on la compenser autrement? Comme le dit Pierrick Massiot, ne peut-on reporter la charge sur la grande distribution? Ma solution aurait été de créer une taxe et de la prélever par satellite! Mais ce que je vois aussi, c’est que les licenciés manifestent avec les licencieurs. C’est une bizarrerie des luttes sociales!"

La prédiction

Jean-Vincent Placé, patron des sénateurs écolos, est revenu lundi matin, sur RMC, sur le possible aménagement de l'écotaxe : "Si le gouvernement cède sur l'écotaxe, il n'aura plus d'autorité sur rien."

L'attaque

Pierre Laurent, patron du Parti communiste, a une nouvelle fois désavoué la politique fiscale du gouvernement, sur France Info : "Le problème, ce n'est pas l'impôt. C'est l'injustice de l'impôt."

 http://www.lejdd.fr/Politique/Delanoe-sur-le-gouvernement-Parfois-c-est-vrai-que-je-ne-comprends-pas-tout-635967

dimanche 27 octobre 2013

Mgr di Falco : invitation ouverte à M. Jean-Marc Ayrault

Taxation de l'épargne: le gouvernement fait marche arrière - 27/10

Où est la haute autorité du PS?

Lors du référendum interne du 1er octobre 2009, les militants du PS ont voté la mise en place d'une haute autorité du parti, en charge, entre autres, d'examiner les contentieux électoraux internes. Mais depuis quatre ans, cette structure n'a toujours pas été constituée… "Pourtant, on risque d'en avoir besoin, notamment à Paris où plusieurs contentieux sont en préparation", annonce un juriste du PS.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Ou-est-la-haute-autorite-du-PS-635850

Régularisations : un tiers en plus

La circulaire Valls de décembre dernier devrait entraîner une hausse de 30% des régularisations. Ce document établit une série de critères précis, alors que, sous Sarkozy, les préfets disposaient d'une marge d'appréciation plus grande. Ils auraient reçu 50.000 demandes et 10.000 auraient déjà été satisfaites. Au ministère de l'Intérieur, on estime que 30.000 dossiers supplémentaires devraient recevoir une réponse favorable.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Regularisations-un-tiers-en-plus-635855

Ecotaxe: le jour où la Bretagne s'est révoltée - 27/10

Taxation de l'épargne: le gouvernement fait marche arrière - 27/10

samedi 26 octobre 2013

Valls préféré comme Premier ministre

Manuel Valls arrive en tête des personnalités de gauche pour succéder à Jean-Marc Ayrault à Matignon, avec 30% souhaitant sa nomination, selon un sondage Ifop pour le site d'information atlantico, publié samedi. Dans cette enquête, à la question "qui souhaiteriez-vous comme Premier ministre dans le contexte actuel de difficultés que connaît le gouvernement", 30% des personnes interrogées répondent Manuel Valls, 10% Martine Aubry, 6% Jean-Marc Ayrault, 4% Arnaud Montebourg, 4% Ségolène Royal, et 46% aucune de ces personnalités.
Parmi les sympathisants du PS, le ministre de l'Intérieur fait jeu égal avec la maire de Lille (25% chacun), M. Ayrault les talonne avec 21%. Suivent Ségolène Royal (9%) et Arnaud Montebourg (3%). 17% choisissent aucune de ces personnalités. Chez les sympathisants de l'UMP, Manuel Valls est largement en tête avec 49%. Martine Aubry est choisie par 4% de ces sympathisants, Jean-Marc Ayrault par un nombre insignifiant de sondés de cette catégorie, tandis que Arnaud Montebourg et Ségolène Royal le sont par 1% .
 

Bettencourt, Tapie, Compiègne: Eric Woerth et les affaires


Bettencourt, Tapie, Compiègne: Eric Woerth et... par BFMTV

La revue de presse de Tanguy Pastureau du 25 octobre 2013

vendredi 25 octobre 2013

Mali : pourquoi la France relance une opération militaire


Mali : pourquoi la France relance une... par francetvinfo

PolitiqueS : Michel Rocard, ancien Premier... par LCP

La France, c'est d'abord le droit du sang


La France, c'est d'abord le droit du sang par rtl-fr

Ayrault "ne se décourage pas" face au chômage - 25/10

Le Roux : "Valls, c'est le Zlatan du gouvernement


Le Roux : "Valls, c'est le Zlatan du... par lejdd

L'expresso du 25/10

Dans une interview au quotidien régional Ouest France, Jean-Marc Ayrault confirme qu'il n'a pas l'intention d'abandonner l'écotaxe qu'il considère" indispensable pour nos infrastructures, pour l’ensemble du pays". Il a toutefois annoncé la mise en place d'un observatoire pour identifier les problèmes posés et les corriger.

La polémique

Selon Libération,Bernard Tapie a payé 11,2  millions d'euros d'impôts sur l'argent reçu au terme de l'arbitrage dans son litige qui l'oppose au Crédit Lyonnais. Cela correspond donc à une "ristourne de 54 à 83 millions d'euros" qui aurait été "accordée en avril 2009 par le ministre du Budget de l'époque, Eric Woerth, contre l'avis de l'administration fiscale".

Le suspense

"Rien ne s'oppose à ce que le contrat de mariage (entre UDi et MoDem, Ndlr) soit signé", a assuré Hervé Morin sur i-Télé. "Ce n'est plus qu'une question d'agenda, c'est tout, plus rien ne s'oppose, ni sur la forme, ni sur le fond." Selon lui, il suffit donc "de trouver l'heure, la date, la salle de réunion".

La phrase

"Nous voulons connaître ce que la presse sait déjà et qu'elle va continuer à publier à partir des documents dits Snowden", a souligné le chef de François Hollande, qui s'attend à de nouvelles révélations dans l'affaire des espionnages de la NSA.
 

Bayrou et Borloo : Le mariage n'est pas encore signé

Les promesses tenues de François Hollande

Bourdin Direct: Michel Sapin - 25/10

Laurent Berger : Personne n'a la solution miracle contre le chômage

Un second maire claque la porte du PS

Un second maire socialiste en moins de 24 heures, David Derrouet, édile de Fleury-Mérogis dans l'Essonne, s'estime "trahi" par la politique du gouvernement français et annonce sa démission du Parti socialiste. Il appelle ceux "qui veulent bâtir une politique ambitieuse de redistribution réelle des richesses et veulent construire un autre modèle de développement économique et industriel" à se rassembler. Le maire de Fleury-Mérogis explique que la loi de finances 2014 que le gouvernement s'apprête à faire voter la semaine prochaine est la goutte d'eau qui a précipité sa décision.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Un-second-maire-claque-la-porte-du-PS-635464

jeudi 24 octobre 2013

Pierre Moscovici : "l'inversion de la courbe du chômage, c'est le pari du Président"


Pierre Moscovici : "l'inversion de la courbe du... par ITELE

Sondage: François Hollande, le "moins courageux" des présidents des trente dernières années

Foot et taxe à 75% : «plus de pain ni de jeux»

Copé : "L'inversion de la courbe du chômage ? Impossible !"

François Bayrou : Le contrat MoDem - UDI est prêt

Droit du sol, droit du sang : revenons à l'Histoire !

Frédéric Mitterrand : François Fillon est un homme qui est beau, oui

Hamon chez Bourdin:"le Medef, c'est le syndicat qui dit non à tout"

Politique Première: crise de nerfs dans la majorité - 24/10

L'expresso du 24/10

François Bayrou a assuré que le "contrat" liant le MoDem à l'UDI "est prêt". "Dans les jours qui viennent, on va officialiser" l'union avec le parti de Jean-Louis Borloo, a-t-il poursuivi sur RTL. Pour lui, c'est l'alliance "de deux mouvements politiques qui ont compris que séparés, ils ne pèseraient pas grand-chose".

La photo

Pour le Parisien magazine, à paraître vendredi, Ségolène Royal a pris la pose en toge blanche, pieds nus et drapeau français à la main. Comme l'explique Le Lab qui s'est procuré le cliché, la photo illustre son interview, donnée dans le cadre d'un dossier sur le courage en politique. "J'entends déjà dire que je me prends pour Jeanne d'Arc...", a confié la présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes.

Le suspense

Alors que Jean-Michel Apathie sur RTL lui demandait s'il allait être candidat à Pau pour les municipales en mars, François Bayrou a laissé planer le suspense. "Vous êtes gentils mais je ne parle pas de Pau sur les antennes nationales. C'est une ville magique, qui a une très longue histoire. Pour le reste, je répondrai sur Pau à Pau."

La date

Samia Ghali aura un rendez-vous au téléphone avec Jean-Marc Ayrault jeudi après-midi et un entretien à Matignon le 5 novembre "pour parler de l'aide de l'Etat à Marseille". "Je réclame l'aide de l'Etat pour Marseille, c'est une condition indispensable de rattraper notre retard notamment sur les transports", a expliqué la perdante du second tour de la primaire socialiste de la cité phocéenne sur Europe 1.

La demande

Selon VSD, Rachida Dati demande une pension alimentaire à Dominique Desseigne qu'elle considère comme le père de sa petite fille Zhora. L'ex-garde des Sceaux lui réclamerait 6.000 euros par mois nécessaire à l'éducation de son enfant. Fin 2012, Rachida Dati l'avait assigné en justice pour une reconnaissance en paternité. Le PDG du groupe Lucien Barrière n'a à ce jour jamais reconnu être le père de l'enfant.
 

mercredi 23 octobre 2013

Nathalie Kosciusko-Morizet invitée des 4 vérités sur France 2, le 23/10/2013


Nathalie Kosciusko-Morizet invitée des 4... par NKM

Monseigneur di Falco : péripéties électorales

Montebourg, Copé et Hollande: les cartons de la semaine - L'édito de Christophe Barbier

. Manuel Valls et Jean-Marc Ayrault ne sont "pas fâchés"


Stéphane Le Foll : "L'écotaxe maintenue au 1er janvier, mais aménagée"


Stéphane Le Foll : "L'écotaxe maintenue au 1er... par rtl-fr

Chatel et l'immigration : un "sujet majeur


Chatel et l'immigration : un "sujet majeur" par FranceInfo

L'UMP s'attaque au droit du sol


L'UMP s'attaque au droit du sol par ITELE

Droit du sol: "il faut que la nationalité française s'hérite ou se mérite"

Delphine Batho privée de sa permanence à la mairie de Melle

Delphine Batho a été contrainte de déménager sa permanence parlementaire par le maire PS de Melle (Deux-Sèvres), qui soutient Ségolène Royal.

L'ex-ministre de l'Ecologie n'est pas au bout de ses peines. Delphine Batho est privée de sa permanence de députée située dans la mairie de Melle, rapporte Sud Ouest. Yves Debien, le maire PS de cette commune des Deux-Sèvres, décrit comme un soutien indéfectible de Ségolène Royal, a demandé à Delphine Batho de quitter sa permanence parlementaire installée dans des locaux occupés pendant des années par Ségolène Royal.
"C'est une mesure de rétorsion. C'est regrettable parce que ce sont des méthodes d'un autre âge", a commenté l'ancienne ministre. Ségolène Royal, qui avait laissé à Delphine Batho sa circonscription des Deux-Sèvres en 2007, aurait selon le quotidien régional, inspiré la décision de l'élu de Melle, qui est par ailleurs membre du conseil régional où il préside le groupe socialiste.
"Aucune justification technique ou juridique", selon Batho
Ségolène Royal, qui ne cache pas avoir pris ses distances avec son ancienne protégée, a notamment déclaré que Delphine Batho qui avait été débarquée du gouvernement en juillet pour avoir critiqué le budget alloué à son ministère de l'Ecologie "avait atteint son seuil d'incompétence" en tant que ministre.
Delphine Batho s'est donc installée "deux cents mètres plus loin dans un nouvel espace inauguré en fin de semaine dernière", toujours selon Sud Ouest. Elle a souligné que "tout cela n'avait aucune justification technique ou juridique".
 

Sapin : Les chiffres du chômage "pas bons" en septembre

Le retour du débat sur le droit du sol

Bourdin Direct: Henri Guaino - 23/10

L'expresso du 23/10

"Au printemps nous ferons des propositions sur l'ensemble des questions d'immigration" a lui prévenu Christian Jacob sur Radio Classique. "J'ai demandé à ce q'on prenne six mois pour discuter, mais la loi Pasqua de 1993 (dont une partie a été abrogée par la gauche en 1998, Ndlr) me convient bien", a ajouté le président du groupe UMP à l’Assemblée. 

La proposition

"Je souhaite que l'on puisse soigner les étrangers en situation irrégulière, mais il faut instaurer une franchise", a proposé Bruno Le Maire à propos de la réforme de l’aide médicale d’état. "Il faut durcir les règles du regroupement familial pour garantir une bonne intégration des populations (…) C'est le contribuable français qui paye la lenteur du délai des demandes d'asile", a ajouté le député de l’Eure. 

La phrase 

"Parler d'immigration, c'est pas durcir son discours. C'est être humaniste", a jugé Luc Chatel sur France info, au sujet du projet de Jean-François Copé de réforme du droit du sol. 

La polémique

"Les contrats de génération ne sont pas un échec. Ça marche extrêmement bien dans les petites entreprises. Ça commence." C’est ce qu’a affirmé Michel Sapin sur Europe 1, après le premier bilan d’étape sur cette mesure dressé mardi : seulement 12.802 demandes d'aides à l'embauche avec ce contrat ont été enregistrées par l'administration. "Les chiffres du chômage (mercredi) ne seront pas bons. L'incident SFR a augmenté la hausse pour septembre", a également pronostiqué le ministre du Travail.

mardi 22 octobre 2013

La semaine "glacée" de François Hollande - l'édito de Christophe Barbier

Coup de froid dans les relations franco-américaines...


Coup de froid dans les relations franco... par euronews-fr

Immigration: Jean-François Copé veut réformer le droit du sol - 22/10

Samia Ghali: " Personne ne me rappelle à l'ordre" - 22/10

Municipales Paris: Hidalgo se félicite de l'accord avec le PCF

Affaire Leonarda: Ayrault apporte son soutien à Hollande - 22/10

A quoi joue Harlem Désir ?

Bourdin Direct: José Bové - 22/10

Leonarda : Placé souhaite que le mouvement lycéen reprenne - 22/10

Ayrault prône un "retour à l'essentiel" - 22/10

lundi 21 octobre 2013

Marseille : dépité, un partisan de Samia Ghali va "travailler pour Gaudin"


Marseille : dépité, un partisan de Samia Ghali... par ITELE

Projet de loi famille : L'âge de la majorité restera à 18 ans, assure Dominique Bertinotti

Bayrou, Le Pen et Mélenchon : même combat

Christian Jacob : Une gestion en dépit du bon sens de l'affaire Leonarda

L'affaire Leonarda devenue l'affaire François Hollande

Bourdin Direct: Harlem Désir - 21/10

La semaine "glacée" de François Hollande

dimanche 20 octobre 2013

Affaire Leonarda: EELV juge «inhumains et incompréhensibles» les propos de Hollande et Valls

Le parti écologiste souhaite que la collégienne et sa famille «puissent revenir sur le territoire au plus vite»...
Europe Ecologie-les Verts (EELV) a jugé ce dimanche «inhumains et incompréhensibles» les propos de François Hollande et Manuel Valls sur Leonarda. Le parti, dans un communiqué signé du porte-parole, Elise Lowy, demande que la collégienne kosovare et sa famille expulsés de France le 9 octobre «puissent revenir sur le territoire au plus vite», de même que le lycéen arménien Khatchit Khachatryan expulsé récemment en Arménie.
Samedi, François Hollande a proposé à Leonarda, 15 ans, de revenir en France, «seule». «La famille de Leonarda ne reviendra pas», a de son côté indiqué Manuel Valls dans une interview au Journal du Dimanche, en saluant le «geste de générosité» du Président.

«Discriminations inacceptables subie par les Roms»

«EELV tient à exprimer sa colère, son indignation et son incompréhension», écrit le parti écologiste, l'un des principaux partenaires des socialistes dans la majorité et qui compte deux ministres dans le gouvernement.  «EELV s'étonne que le droit à vivre en famille soit nié à ce point, au mépris des conventions internationales et demande que Leonarda et sa famille puissent revenir sur le territoire au plus vite».
«Un autre lycéen, Khatchit Khachatryan, a aussi été expulsé», déplore EELV. «Ces lycéens font les frais des politiques sécuritaires et répressives de nos gouvernements successifs, de cette violence administrative expulsive qui les livre à des circuits dangereusement non balisés pour lesquels ils sont impréparés, avec ou sans famille», selon la porte-parole. «Nous réclamons, comme les dizaines de milliers de lycéens et de personnes qui ont manifesté cette semaine, le retour de Khatchit et de Leonarda et de sa famille», dit-elle.
Selon EELV, la situation vécue par la famille de Leonarda «est aussi à mettre dans le contexte de discriminations inacceptables subie par les Roms».  «Cette situation inacceptable doit cesser, vite», lance le parti vert.

http://www.20minutes.fr/politique/1239139-20131020-affaire-leonarda-eelv-juge-inhumains-incomprehensibles-propos-hollande-valls

La note secrète de l'UDI Paris

Jean-Louis Borloo et la direction de l'UDI ont reçu mercredi une note confidentielle. Patrice Gassenbach, patron de la fédération parisienne, et Christian Saint-Étienne, candidat UDI à la mairie de Paris, y listent leurs candidats pour les arrondissements. L'occasion de dézinguer leur pire ennemi : le sénateur Yves Pozzo di Borgo, président du groupe UDI au conseil de Paris. "Il a manifestement perdu la tête, écrivent-ils. Son image est détestable et sa personnalité très contestée […]. Nous proposons, dès lors, de le suspendre et de ne pas l'investir." Autre cible : Marielle de Sarnez, à la tête du MoDem Paris, accusée d'avoir "fait son marché directement avec l'UMP : en négociant directement, elle a commis une faute stratégique […]. Elle n'apportera qu'un faible pourcentage de voix à NKM", estiment les deux "tontons flingueurs".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/La-note-secrete-de-l-UDI-Paris-634841

Dati "choquée" par les attaques contre Taubira

L'ancienne ministre de la Justice Rachida Dati (UMP) s'est déclarée dimanche sur France 3 "choquée" par les attaques visant Christiane Taubira, deux jours après la suspension d'une candidate FN qui l'avait comparée à un singe. "C'est très choquant ! Moi je suis choquée par les attaques que subit Christiane Taubira sur sa personne, sur son origine et sur ce qu'elle est (...) c'est ce que j'essaie de combattre", a dit l'eurodéputée à l'émission politique 12/13 Dimanche.
Si Rachida Dati combat "l'idéologie" de la garde des Sceaux et son projet de loi de réforme pénale, elle a "du respect pour elle comme femme, comme responsable politique", et "c'est normal" de la défendre à propos de son origine, son identité. "C'est pas la guerre, c'est pas la haine la politique, heureusement !", a-t-elle ajouté. Le FN a annoncé dimanche qu'il engagerait une "procédure judiciaire" contre Mme Taubira après sa réponse "outrancière" aux propos racistes d'Anne-Sophie Leclere, qui était candidate du parti d'extrême droite aux élections municipales à Rethel, dans les Ardennes. Samedi, Mme Taubira avait dénoncé la "pensée mortifère et meurtrière" du FN.
 

Municipales à Paris: le PS partira uni avec le PCF

Marseille: les enjeux du second tour de la primaire socialiste - 20/10

C POLITIQUE ce soir 18h00

Caroline Roux reçoit :
 
Jean-Louis Borloo
 

Président de l’UDI et du Parti radical

Les téléspectateurs peuvent commenter l'interview et poser leurs questions
 
en direct à l'invité via les réseaux sociaux et www.francetvinfo.fr



Une sélection est reprise à l'antenne en fin d'émission par Bastien Hugues.

samedi 19 octobre 2013

Jean-François Copé: " François Hollande a porté un coup terrible à

Ciotti : Hollande "couvre notre pays de ridicule"

Eric Ciotti n'a pas mâché ses mots sur l'affaire Leonarda. Interrogé par Europe 1 samedi soir, le député UMP des Alpes-Maritimes a déploré la réaction du Chef de l'Etat, qui propose que l'adolescente revienne en France, mais seule. "C'est une décision complètement absurde qui couvre notre pays de ridicule. Alors que ce matin, l'inspection générale de l'administration (IGA) a confirmé que les procédures juridiques d'expulsion avaient été scrupuleusement respectées, que le droit avait été respecté, une fois de plus, François Hollande prend une décision mi-chèvre mi-chou qui traduit son incapacité à gouverner", a-t-il lancé.
"Il donne cette décision absurde où Leonarda pourrait revenir seule. Aucune base juridique ne le permet. C'est une décision absurde et dangereuse. Elle bafoue les lois de la République et incite à les violer", a-t-il ajouté
 

Leonarda "n'abandonnera pas sa famille" pour venir en France


Leonarda "n'abandonnera pas sa famille" pour... par BFMTV

Marseille: "Il y a eu un front socialiste contre moi"

Leonarda: Désir souhaite "que tous les enfants de la famille puissent revenir

Affaire Leonarda : Valls aurait mis sa démission dans la balance

Selon Libération, le ministre de l'Intérieur, revenu des Antilles dès samedi matin, aurait laissé entendre qu'il pourrait claquer la porte du gouvernement si la jeune fille était autorisée à rentrer en France.

En visite aux Antilles depuis le milieu de la semaine, Manuel Valls ne devait rentrer à Paris que dimanche. Face à la vive polémique et aux critiques dont il fait l'objet après l'expulsion de Leonarda, le ministre de l'Intérieur a finalement décidé d'écourter son voyage. Il est ainsi revenu dans la capitale dès samedi matin -son avion a atterri à Orly vers 8h30.
 
Il a immédiatement reçu le rapport de l'enquête administrative sur les conditions de l'expulsion de la jeune fille. Il s'exprimera sur le sujet le plus rapidement possible, peut-être dès samedi, et dimanche au plus tard.
"Si elle revient, je peux m'en aller"
Sur le plan politique, Manuel Valls aurait, selon
Libération, menacé de démissionner si l'adolescente rom était autorisée à rentrer en France, comme Jean-Marc Ayrault l'envisage depuis jeudi. "Si elle revient, je peux m'en aller", aurait-il dit d'après Libération, qui cite des sources ministérielles. La menace sera évidemment d'autant plus forte si les conclusions de l'enquête montrent que le droit a été respecté et que Leonarda est malgré tout ramenée dans l'Hexagone.

Face à la situation,
François Hollande , qui ne s'est toujours pas exprimé sur le sujet, se retrouve dans une situation très compliquée. Soit il lâche Manuel Valls, son ministre le plus populaire, alors même que deux Français sur trois sont contre le retour de Leonarda. Soit il lâche une bonne partie de la gauche, outrée par les conditions d'expulsion de l'adolescente.
 

Tanguy Pastureau : NKM déteste les carottes

Manuel Valls de retour à Paris, fragilisé par l'affaire Leonarda - 19/10

vendredi 18 octobre 2013

Taubira comparée à un singe: le Front national n'a pas changé - l'édito de Christophe Barbier

Affaire Leonarda : les chiens de l'émotion sont lâchés


Affaire Leonarda : les chiens de l'émotion sont... par rtl-fr

Jean-Luc Mélenchon sur l'affaire Leonarda: "Manuel Valls doit démissionner

Lille: François Fillon soutient le principal concurrent de Martine Aubry

Fleur Pellerin : "Il y a encore peu de femmes créatrices d'entreprises

L'expresso du 18/10

Des lycéens parisiens étaient encore mobilisés vendredi matin, pour protester contre les expulsions de mineurs sans-papiers. "Je leur demande de rentrer dans les établissements", a dit Vincent Peillon sur Europe 1. "Je demande aux lycéens de ne pas tout amalgamer, je leur demande, puisqu’ils défendent le droit à l’éducation, de ne pas bloquer ceux qui veulent entrer dans leur lycée et je leur demande de rentrer dans leur établissement", a insisté le ministre de l’Education nationale.

La phrase

"J'appelle les responsables de l'UMP, les républicains, à désavouer cette formulation de M. Copé, à s'en démarquer et à condamner cette forme de dérapage", a déclaré sur France 2 le patron du PS, Harlem Désir, après que le patron de l'UMP ait dénoncé jeudi un système "FNPS".

L'explication

Samia Ghali fera-t-elle de nouveau appel aux bus pour transporter des électeurs marseillais, dimanche lors du second tour de la primaire socialiste? La question lui a été posée sur RTL. "Il n'y a pas que des bus, il y a plus d'une centaine de voitures et de véhicules déployés", a déclaré la sénatrice PS, qui a justifié cette pratique. "Pourquoi ça choque? Ce sont des gens qui ont envie de faire gagner Samia Ghali", a-t-elle affirmé, qui dit "assumer de permettre aux quartiers populaires de se rendre aux urnes".

La mise au point

Son appel mercredi à protéger l'école des expulsions de sans-papiers avait été considéré comme une réponse à Manuel Valls. Sur Europe 1, le ministre de l'Education Vincent Peillon s'est défendu de toute opposition avec son collègue de l'Intérieur au sujet du cas Leonarda. "J’entends qu’il y aurait des polémiques au gouvernement. Non! il y a une politique du gouvernement", a-t-il lancé, en affirmant sa "solidarité" envers Manuel Valls. "Je soutiens Manuel Valls, je considère que c’est un excellent ministre", a-t-il insisté.
 
La critique
Les clubs de football menacent de faire grève la saison prochaine si la taxe à 75% entrait en vigueur. "C'est assez ridicule", a commenté sur i-Télé François de Rugy, co-président du groupe EELV à l'Assemblée nationale. "J’appellerai à un peu de décence, quand on est footballeur...", a ajouté l'élu du Loire-Atlantique, qui a cité l'exemple du club de Nantes, qui versait l'an dernier en Ligue 2 des salaires de "100.000 euros" à certains joueurs.
 

Vincent Peillon : "Je suis solidaire de Manuel Valls"

jeudi 17 octobre 2013

Jeudy politique : Valls casse la vaisselle à gauche


Jeudy politique : Valls casse la vaisselle à... par lejdd

Florian Philippot (FN) : "Pour Leonarda, la loi doit s’appliquer


Florian Philippot (FN) : "Pour Leonarda, la loi... par lesechos

Ce que disaient Mennucci et Gaudin de Samia Ghali en 2008


Ce que disaient Mennucci et Gaudin de Samia... par publicsenat

Affaire Leonarda : "il faut défendre l'application du droit"

Najat Vallaud-Belkacem : Les accusations contre Valls sont ubuesques

"Faire l'inventaire du sarkozysme ? Une idée dangereuse"

Le cas Leonarda est aussi le cas Valls

Marine Le Pen, "meilleur opposant à François Hollande" selon un sondage

Leonarda: réaction de Najat Vallaud-Belkacem

Bourdin Direct: Martin Hirsch - 17/10

l'expresso du 17/10

Ancien ministre de l'Intérieur, Jean-Pierre Chevènement s'en est pris sur i-Télé à ceux qui critiquent le ministre de l'Intérieur depuis l'expulsion de Leonarda, une collégienne d'origine kosovare. "La gauche se tire une balle dans le pied en attaquant Manuel Valls et en attaquant une politique dont on ne peut faire l'économie", a affirmé le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen. Mettant en garde contre le "sans frontiérisme", le souverainiste de gauche a appelé le PS à dire "si son idéologie est celle d'un parti de gouvernement ou celle de Réseau éducation sans frontières". 

La phrase

"Aller chercher un enfant à la porte de son école ou dans une activité périscolaire ne fait pas partie de nos façons de faire", a déclaré sur RTL la porte-parole du gouvernement Najat Vallaud-Belkacem, au sujet de l'expulsion de Leonarda.

Le départ

Après presque 40 ans de bons et loyaux services, Bernard Vaussion tire sa révérence. Ce cuisinier n'est autre que le chef de l'Elysée, qu'il a rejoint en 1974, indique Le Parisien. A bientôt 60 ans, le natif d'Orléans aura servi six présidents de la République. Dans le quotidien, Bernard Vaussion révèle quelques anecdotes sur les habitudes des chefs de l'Etat. Ainsi, François Mitterrand aimait "surtout le poisson et les fruits de mer" et Jacques Chirac, "la choucroute et les escargots". Quant à François Hollande, "il n'est pas difficile, il aime tout".

L'explication

"L'évaluation" du quinquennat de Nicolas Sarkozy organisée jeudi par Jean-François Copé est boudée par la plupart des anciens ministres, dont François Fillon. Mais pour le député UMP Hervé Mariton, ce n'est pas un problème. "J'ai toujours pensé que les ministres n'étaient pas les mieux placés pour évaluer leur propre action", a déclaré sur i-Télé l'élu de la Drôme, qui fut lui-même ministre de Jacques Chirac.

Le regret

L'ex-ministre François Baroin, allié de François Fillon et proche de Nicolas Sarkozy, est fermement opposé au droit "d'inventaire" de l'UMP. "C'est inutile et dangereux, c'est une mauvaise séquence. Il faut vite que cette journée se termine", a lancé le député UMP de l'Aube sur Europe 1.
Revoir l'émission Décideurs politiques avec François Baroin : Pour 2017, "Sarkozy, Fillon ou Juppé"

L'optimisme

Sur i-Télé, le bras droit de François Fillon, Jérôme Chartier, assure que son leader "fait jeu égal avec Marine Le Pen". Pourtant, selon une enquête CSA pour BFMTV publiée mercredi, Marine Le Pen est considérée par 46% des Français comme la meilleure opposante à François Hollande. François Fillon, lui, ne reçoit que 18% d'avis en ce sens.

mercredi 16 octobre 2013

Assemblée nationale: Vif incident entre Vincent Peillon et Christian Jacob

Tout est parti d'une interpellation sur le cas de Leonarda...
Un vif accrochage s'est produit mercredi entre Vincent Peillon et les députés UMP à l'Assemblée nationale, où le ministre de l'Education a reproché à Christian Jacob d'«employer le vocabulaire de ceux qui n'aiment ni la démocratie ni la République».
A la faveur d'une réponse au député PS Erwann Binet sur la réforme des rythmes scolaires, le ministre s'en est pris au chef de file des députés UMP, qui s'était interrogé la veille sur la «légitimité» du gouvernement.
Lors des questions au gouvernement, où il a critiqué la «cacophonie» sur l'affaire Leonarda et épinglé «une majorité en perdition, à l'image de plusieurs ministres», Christian Jacob a aussi affirmé que «M. Peillon cherche un parachute doré au Parlement européen parce qu'il sait que sa réforme sur les rythmes scolaires ne résistera pas aux élections municipales».

Des appels à la démission de Peillon

«Je le dis très nettement à vous M. Jacob, qui employez le vocabulaire de ceux n'aiment ni la démocratie ni la République, je suis pleinement engagé auprès du Premier ministre et nous allons conduire jusqu'au bout la refonte de l'école, et nous allons réparer ce que vous avez abîmé», a lancé Vincent Peillon, lors des questions d'actualité au gouvernement.
Les protestations ont surgi immédiatement des rangs de l'UMP, où plusieurs députés, dont l'ex-président de l'Assemblée Bernard Accoyer, se sont levés et ont scandé «démission, démission».
Des huissiers se sont regroupés brièvement au bas de la partie droite de l'hémicycle pour parer tout mouvement vers les bancs du gouvernement.
Cherchant à ramener le calme, le président PS de l'Assemblée nationale Claude Bartolone a joué la carte de l'humour, en glissant à la droite: «Mes chers collègues, aucun télespectateur ne pourra imaginer que vous êtes d'accord avec M. Peillon. On se rasseoit.»

http://www.20minutes.fr/societe/1237577-20131016-assemblee-nationale-vif-incident-entre-vincent-peillon-christian-jacob

Victoire FN à Brignoles : "Les politiques n'ont que ce qu'ils


Victoire FN à Brignoles : "Les politiques n... par francetvinfo

Bruno Le Roux : "je pense qu'il ne fallait pas" expulser Leonarda


Bruno Le Roux : "je pense qu'il ne fallait pas... par ITELE

Primaires PS à Marseille: Caselli se rallie à Mennucci

Ghali, Valls et l'agroalimentaire breton: les cartons de la semaine

Leonarda: "S'il y a eu faute", l'arrêté d'expulsion sera annulé

Inauguration de la permanence de campagne dans le 14e


Inauguration de la permanence de campagne dans... par NKM

Marion Maréchal-Le Pen dénonce le show de Manuel Valls

Bourdin Direct: Jean-Louis Borloo - 16/10

L'expresso du 16/10

"Au point où on en est, au point où en est le gouvernement, je me demande s'il ne faut pas revenir devant le peuple", a affirmé sur BFMTV Jean-Louis Borloo, qui a dit avoir "l'impression que le gouvernement est aujourd'hui un canard sans tête". Evoquant notamment la "colère sociale", le président de l'UDI a demandé au chef de l'Etat de "réfléchir" à cette proposition. "Ça peut être une dissolution (de l'Assemblée nationale), ça peut être un référendum sur un sujet particulier", a-t-il détaillé. Cette échéance devrait avoir lieu selon lui "avant la fin d'année".

La mise au point

Chef de file des députés PS, Bruno Le Roux a critiqué à son tour l'expulsion d'une collégienne kosovare, la semaine dernière lors d'une sortie scolaire. "Il faut avoir quelques principes. Il doit y avoir une faculté de discernement", a-t-il expliqué. Pour autant, l'élu a assuré ne pas vouloir "tomber dans la stigmatisation d'un ministre de l'Intérieur aux antipodes" des précédents gouvernements. "Ce ne sont pas des méthodes de droite", a-t-il encore déclaré.

La polémique

Marion Maréchal-Le Pen a dénoncé sur RTL "deux poids, deux mesures", par rapport à "l'affaire du caquetage (à l'Assemblée) qui a fait tout un brouhaha à juste titre". Elle a été traitée le week-end dernier dans un tweet de "conne" et de "salope" par un assistant parlementaire d'un sénateur PS, en référence à la polémique entre Guy Bedos et Nadine Morano. "Non seulement le sénateur qui emploie cet assistant l'a défendu, mais de surcroît un certain nombre de responsables PS nous expliquent que 'bon c'est vrai, c'était pas utile, c'était grossier mais finalement elle l'a bien mérité'", a regretté la députée frontiste. Sur RMC, l'assistant parlementaire a dit "maintenir (son) humour Hara-Kiri".

La phrase

"Nous cherchons aujourd'hui de vraies solutions, mais nous savons aussi que la situation de la filière porcine est complexe", a affirmé sur Europe 1 Guillaume Garot, le ministre de l'Agroalimentaire, au sujet de la colère en Bretagne.

L'attaque

A l'occasion d'un débat sur France Bleu Provence, Samia Ghali a accusé son adversaire du second tour de la primaire socialiste de Marseille, Patrick Mennucci, d'être au coeur des "arrangements d'appareils". "Tu es le candidat de Paris, tu es le candidat de Matignon", a déclaré la sénatrice, en conflit ouvert contre l'exécutif.

L'explication

Interrogée sur l'éventuelle complaisance du FN à l'égard du régime syrien, Marion-Maréchal Le Pen a justifié : "Nous ne défendons pas M. Bachar El-Assad." "Ce régime totalitaire - il faut bien le dire - avait le mérite de préserver le droit des femmes, le droit des minorités", a déclaré la députée, résumant Damas et la rébellion à un "choix entre la peste et le choléra".

L'indignation

Le député UMP Laurent Wauquiez "trouve ridicule" la condamnation lundi d'un père de famille, pour avoir donné une fessée déculottée à son fils de 9 ans. "La justice s'occupe d'un homme qui a donné une fessée à son fils plutôt que de s'occuper des malfrats, de ce qui se passe à Marseille...", a déploré l'ex-ministre sur France 2. "Gardons un peu de bon sens", a-t-il encore affirmé.