mercredi 31 juillet 2013

Jean-Marc Ayrault: 16 pays "prioritaires" pour l'aide au développement

Clichy-sous-Bois: Hollande présente les emplois francs - 31/07

Zapping du jour -- 31/07: Un prisonnier s'évade dans l'Arkansas, Hollande

Chatel veut apprendre "la vraie vie" à Harlem Désir

Politique Première: l'UMP occulte le volet des idées - 31/07

Bourdin direct: Nadine Morano - 31/07

Pierre Moscovici : C'est la saison des fantasmes, des rumeurs

Hausses d'împots : tirs nourris de l'UMP sur le gouvernement

mardi 30 juillet 2013

Petite hausse de la cote de confiance de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault

La cote de confiance de François Hollande a gagné un point en juillet par rapport à juin, à 35%, tandis que celle de Jean-Marc Ayrault a pris deux points (32%), selon le baromètre Harris Interactive pour Délits d'opinion publié mardi.

Un point pour François Hollande et deux pour Jean-Marc Ayrault. La cote de confiance du couple de l'exécutif grimpe tranquillement en juillet. Le président atteint les 35% tandis que son Premier ministre est à 32%, selon le baromètre Harris Interactive pour Délits d'opinion publié mardi.
Toutefois, 64% des Français ne font toujours pas confiance au président de la République (43% "pas du tout", 21% "plutôt pas"), contre 35% d'un avis inverse. Le rapport était de 65-34 en juin. Comme le mois dernier 1% des sondés ne se prononcent. En ce qui concerne le Premier ministre, ce sont 67% des personnes interrogées qui déclarent ne pas lui faire confiance (43% "pas du tout", 24% "plutôt pas"), contre 32% lui témoignant leur soutien (69% contre 30% en juin). 1% NSP.
Valls en haut du podium
Au palmarès des ministres, c'est toujours le locataire de la place Beauvau, Manuel Valls, qui est en tête avec une cote de confiance à 51% (inchangée depuis juin).  Marylise Lebranchu, ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique, enregistre la plus forte progression, sa cote gagnant quatre points par rapport à juin, à 30%. Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, passe de 39% à 41%, se plaçant juste derrière M. Valls.
Fabius et Moscovici pénalisés
Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius est rétrogradé de la 2e à la 3e place du classement avec 38%. Comme lui le ministre de l'Économie Pierre Moscovici (27%) perd deux points.
* Sondage réalisé en ligne du 19 au 22 juillet auprès d'un échantillon de 1.226 personnes représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans (méthode des quotas).

Egypte : la France appelle à la libération de Morsi


Egypte : la France appelle à la libération de... par lefigaro

Zapping du jour - 30/07 : accident de train en Suisse, l'explosion en

En couverture de L'Express cette semaine : Le triomphe des sagesses

«Sarkothon» : course aux dons à l'UMP

Copé au Congo : la gauche dénonce de la "politique business"

Demorand au Grand journal

Le Pape François, Bernard Tapie et Erik Zabel : les cartons de la semaine

Souscription UMP : Vautrin se défend

La trésorière de l'UMP, Catherine Vautrin, a démenti mardi tout "arrangement" entre son parti et la Société générale, qui semble disposée à lui accorder deux mois supplémentaires pour rembourser les deux millions manquants, à la suite de l'invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy.
"Il n'y a strictement aucun arrangement, c'est une relation tout à fait normale entre un établissement bancaire et un de ses clients", a-t-elle assuré sur RFI, comme on lui rappelait que le PDG de la Société générale, Frédéric Oudéa, a été entre 1993 et 1995 conseiller de Nicolas Sarkozy, alors ministre du Budget.
"Quand vous avez 10,6 millions à rembourser et qu'en moins de quatre semaines vous êtes capables d'apporter 8,309 millions d'euros (...), vous montrez la dynamique qui est créée", a poursuivi la députée de la Marne, confirmant par ailleurs que l'ancien chef de l’État était "caution solidaire de ce prêt", tout comme l'UMP.
 

Nadine Morano : Aux quatre coins du monde, les Français soutiennent

Harlem Désir: "Copé est plus préoccupé par ses finances privées que

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/30/97001-20130730FILWWW00251-bretigny-decedee-pendant-l-operation.php

lundi 29 juillet 2013

Claude Guéant a quitté l'hôpital et "va bien"

L'ancien ministre de l'Intérieur est sorti du Val de Grâce où il avait été transporté à la suite d'un malaise jeudi. Il a déclaré à l'AFP qu'il était "en vacances" et qu'il se reposait.

Il a lui-même donné de ses nouvelles. Hospitalisé jeudi dernier à la suite d'un malaise, Claude Guéant est rentré chez lui. Et il l'assure : "Je vais bien". "Je suis sorti du Val de Grâce", a-t-il déclaré à l'AFP lundi. L'ancien ministre de l'Intérieur a ajouté qu'il était désormais "en vacances" et qu'il se reposait. A l'été 2011, il avait subi une importante opération au coeur.
Depuis son départ de la Place Beauvau, le nom de Claude Guéant est apparu au coeur de plusieurs affaires sensibles. Il est actuellement visé par une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris le 14 juin 2013 au sujet de primes en liquide qu'il a assuré avoir perçu entre 2002 et 2004 lorsqu'il était directeur de cabinent du ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy. Claude Guéant avait assuré avoir bénéficié de ces primes, lorsqu'il était place Beauvau, pour expliquer le règlement en liquide de plusieurs factures découvertes lors d'une perquisition le visant. Lors de cette perquisition dans l'enquête sur le présumé financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, les enquêteurs avaient notamment découvert que Claude Guéant possédait 500.000 euros sur son compte. Il a affirmé que cette somme provenait de la vente de deux tableaux à un avocat "malaisien".
L'ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy est par ailleurs également au centre de l'enquête sur l'arbitrage Tapie/Crédit lyonnais. Le PDG d'Orange, Stéphane Richard, mis en examen dans cette affaire, l'a décrit au juge comme le maître d'oeuvre des réunions sur l'organisation de cet arbitrage, qui a permis à Bernard Tapie de toucher 403 millions d'euros dans le litige sur la vente d'Adidas. M. Guéant devrait être prochainement convoqué par les enquêteurs, qui ont déjà perquisitionné son cabinet et son domicile.
 

"La Conférence de Copé c'est le retour de la droite bling bling

Mali, Iran, France: trois présidents à suivre - l'édito de Christophe Barbier

Augmenter la CSG, une arlésienne politique?

Le gouvernement ne doit pas écarter la piste de l'augmentation de la contribution sociale généralisée (CSG) pour financer les retraites, a demandé Bruno Le Roux sur RTL lundi matin. Le patron des députés socialistes a voulu replacer au centre de la table des négociations cette option, souvent envisagée, jamais mise en application. Selon le quotidien économique Les Echos de lundi, la hausse de la CSG "a de plus en plus de défenseurs aujourd'hui", alors que, selon Matignon, "rien n'est tranché". La ministre des Affaires sociales Marisol Tourraine aurait d'ailleurs testé l'idée auprès des partenaires sociaux la semaine dernière.
Les arbitrages sur la réforme des retraites doivent être rendus d'ici la fin du mois d'août et il reste toujours 7 milliards d'euros à trouver à l'horizon 2020 pour le seul régime des salariés du privé. Le gouvernement doit déterminer comment mettre à contribution les actifs et les entreprises sans peser sur la compétitivité et casser la relance. Rendu en juin dernier, le rapport Moreau, qui a posé les bases de travail pour la réforme des retraites, a préconisé, entre autres, le relèvement d'au moins 3 milliards d'euros des cotisations retraite. Mais cette option, considérée comme "centrale" il y a un mois, ne vas pas dans le sens de la volonté de l'exécutif de favoriser la compétitivité des entreprises.

La CSG plutôt que la TVA sociale

D'autres leviers sont toutefois à la disposition du gouvernement. Ainsi, les économistes soutiennent le principe de TVA sociale, créée sous Nicolas Sarkozy début 2012… avant d'être supprimée par François Hollande à son arrivée au pouvoir. Il serait difficile, politiquement, pour les socialistes de la ressusciter. Les hausses de deux autres impôts sont en revanche envisagées et ont été discutées lors des rencontres entre Marisol Tourraine et les partenaires sociaux : celles de la CSG et de la Contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS). "La CSG (a) quelques avantages. Elle touche tous les revenus, y compris ceux du capital", expliquait Bruno Le Roux sur RTL, ajoutant que cela permettrait de ménager la compétitivité des entreprises en ne pesant pas sur le coût du travail.
Force ouvrière et la CGT soutiennent la hausse des cotisations, la CFDT n'est pas contre celle de la CSG. Cette dernière est également soutenue par le Medef, et depuis longtemps. L'organisation patronale la défendait déjà lors de la première conférence sociale, en juillet 2012, afin de combler le déficit de la branche famille de la sécurité sociale.
Ce levier fiscal a également été évoqué dans un autre dossier : celui du choc de compétitivité. Plusieurs voix à gauche, notamment parmi les députés socialistes, souhaitaient ainsi l'actionner pour financer le crédit impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), lancé en novembre dernier. Le 27 septembre 2012, invité sur le plateau de France 2, Jean-Marc Ayrault avait finalement tranché le débat en une phrase : "Il n'y aura pas de hausse de la CSG (en 2013, Ndlr)." Le Premier ministre pourrait s'être réservé cette possibilité pour 2014. D'autant que, dans le cadre de la réforme en cours de préparation, la hausse de la CSG est déjà acquise pour les seuls retraités. Son arbitrage et celui de François Hollande sont attendus d'ici à un mois.
 

Désir dénonce le "mélange des genres" de Copé

Harlem Désir n'a semble-t-il retenu qu'une information de l'enquête qu'a publié dimanche le JDD sur le business des conférences : Jean-François Copé était mercredi à Brazzaville pour participer à une conférence. Il "pourrait avoir empoché 30.000 euros", selon nos informations. Dans un communiqué publié en milieu de journée, le premier secrétaire du Parti socialiste a dénoncé dimanche la "politique business" et le "mélange des genres" pratiqués par le président de l'UMP.

Un chef de parti de notre pays n'a pas à être payé pour des prestations au service d'intérêts privés à l'étranger. Cette politique business du président de l'UMP en Afrique est profondément choquante, elle est contraire à tous les principes d'éthique et de transparence", écrit encore le socialiste avant de marteler : "Ce mélange des genres doit cesser."

Copé confirme sa présence à Brazzaville

Contacté dimanche par l'AFP, l'entourage de Jean-François Copé a confirmé la participation du député-maire de Meaux la semaine dernière à un forum économique organisé dans la capitale du Congo par le magazine Forbes. Il a en revanche refusé de commenter les propos de Harlem Désir. Jean-François Copé comptait parmi les intervenants du Forum Forbes Afrique 2013 aux côtés de patrons, d'hommes d'État africains ou encore de Kofi Annan, ancien secrétaire général de l'ONU.
Jean-François Copé n'est le seul élu à avoir effectué des conférences. Nicolas Sarkozy, Hubert Védrine, Michel Rocard… De nombreux hommes politiques français suivent l'exemple de Bill Clinton ou de Tony Blair en multipliant les conférences rémunérées. Pour Harlem Désir toutefois cela ne doit pas concerner "des responsables politiques en fonction". Et d'insister : "Il est contraire à l'éthique de monnayer son image, et peut-être son influence, de dirigeant politique français, en échange de sommes d'argent sur lesquelles n'existe aucune forme de transparence."
 

Bourdin direct: Nathalie Kosciusko-Morizet - 29/07

Lagarde : "Il faut rétablir la promesse républicaine"

Bruno Le Roux : L'âge légal de la retraite ne bougera pas

dimanche 28 juillet 2013

Visée par une pétition, Carla Bruni-Sarkozy menace de porter plainte

Son avocat dénonce les «fausses informations» qui circulent ces derniers jours...
Carla Bruni-Sarkozy veut défendre son «honneur». Visée par une pétition en ligne exigeant qu'elle reverse de l'argent public dépensé pour réaliser un site internet à son nom du temps où elle était Première dame, celle-ci a menacé dimanche de porter plainte. 
«Madame Carla Bruni-Sarkozy se réserve de poursuivre tout propos qui porterait atteinte à son honneur dès lors qu'il serait imputé à la fondation qui porte son nom d'avoir bénéficié de financements qui n'ont jamais existé», selon un communiqué transmis à l'AFP par son avocat, Me Richard Malka.
Il affirme que le site au coeur de la controverse, épinglé dans un récent rapport de la Cour des comptes, «a cessé d'exister en mai 2012» et que la fondation caritative qui porte le nom de l'ex-Première dame ne peut donc être suspectée d'avoir bénéficié du « moindre centime» en provenance de la présidence de la République.
L'avocat dénonce «un prétendu et imaginaire financement du site internet de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy par des fonds publics»
L'avocat, désireux de «clarifier» les choses, dénonce les «fausses informations» circulant ces jours-ci sur «un prétendu et imaginaire financement du site internet de la Fondation Carla Bruni-Sarkozy par des fonds publics» .
Ce qui n'empêche pas que de l'argent public ait servi à promouvoir les activités de celle qui fut Première dame entre 2008 et 2012. De fait, si l'adresse carlabrunisarkozy.org renvoie uniquement désormais vers les activités de la fondation éponyme (créée en 2009), le site hébergeait aussi, avant la défaite de Nicolas Sarkozy en 2012, des contenus en rapport avec les activités de l'épouse du président.
Dans un rapport du 15 juillet sur la gestion de l'Elysée, la Cour des comptes épinglait le fait que Mme Bruni-Sarkozy ait bénéficié d'« un site internet spécifique dédié» pour un coût à la charge de la présidence s'élevant à 410.000 euros sur la période janvier 2011-mai 2012.
Ce site nécessitait-il un tel investissement ? En guise de protestation, un développeur de sites web, Nicolas Bousquet, a lancé une pétition en ligne exigeant de l'ex-Première dame qu'elle reverse les 410.000 euros sous forme de dons « à des associations caritatives qui oeuvrent pour les plus démunis»
Hébergée par la plate-forme Change.org depuis jeudi, la pétition avait recueilli dimanche en fin de journée plus de 72.600 signatures électroniques.

http://www.20minutes.fr/politique/1193495-20130728-visee-petition-carla-bruni-sarkozy-menace-porter-plainte

Pécresse exerce son droit d’inventaire

Ce sera l’un des événements politiques de la rentrée. Dans Voulez-vous vraiment sortir de la crise? (12 septembre, Albin Michel), l’ancienne ministre du Budget, soutien de François Fillon, brise le tabou de l’inventaire du quinquennat Sarkozy. "Nous avons un devoir d’inventaire en même temps qu’un devoir de proposition", expose-t-elle dès la préface. Dans ce livre qu’elle mûrit depuisfin 2012, Valérie Pécresse revient sur les coulisses des réformes, notamment celles qu’elle a portées (université, TVA sociale) et avance des propositions pour 2017.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Pecresse-exerce-son-droit-d-inventaire-621294

Aubry : en silence à La Rochelle

Elle a refusé toutes les sollicitations médiatiques et prévenu Harlem Désir qu’elle ne s’exprimerait pas non plus à la tribune de l’université d’été. Mais Martine Aubry sera bien à La Rochelle, les 23, 24 et 25 août. La maire de Lille fera le tour des ateliers, viendra écouter des débats et voir ses amis. Tout en poursuivant sa cure de silence.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Aubry-en-silence-a-La-Rochelle-621304

Joly va rempiler

Une rumeur la donnait non partante pour les futures européennes. "Elle mérite une retraite tranquille", avançait un député écolo quand d’autres appelaient au "renouvellement". Si l’ancienne candidate doit clarifier ses intentions lors des journées d’été, ses proches ont déjà tâté le terrain. "Sa place est garantie", assure Jean-Vincent Placé. Le plus probable est qu’Eva Joly soit n°2 en Île-de-France, mais elle pourrait aussi être tête de liste dans l’Est.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Joly-va-rempiler-621313

Rama Yade rêve encore de Paris

Un vent de stupeur a traversé la commission nationale d’investiture de l’UDI mercredi soir. Alors que Christian Saint-Étienne a été investi la semaine dernière à Paris, Rama Yade s’est livrée à une analyse très critique des chances du poulain de l’UDI et a même laissé entendre qu’elle n’avait pas pris de décision définitive.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Rama-Yade-reve-encore-de-Paris-621309

ZAPPING ACTU HEBDO DU 27/07/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 27/07/2013 par lezapping

Valls, l’ascension d’un ministre ambitieux

C’est le ministre de l’été. Emeutes à Trappes, dissolution de groupuscules extrémistes, visites à la communauté musulmane… Manuel Valls est sur tous les fronts. Et il continue de gagner des points dans l’opinion. Le ministre de l’Intérieur est crédité d’excellents sondages, les Français sont de plus en plus nombreux à le voir devenir, un jour, un "bon Premier ministre", selon notre enquête exclusive Ifop-JDD dont les détails seront bientôt publiés. Favori pour remplacer Jean-Marc Ayrault, donc.
L’ex-député-maire d’Evry marque des points dans des catégories d’électeurs très variées. Ses traits de personnalité séduisent de façon de plus en plus large. Son image fait presque l’unanimité. Quelle est sa stratégie pour gouverner? Comment rassemble-t-il à gauche? Est-il si simple de le comparer à Nicolas Sarkozy? Notre enquête, nos interviews et témoignages à lire dimanche dans le Journal du dimanche.
 

samedi 27 juillet 2013

Hollande invente la "Macédonie"

Invité jeudi au sommet des pays des Balkans, François Hollande a fait une erreur de langage. Alors qu'il évoquait la Macédoine, le chef de l'Etat français a parlé de "Macédonie". "Sur l'ancienne République yougoslave de Macédonie, j'ai rappelé que la France était disposée à chercher, par la qualité des relations que nous pouvons avoir avec la Grèce, une solution", a commenté le président de la République.
Ce n'est pas la première bourde géographique du président de la République. Il avait déjà évoqué la Tunisie au lieu de l'Égypte, lors d'une conférence de presse. Et le 7 juin dernier, il avait présenté « au peuple chinois » ses condoléances après la mort de 10 Japonais lors de l'attaque du site gazier en Algérie.

Hollande change son cabinet

Selon deux arrêtés parus samedi au Journal officiel, le colonel de l'armée de l'air Frédéric Parisot, et Axel Cavaleri, ancien du cabinet de Marisol Touraine sont nommés à la présidence de la République, respectivement à l'état-major particulier du président et au poste de chef adjoint de cabinet. A l'Elysée, Axel Cavaleri travaillera au côté d'Isabelle Sima, ancienne chef de cabinet adjointe devenue courant juillet chef de cabinet en remplacement de Pierre Besnard. Ce dernier avait été nommé en juin préfet des Hautes-Alpes. Le cabinet de François Hollande compte au total une cinquantaine de personnes, dont neuf militaires affectés à l'état-major particulier (6) ou aux fonctions d'aides de camp (3).

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Hollande-change-son-cabinet-621125

Chômage : les astuces du gouvernement

Bien sûr, Michel Sapin ne pavoise pas. Pas encore. "Non, le retournement n’est pas là", a constaté le ministre du Travail ce jeudi matin sur Europe 1 en évoquant les derniers chiffres du chômage. Il aurait été malhonnête de prétendre le contraire. Pôle emploi vient d’annoncer 14.900 demandeurs d’emploi supplémentaires. Les statistiques montrent toutefois que le gouvernement est en passe d’obtenir ces prochains mois la stabilisation qu’il espère, voire la fameuse "inversion de la courbe". Grâce à la multiplication des emplois aidés, beaucoup, et à la conjoncture, un peu.
L’évolution du nombre de chômeurs se tasse. Si l’on calcule par périodes de trois mois, le coup de frein apparaît nettement : 3,2% en mars (par rapport à décembre), puis 3% en avril, puis 2,4% en mai, puis 1,7% en juin. Cela ne change certes rien aux moments difficiles vécus par les chômeurs et leurs familles.
Mais si l’on prolonge cette courbe-là, la stabilisation va intervenir autour de la rentrée, les chiffres afférents étant publiés en octobre ou novembre. La baisse pourrait ensuite intervenir à l’hiver, elle serait publiée avant les municipales. Un heureux hasard? Un soulagement pour François Hollande et sa promesse jugée intenable? Le chef de l’Etat et son ministre du Travail n’ont pas hésité à dépenser de l’argent pour qu’il en soit ainsi.
Le tassement en cours s’explique par la création de jobs para-publics. Les emplois d’avenir produisent leurs premiers effets : le nombre de chômeurs de moins de 25 ans baisse depuis deux mois. Environ 40.000 postes auraient déjà été pourvus, 60.000 sont attendus dans la seconde moitié de l’année, et les conditions d'accès ont été assouplies. De quoi tarir quelque peu les inscriptions de jeunes à Pôle emploi. En outre, le gouvernement va accélérer le mouvement général en faisant passer des chômeurs en formation (environ 30.000 supplémentaires). Cela aura pour effet de les "sortir" du baromètre officiel. Par ailleurs,  l’industrie connaît un frémissement de reprise, ce qui explique pourquoi les entrées au chômage pour cause de fin d’intérim ou de CDD reculent.
Cette politique de crise n’est évidemment pas durable. Pour que la courbe s’inverse vraiment, il faudra que les entreprises recrutent à nouveau, dans tous les secteurs. On en est loin. Les petites annonces qu’elles déposent auprès de Pôle emploi ont atteint un niveau très faible (203.700), au plus bas depuis 1997. Pour 4,8 millions de demandeurs en catégorie ABC en juin, seules 91.000 personnes sont sorties des statistiques car elles ont trouvé un emploi. 
A ce stade, et en dépit du léger redressement dans l’industrie, les perspectives ne sont pas suffisamment solides. La croissance économique est annoncée autour de 1% l’an prochain. Un rythme trop faible pour provoquer des embauches massives. Autrement dit, si la conjoncture ne s’améliorait pas davantage, le chômage baisserait à l’hiver mais il remonterait après les municipales.
 

vendredi 26 juillet 2013

L'édito de Christophe Barbier : Le train de l'enfer, Charles de Courson et Mohamed Brahmi

De Courson trouve "très drôle" d'être traité de menteur par Tapie


De Courson trouve "très drôle" d'être traité de... par Europe1fr

Le Drian confiant pour le Rafale

Les négociations avec l'Inde pour la vente de 126 avions de combat Rafale de Dassault Aviation se passent bien, a assuré vendredi le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sans donner de précision sur la date de finalisation. "Bien sûr, ce projet est la priorité. Au risque de vous décevoir, je n'annoncerai pas la date de la signature du contrat. Je voudrais que vous sachiez que les négociations se passent bien et que j'ai toute confiance", a dit le ministre, qui effectue une visite de trois jours en Inde.
L'Inde a choisi le Rafale en janvier 2012 et mène depuis des négociations exclusives avec la France. Mais des désaccords concernant le rôle de l'entreprise publique indienne Hindustan Aeronautics ont retardé la conclusion d'un accord.
 

Les vacances pour les parlementaires - 26/07

Batho (PS) espère un débat sur le budget "au sein de la majorité

Thierry Lepaon, numéro un de la CGT, hospitalisé

Thierry Lepaon, 53 ans, secrétaire général de la CGT, est hospitalisé pour «quelques soucis de santé», a indiqué à l'AFP sa directrice de cabinet, Catherine Nedelec, sans autres précisions.
Une source proche de la CGT a indiqué à l'AFP que M. Lepaon était hospitalisé depuis lundi pour des problèmes liés peut-être «au surmenage». M. Lepaon a été élu en mars dernier à la tête de la centrale, succédant à Bernard Thibault.

http://www.20minutes.fr/article/1192979/20130726-thierry-lepaon-numero-cgt-hospitalise

Intervention de NKM à l'Assemblée : "Votre angoisse de perdre les élections semble l'emporter sur un scrutin plus


Intervention de NKM à l'Assemblée : "Votre... par NKM

Triple pontage pour Mgr Barbarin

Le cardinal Philippe Barbarin, victime de deux malaises cardiaques à Cayenne le week end dernier alors qu'il se rendait aux JMJ, a subi un triple pontage mardi au CHU de Fort de France en Martinique, annonce son diocèse ce matin.

Cette opération relativement lourde mais courante, s'est "bien déroulée" selon l'équipe médicale. Le Cardinal Barbarin est âgé de 63 ans.

"La coronarographie avait en effet mis en évidence qu'il était prudent d'opérer dès à présent certaines artères pour limiter les risques d'un nouvel infarctus", peut-on lire
sur le site internet du diocèse de Lyon.

Le cardinal devrait effectuer sa convalescence à Fort de France jusqu'à ce que son état lui permettent de revenir en France métropolitaine.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/26/97001-20130726FILWWW00268-triple-pontage-pour-mgr-barbarin.php

Bourdin direct: Didier Migaud - 26/07

26/07/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

La tournée de Pierre Gattaz, le patron des patrons - 26/07

jeudi 25 juillet 2013

Energies renouvelables: la Cour des Comptes recadre l'Etat

Chômage : "un ralentissement, mais pas de retournement"

Le Replay Actu du 25 juillet : Compostelle endeuillée, affaire Cahuzac

Catastrophes ferroviaires: à qui la faute ? L'édito de Christophe Barbier

Zapping du "10 VIDEOS" du 25/07 : Déraillement du train, Cahuzac

Claude Guéant victime d'un malaise, transporté à l'hôpital du Val de Grâce

Victime d'un malaise jeudi matin à son domicile, Claude Guéant, ex-ministre de l'Intérieur a été transporté à l'hôpital du Val de Grâce.

Claude Guéant, ex-locataire de la place Beauvau, a été victime jeudi matin d'un malaise à son domicile dans le XVIe arrondissement parisien, et a été transporté à l'hôpital du Val de Grâce, a-t-on appris de sources policières.

Selon l'une de ces sources, "pour l'instant, on ne connaît pas la gravité de ce malaise". L'ex-ministre de l'Intérieur et ancien secrétaire général de Nicolas Sarkozy à l'Elysée avait subi une importante opération au coeur à l'été 2011.
 

Bourdin direct: Stéphane Le Foll - 25/07

25/07/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Jean-Claude Mailly : Je crains une série de plans sociaux à la rentrée

Chômage: "le retournement n'est pas là", selon Michel Sapin

Retraites : le Medef prêt à faire contribuer les retraités

Le Medef a publié jeudi ses propositions pour la réforme des retraites, prônant le recul de l'âge légal mais acceptant aussi une mise à contribution des retraités, notamment par une sous-indexation temporaire des pensions. "Il paraît possible d'accepter une sous-indexation temporaire des pensions de base", selon le document de l'organisation patronale, limitant cette mesure à trois ans. La sous-indexation consiste à revaloriser annuellement les pensions à un niveau inférieur à l'inflation. En avril dernier cette décision a été prise, à l'initiative du Medef, pour les retraites complémentaires du secteur privé (Agirc-Arrco), régimes gérés par les partenaires sociaux.

http://www.lejdd.fr/Societe/Depeches/Retraites-le-Medef-pret-a-faire-contribuer-les-retraites-620863

mercredi 24 juillet 2013

Trappes : la réaction de Hollande lors du Conseil des ministres


Courson: "l'amnésie de Cahuzac est tactique"


Courson: "l'amnésie de Cahuzac est tactique... par BFMTV

La proposition Le Roux inquiète les professionnels de la santé - 24/07

Les préconisations du Sénat pour lutter contre le dopage - 24/07

Carton jaune pour le Royal Baby - l'édito de Christophe Barbier

Affaire Cahuzac : "Il faut entendre Jean-Marc Ayrault"

Bourdin direct: Monseigneur Podvin - 24/07

Roselyne Bachelot: "on attend la suite de l'affaire Cahuzac avec gourmandise

Affaire Cahuzac: «cette perte de mémoire, c'est troublant»

Hamon: L'Économie sociale et solidaire "avait été ignorée par les pouvoirs

Pierre Laurent reçu par François Hollande

François Hollande a reçu à l'Elysée mardi le secrétaire national du PCF Pierre Laurent comme il l'avait fait la veille pour les chefs des partis de la majorité, pour un entretien sur la "situation du pays et la rentrée".
Durant les 45 minutes qu'a duré l'entretien, le chef de l'Etat et le patron des communistes ont échangé leurs "sentiments sur la situation et la rentrée", a déclaré à Pierre Laurent qui a "insisté" auprès de François Hollande "sur (ses) préoccupations, notamment la réforme des retraites, la réforme des métropoles et des collectivités locales". "Sur les retraites, il a dit qu'il envisageait une réforme prudente et j'ai répondu que notre vigilance sera totale", a prévenu Pierre Laurent.
François Hollande a également abordé le sujet des élections municipales pour lesquelles "il souhaite le rassemblement". "A chaque fois que ce sera pour porter un projet de gauche, nous serons disponibles", lui a répondu le secrétaire national du PCF. Les communistes, membres du Front de gauche avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon qui souhaite des listes indépendantes dans toutes les villes, sont associés dans de nombreuses villes aux socialistes.
 

mardi 23 juillet 2013

Cécile Duflot : "La droite a aggravé la fracture qui se trouvait dans notre pays


Cécile Duflot : "La droite a aggravé la... par FranceInfo

ZAPPING ACTU DU 23/07/2013


ZAPPING ACTU DU 23/07/2013 - "Comme quoi... par lezapping

La Chaine Parlementaire (LCP), Live TNT


La Chaine Parlementaire (LCP), Live TNT par LCP

Violences à Trappes: Manuel Valls répond à David Douillet - 23/07

Cahuzac n'a "aucun souvenir" d'une réunion dans le bureau de Hollande

La Une de L'Express: ces plantes qui nous guérissent

Affaire Cahuzac: Moscovici refuse de polémiquer avec de Courson

Bourdin direct: Anne Hidalgo - 23/07

Hitler et les gens du voyage: "La sanction devra être exemplaire"

Trappes : Pécresse dénonce "l'impunité"


Valérie Pécresse : "Un sentiment d'impunité se... par rtl-fr

Jacques Chirac n'ira pas à Saint-Tropez cet été

Selon le Parisien, Jacques Chirac ne se rendra pas à Saint-Tropez cet été contrairement à ses habitudes. L'ancien président de la République aurait de plus en plus de difficulté à se déplacer.

Jacques Chirac, habitué des terrasses de Saint-Tropez, ne se rendra pas dans le village varois cet été. Son entourage l'a confirmé selon Le Parisien : "Il reste en Corrèze avec son épouse".

La raison de cette incartade à cette tradition estivale ? Officiellement, le milliardaire
François Pinault, ami de l'ancien président qui l'accueille chaque année en août dans sa résidence tropézienne, ne sera pas en vacances à ce moment. Mais officieusement, l'affaire est tout autre, croit savoir le Parisien : c'est la santé  de Jacques Chirac, défaillante, qui lui interdirait actuellement tout déplacement dans sa station balnéaire préférée. Car selon plusieurs témoignages, l'ancien chef de l'Etat doit désormais marcher en permanence avec une canne, quand il n'est pas soutenu par des aides-soignants. Des soucis qui ne datent pas d'hier. Cette année, Jacques Chirac a déjà été vu visitant une exposition en fauteuil roulant.

Autre signe de la santé déclinante de Jacques Chirac : selon Le Parisien, ses conseillers, installés dans ses bureaux rue de Lille, se seraient "recasés ailleurs" les uns après les autres. Preuve que l'activité de l'ancien président serait désormais fortement réduite. Ne resteraient plus  que "deux secrétaires pour expédier les affaires courantes et sa fille Claude, qui a mis sa carrière dans le privé entre parenthèses pour être présente à ses côtés", explique le journal.
 

23/07/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

lundi 22 juillet 2013

Copé : "Il y a un déni de réalité au gouvernement"


Copé : "Il y a un déni de réalité au gouvernement" par Europe1fr

L'interview politique de Christophe Barbier


L'interview politique de Christophe Barbier par ITELE

Visite de Manuel Valls à Trappes après les incidents du week-end

Le Replay Actu du 22 juillet : royal baby, pape au Brésil, Trappes, NSA

Manuel Valls se rend à Trappes

Trappes, Cahuzac, et le royal Baby : l'édito de Christophe Barbier

Trappes : gauche et droite s'accusent tour à tour d'incompétence

22/07/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Bourdin direct: Bruno Le Roux - 22/07

Manuel Valls: "La justice sanctionnera ceux qui se sont livrés à ces violences

Mgr Barbarin victime d'un malaise cardiaque

Le cardinal Philippe Barbarin a été victime d'un double malaise cardiaque dimanche à Cayenne, et a été hospitalisé en Martinique, a-t-on appris lundi auprès du diocèse de Lyon. "L'état de l'archevêque de Lyon n'est pas considéré comme inquiétant", a-t-on indiqué de même source, précisant que le prélat ne pourrait se rendre aux Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Rio, comme il l'avait initialement prévu. Son malaise a nécessité son transfert dans un hôpital de Martinique, où il a subi une série d'examens, selon la même source. Mgr Barbarin était arrivé jeudi dernier à Cayenne, où il avait rejoint quelque 700 jeunes pèlerins français, originaires de Lyon, de la région parisienne, des diocèses d'Evreux et de Cayenne, eux-mêmes bloqués dans la capitale guyanaise en raison d'un problème d'avion.
L'appareil qu'ils avaient affrété auprès de la compagnie White Jet pour se rendre au Brésil est en effet tombé en panne et est resté bloqué à Sao Paulo, obligeant les jeunes catholiques à trouver une solution de rechange auprès d'une autre compagnie. Ils ne devraient pas pouvoir quitter Cayenne avant mercredi, a-t-on indiqué au diocèse de Lyon. Les JMJ doivent se dérouler à Rio du 23 au 29 juillet. Plus de 1,5 million de jeunes catholiques venant du monde entier, dont 5.500 Français, sont attendus dans la capitale brésilienne où doit se rendre le pape François.
 

dimanche 21 juillet 2013

Ségolène Royal n'envisage pas d'entrer au gouvernement

La présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, s'est dite blessée par le comportement à son égard de l'ex-ministre de l'Écologie, Delphine Batho, et a indiqué qu'une entrée au gouvernement «n'entre pas dans ses projets» dans une interview au Courrier de l'Ouest à paraître lundi.
Une atitude «extrêmement blessante»
«Delphine Batho ne m'a plus adressé la parole depuis ma défaite aux primaires» du PS en 2011. Elle n'a jamais décroché son téléphone, ni répondu aux messages que je lui envoyais. Cette attitude, je l'ai trouvée extrêmement blessante. C'est quand même moi qui lui ai offert une circonscription que j'avais prise à la droite en 1988 et que j'avais durablement installée à gauche», a déclaré Mme Royal au sujet de son ancienne porte-parole de la campagne présidentielle 2007.
A propos des déclarations de l'ex-ministre de l'Écologie après son éviction du gouvernement Ayrault, Ségolène Royal a estimé que « si elle a eu si peu de soutien, c'est qu'elle s'est mal comportée sur le plan humain, vis-à-vis de Jean-Marc Ayrault, ce qui a beaucoup choqué» . La «solidarité gouvernementale»  était selon elle «nécessaire».
«Ma préoccupation actuelle, c'est la région»
Par ailleurs, la présidente de Poitou-Charentes a annoncé sa volonté de briguer un nouveau mandat lors des élections régionales de 2015. «Ma préoccupation actuelle, c'est la région. D'ailleurs, les élections régionales, c'est pour 2015. Il va falloir commencer à y songer, et je compte bien être candidate», a-t-elle annoncé.
Quant à une éventuelle entrée au gouvernement «ça n'entre pas dans mes projets», a-t-elle répondu. «D'ailleurs, il n'y a pas de remaniement ministériel en vue», a-t-elle noté.
Mme Royal a également dit qu'elle se rendrait à La Rochelle pour l'université d'été du PS «comme présidente de région». Elle était absente l'an dernier. Elle s'était rendue en Afrique du Sud pour préparer le congrès de l'Internationale socialiste, une organisation dont elle est vice-présidente. Ségolène Royal, qui visait un siège de députée à La Rochelle après avoir cédé en 2007 à Delphine Batho celui de Melles qu'elle détenait dans les Deux-Sèvres, avait été battue en 2012 par un dissident du PS, Olivier Falorni.

http://www.20minutes.fr/article/1190887/20130721-segolene-royal-envisage-entrer-gouvernement

Valls: "La loi doit s'appliquer à tous, sur tout le territoire" - 21/07

Des Verts de compromis

Si on fait le congrès sur "est-ce qu'on reste ou pas', ce sera mortifère", avertit Mickaël Marie, directeur de cabinet de Pascal Durand. Plusieurs proches du secrétaire national des Verts signent un texte pour une écologie "concrète" et de "compromis" : "On pourra bien […] faire la liste des manquements et des tiédeurs du gouvernement, faire applaudir de vibrants plaidoyers pour une autre politique. Et nous applaudirons. Mais après?"

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Des-Verts-de-compromis-620213

ZAPPING ACTU HEBDO DU 20/07/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 20/07/2013 par lezapping

Delanoë visite un Ehpad paré pour la canicule

Le récit d'une vie à gauche

Plusieurs éditeurs ont contacté Dominique Bouissou depuis qu'elle ne gère plus la communication de Matignon. Et elle a décidé de raconter trente ans d'engagement politique à gauche, depuis 1983, au côté notamment de Julien Dray, Ségolène Royal, François Hollande et Jean-Marc Ayrault.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Le-recit-d-une-vie-a-gauche-620212

L'UMP cherche son directeur de campagne

Pressenti pour diriger la campagne des élections européennes, Franck Riester attend d'avoir une "discussion de fond" avec Jean-François Copé avant d'accepter la proposition. Le député de Seine-et-Marne, qui avait occupé le même poste lors du scrutin précédent, veut des garanties sur la ligne de l'UMP et l'identité du chef de file en charge de conduire les listes.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/L-UMP-cherche-son-directeur-de-campagne-620207

Dati-Banlieues : "la droite ne doit pas s’exonérer"

L'ancienne ministre Rachida Dati a dénoncé dimanche "l'échec coupable de la gauche" face à la situation dans les banlieues mais a estimé que "la droite ne doit pas s'exonérer de toute responsabilité". Dans un communiqué publié après les violences de la fin de semaine à Trappes, la députée européenne et maire du VIIème arrondissement de Paris a appelé l'UMP "à laisser l'idéologie à la gauche et les amalgames honteux à l'extrême droite".
Mais, poursuit Rachida Dati, "la droite ne doit pas s'exonérer de toute responsabilité. Depuis plus de 30 ans, nous avons abandonné toute politique ambitieuse d'intégration a la République. Nous devons continuer à prôner la responsabilité et la fermeté, mais en évitant les discours provocateurs, pour ne pas dire les amalgames".
 

Audiovisuel public : la loi examinée mercredi

L'Assemblée nationale examine mercredi le projet de loi prévoyant que les patrons de chaînes et radios publiques soient à nouveau désignés par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, une promesse du candidat Hollande, tandis que le mode de nomination au CSA sera aussi modifié. Les députés débattront en séance publique en première lecture de deux textes, sur lesquels ils voteront dans la foulée: l'ensemble du projet de loi et le projet de loi organique, visant à abroger le dispositif de nomination des présidents des sociétés de l'audiovisuel public par le président de la République.
C'est la première réforme législative, hautement symbolique, voulue par le gouvernement dans le domaine de l'audiovisuel, et la première étape de modifications plus larges prévues par la ministre de la Culture Aurélie Filippetti. Le projet de loi, présenté par Aurélie Filippetti, prévoit que "les présidents de la société France Télévisions, de la société Radio France et de la société en charge de l'audiovisuel extérieur de la France sont nommés pour cinq ans par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, à la majorité des membres qui le composent".
 

Moscovici: la croissance est la priorité de court terme

Hollande et Chirac, les retrouvailles

Un samedi corrézien tranquille. François Hollande a parcouru hier matin les allées du marché du centre ville puis celui de la cathédrale à Tulle.  Ensuite, en début d’après-midi, François Hollande a rendu visite à Jacques Chirac, qui, passe des vacances au château de Bity à Sarran. Comme il l’avait fait l’an passé , à la même époque. Une heure et quart d’entretien entre deux Présidents. Bernadette Chirac était là, tout comme Bernard Combes, le maire de Tulle. L’ancien et l’actuel chef d’Etat ont parlé de relations internationales. "Le Président Chirac a dit des choses très positives sur la manière dont François Hollande gérait les voyages à l’étranger, l’image de la France qu’il donnait", raconte Bernard Combes au JDD.  Une rencontre "amicale" selon François Hollande. Le même mot revient côté Chirac. Cette visite est "un geste amical très apprécié" par la famille de l’ancien Président. Entre Corréziens, ils arrivent toujours à s’entendre.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Hollande-et-Chirac-les-retrouvailles-620127

Popularité : le tout petit rebond de Hollande

L’interview du 14 juillet aura donc rapporté un point de popularité à François Hollande. Le chat est maigre. Mais l'Élysée s’en contente volontiers alors que le Président reste le plus impopulaire de la Vème République. Tous ses prédécesseurs étaient largement plus populaires quatorze moins après leur élection. A titre de comparaison, Nicolas Sarkozy culminait à 38% de personnes satisfaites lors de son deuxième été à l’Elysée.

Record de mécontents au PS

Après avoir perdu trois points en juin, le chef de l’Etat en regagne un. Il reste minoritaire dans toutes les catégories socio-démographiques. Une situation qui n’est arrivée à son prédécesseur qu’après les élections cantonales de 2011. François Hollande rétablit un peu la situation chez les jeunes et les professions intermédiaires (33%) mais il demeure faible chez les ouvriers (18%). Symboliquement, après quatorze mois de présidence, il atteint son record de sympathisants socialistes mécontents (33%).
Un mélange de raisons conjoncturelles et structurelles explique cette proportion importante de Français mécontents de leur Président. Aux traditionnels griefs sur la baisse du Livret A, les hausses des tarifs du gaz et de l’électricité, il faut ajouter les promesses non tenues. "Ce reproche s’installe comme une grille de lecture de l’action de François Hollande. Beaucoup de Français nous disent 'il promet la reprise et on ne voit rien’. Ce décalage est un reproche de plus en plus fréquent", estime Frédéric Dabi, directeur adjoint de l’Ifop.

Pas d’opinion sur Ayrault

Quant à Jean-Marc Ayrault, il perd un point (30%) mais ce qui est frappant c’est que de plus en plus de Français n’ont pas d’opinion sur le Premier ministre. En deux mois, cette proportion est passée de de 1% à 6%. Une situation inédite et illustrative d’un chef de gouvernement dont les interventions peinent à imprimer.
 

samedi 20 juillet 2013

Delphine Batho revient à la rentrée

Delphine Batho a annoncé aujourd'hui qu'elle serait de retour à la rentrée. "Je ne veux pas lâcher l'affaire. Je prendrai des initiatives politiques à la rentrée", a annoncé l'ancienne ministre de l'Ecologie à des dizaines de militants socialistes de sa circonscription à Azay-le-Brûlé dans les Deux-Sèvres. Le propos est partiellement rapporté par le site de La Nouvelle République (NR).

Le journal précise que l'ancienne ministre a fait un parrallèle entre son affaire et celle de Jérôme Cahuzac : "Il a fallu trois mois pour démissionner un ministre du budget suspect de fraude fiscale et trois heures pour démissionner une ministre de l'écologie qui a dit la vérité sur son budget", toujours selon
La NR.

Après son limogeage, Delphine Batho avait déploré la «fin de la collégialité» au sein du gouvernement et a dénoncé un «tournant de la rigueur».


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/07/20/97002-20130720FILWWW00256-delphine-batho-revient-a-la-rentree.php

Manuel Valls : "aucune raison ne justifie ces violences"


Manuel Valls : "aucune raison ne justifie ces... par ITELE

Les chefs de la majorité vont dîner à l’Élysée

Après avoir dîné avec les journalistes jeudi soir, François Hollande va en faire de même, lundi prochain, avec le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, le secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts, Pascal Durand, le président du Mouvement progressiste, Robert Hue, le président du Parti radical de gauche, Jean-Michel Baylet et le président du Mouvement républicain et citoyen, Jean-Luc Laurent, soit tous les chefs de file de la majorité. "L'idée est de faire un repas par an pour faire un point de l'année écoulée, évoquer les dossiers de la rentrée et aussi les élections municipales", qui auront lieu en 2014, dit-on de source gouvernementale.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Les-chefs-de-la-majorite-vont-diner-a-l-Elysee-619990

FRANCE 24 L'Entretien : 20/07/2013 L'ENTRETIEN

20/07/2013 DANS LES HEBDOS

vendredi 19 juillet 2013

François Hollande, Détroit et Bobigny : les images marquantes de la semaine

ZAPPING ACTU DU 18/07/2013 - Apéros alcoolisées au sein la police municipale à Cogolin


ZAPPING ACTU DU 18/07/2013 - Apéros alcoolisées... par lezapping

Michèle Delaunay : "Le réseau de solidarité se met en marche


Michèle Delaunay : "Le réseau de solidarité se... par Europe1fr

La semaine de... la fin du président normal

Affaire Cahuzac: Moscovici répond aux accusations de Courson 19

Cahuzac : Moscovici répond aux accusations

Le ministre de l'Economie Pierre Moscovici a répondu point par point vendredi dans une lettre ouverte aux accusations lancées dans les médias par le président de la commission parlementaire sur l'affaire Cahuzac après son audition mardi, accusant le député de partialité. "Votre comportement montre que, loin de chercher à établir une vérité de façon impartiale, vous tentez de donner chair à une thèse politique, développée avant même le début de votre enquête", a déclaré M. Moscovici dans un "courrier circonstancié adressé au président de la commission d'enquête" et publié dans le quotidien Le Monde.
M. Moscovici, qui était ministre de tutelle du ministre délégué au Budget Jérôme Cahuzac, avait été entendu longuement mardi soir par cette commission chargée d'établir s'il y a eu des dysfontionnement de l'Etat dans la gestion de ce scandale entre les révélations du site Mediapart le 4 décembre et les aveux de M. Cahuzac, le 2 avril. Après l'audition, M. de Courson s'était exprimé dans plusieurs médias, accusant notamment M. Moscovici d'"incompétence" ou estimant que la réponse de la Suisse à la question de Bercy sur l'existence ou non d'un compte bancaire de M. Cahuzac dans ce pays, telle qu'elle était formulée, ne pouvait "être que négative" et donc disculper le ministre du Budget de fraude fiscale.
"Cette assertion est totalement inexacte", écrit M. Moscovici sur ce dernier point en citant dans le détail les explications données par Bruno Bézard, directeur général des finances publiques, lors de son audition du mardi 28 mai ainsi que ses propres réponses mardi. "Vous ne tenez sciemment aucun compte de mes explications, des pièces précises du dossier et des témoignages recueillis sous serment par votre commission d'enquête", poursuit le ministre.
 

Anne Hidalgo : L'UMP n'a pas réussi a faire avancer le Grand Paris

Hollande devant la presse : "Un véritable show"

Diesel à Paris: la question qui enflamme le duel Hidalgo-NKM

Bourdin direct: Florian Philippot - 19/07

jeudi 18 juillet 2013

Affaire Cahuzac: que ressort-il de l'audition de Pierre Moscovici ? - L'édito de Christophe Barbier

"Ma porte est ouverte au rassemblement", Anne Hidalgo


"Ma porte est ouverte au rassemblement", Anne... par FranceInfo

Le taux du livret A baissera à 1,25% en août

Logement social: une enveloppe de 120 millions d'euros

Le Replay Actu du 18 juillet : opposant russe mis hors jeu, Mandela

L'Edito de la semaine

Affaire Cahuzac : la gauche fait bloc autour de Hollande

Politique Première: l'UMP annule ses journées parlementaires - 18/07

Bourdin direct: Benoît Hamon - 18/07

Fleur Pellerin : Les entreprises ont besoin d'un marché, plutôt que des

L'expresso du juillet

"Le '1 sur 2' était imbécile, et cela n'a pas changé". Le député de la Seine Saint-Denis Bruno Le Roux a défendu sur i-Télé la modernisation de l'action publique, annoncée mercredi par le gouvernement, en taclant la révision générale des politiques publiques (RGPP) mise en place par Nicolas Sarkozy.

L’explication

"Les entreprises ont besoin d'un marché, plutôt que des aides". Fleur Pellerin, ministre déléguée au PME, est revenue sur RTL sur le choc de simplification administrative présenté mercredi par Jean-Marc Ayrault qui prévoit notamment la suppression de certaines niches fiscales dont bénéficiaient les PME.

Lire aussi :
En se simplifiant, l'Etat vise 3 milliards d'euros d'économies

La polémique

"Charles De Courson cherche à se faire un nom, à se faire de la publicité, à se faire connaître. C’est une commission d’enquête qu’il préside, pas une commission d’interprétation. Quand on avance des choses, il faut avoir des preuves", a raillé François Rebsamen, le maire socialiste de Dijon. "Nous avons les preuves que le président était parfaitement informé" avait déclaré le président de la commission d'enquête parlementaire sur l'affaire Cahuzac, mercredi matin sur France 2.
 
 

mercredi 17 juillet 2013

Cécile Duflot: la communication par les larmes

ZAPPING ACTU DU 16/07/2013


ZAPPING ACTU DU 16/07/2013 par lezapping

François Bayrou : "je ne crois pas que l'optimisme de François Hollande


François Bayrou : "je ne crois pas que l... par ITELE

Cahuzac : Hollande était "parfaitement informé", selon de Courson


Cahuzac : Hollande était "parfaitement informé... par francetvinfo

Calendrier parlementaire: "là c'est vrai qu'on sature tous un


Calendrier parlementaire: "là c'est vrai qu'on... par LEXPRESS

Quand les politiques pleurent en direct

Pécresse : "Le gouvernement dans les pas de Sarkozy"

Bourdin direct: Marylise Lebranchu - 17/07

Le gouvernement vise une modernisation de l'action publique - 17/07

Stéphane Le Foll ne "comprends pas" l'attaque de la fédération du

L'expresso du 17 juillet

Je pense que le gouvernement a fait une erreur de saisir les autorités helvétiques, puisque ça accréditait l’idée que (Jérôme Cahuzac) était innocent". C’est le premier bilan tiré sur France 2 par Charles de Coursondes travaux de la commission d'enquête parlementaire sur l'action du gouvernement pendant l'affaire Cahuzac, qu’il préside.

L'attaque

"Je crois d'abord qu'il faut penser à l'émotion des français plus qu'à celle de Cécile Duflot". Le maire de Nice UMP Christian Estrosi a semblé faire peu de cas des larmes de la ministre du Logement après une question posée mercredi à l’Assemblée sur un message Twitter de son compagnon.

Le désaccord

"Il y a un paradoxe, on ne peut pas faire d'OGM, toucher au gaz de schiste, aux requins...mais on touche à l'embryon humain". C’est ce qu’a expliqué sur i-Télé le patron du Modem François Bayrou après l’adoption définitive par le Parlement mardi du texte autorisant la recherche sur l'embryon
 

mardi 16 juillet 2013

Cahuzac: "votre question montre une profonde méconnaissance du

Moscovici devant la commission d'enquête Cahuzac - 16/07

Barbara Pompili : "J'approuve l'action de Greenpeace au Tricastin


Barbara Pompili : "J'approuve l'action de... par rtl-fr

Christian Estrosi: "tous les Français pensent la même chose


Christian Estrosi: "tous les Français pensent... par franceinter

Le Replay Actu du 16 juillet : l'audition tendue de Taubira, transparence

Commission Cahuzac: vif échange entre Taubira et des députés

Tweet de Cantat: Ayrault dénonce les propos "minables" d'un député

Bourses étudiantes: hausse de 118 millions d'euros du budget

Bernard Tapie va-t-il tout perdre?

Tweet de Cantat: Ayrault dénonce les propos "minables et polémiques" d'un député UMP

L'UMP ne décolère pas après le tweet controversé de Xavier Cantat, le compagnon de Cécile Duflot, contre le 14 juillet. Interpellé à ce sujet à l'Assemblée, Jean-Marc Ayrault a dénoncé les "propos particulièrement minables et polémiques" du député UMP qu'il l'interrogeait.

Jean-Marc Ayrault a dénoncé mardi les propos "particulièrement minables et polémiques" d'un député UMP, Philippe Meunier, qui protestait devant l'Assemblée nationale contre un tweet du compagnon de Cécile Duflot, Xavier Cantat, s'en prenant au défilé militaire du 14 juillet. "Monsieur le député, vous ne faites pas honneur à la France par vos propos particulièrement minables et polémiques. Je ne vais pas commenter davantage", a réagi le Premier ministre, lors de la séance de questions au gouvernement.

Il répondait à Philippe Meunier, élu UMP du Rhône, qui protestait contre le fait que le gouvernement ait invité "à la tribune officielle" pour la cérémonie du
14 juillet Xavier Cantat, militant écologiste et compagnon de Cécile Duflot, la ministre du Logement. Xavier Cantat s'était félicité dans un tweet de ne pas participer aux célébrations. Le gouvernement doit inviter des "personnalités qui ont la décence de respecter l'engagement de nos hommes, notamment au Mali", a souligné le député membre de la Droite populaire (aile droite de l'UMP).

"Tous les membres du gouvernement (...) étaient présents à la cérémonie du 14 juillet et au défilé", a rétorqué le Premier ministre, selon lequel les "millions de Français" qui ont suivi les cérémonies ont constaté que "ce qui nous rassemblait, au-dessus des mesquineries, au-dessus des polémiques, c'était les valeurs de la France, les valeurs de la République". "Je suis fier de nos armées, de nos soldats qui ont (...) mené un combat exemplaire (...) et nous étions fiers que défilent aux côtés des soldats français des soldats d'Afrique et de l'armée malienne. C'est ça que j'aurais aimé entendre dire et vous ne l'avez pas dit", a conclu Jean-Marc Ayrault.