samedi 31 août 2013

ZAPPING ACTU DU 30/08/2013


ZAPPING ACTU DU 30/08/2013 - Un petit garçon... par lezapping

Décryptage : la "pause fiscale" de F. Hollande, un coup de .........


Décryptage : la "pause fiscale" de F... par Lopinionfr

L'intervention militaire en Syrie ne fait pas l'unanimité politique - 31/08

Syrie: Copé appelle à un "consensus national" avant toute décision

Pour Montebourg, c'est l'Elysée sinon rien

"Après le ministère, j'arrête la politique comme carrière" : l'élection présidentielle est "la seule élection" à laquelle Arnaud Montebourg "envisage" de se présenter à l'avenir, affirme-t-il dans une interview à "M".

La présidentielle est "la seule élection" à laquelle Arnaud Montebourg déclare "envisager" de se présenter à l'avenir, a confié le ministre du Redressement productif dans une interview à M, le magazine hebdomadaire du Monde. "La présidentielle est la seule élection à laquelle j'envisage de me représenter un jour", a déclaré le ministre, qui s'était présenté à l'automne 2011 à la primaire socialiste pour la présidentielle, arrivant à la surprise générale en troisième position, avec 17% des voix, derrière François Hollande et Martine Aubry.

Mais à part la présidentielle, Arnaud Montebourg a assuré qu'il en avait "marre des élections. Je ne me représenterai pas". "Après le ministère (du Redressement productif), j'arrête la politique, en tout cas comme une carrière", a-t-il ajouté, assurant avoir "plein de projets". Elu député de Saône-et-Loire en 1997, il a été réélu en 2002 et 2007. Il a également été notamment président du Conseil général de Saône-et-Loire de 2008 à 2012. Il est ministre du Redressement productif depuis mai 2012.
 

Jean-Luc Mélenchon invité du Grand Jury le dimanche 1er septembre

Manuel Valls : La sécurité et la justice doivent travailler ensemble

Syrie : On sait qui est l'adversaire, on n'est pas sûr de l'allié

vendredi 30 août 2013

Pierre Gattaz : "Je suis comme Saint-Thomas"


Pierre Gattaz : "Je suis comme Saint-Thomas" par rtl-fr

Eva Joly : "j'aurais voté pour l'intervention en Syrie"


Eva Joly : "j'aurais voté pour l'intervention... par ITELE

L'intervention en Syrie pourrait avoir lieu "entre samedi soir et .....


L'intervention en Syrie pourrait avoir lieu... par francetvinfo

Syndicat des enseignants: bilan des conditions de rentrée

Réforme pénale: un projet de loi loin de faire l'unanimité - 30/08

Michèle Alliot-Marie : On ignore les intentions de la France sur la Syrie

Faire face aux crises

François de Closets: "Le système actuel ne peut éviter une crise majeure

Ayrault: "Les sorties sèches de prison doivent être supprimées" - 30

La nouvelle Valérie Trierweiler

L'expresso du 30 aout

Dans M, le magazine du Monde, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, confie :"J'en ai marre des élections, je ne me représenterai pas. Après le ministère, j'arrête la politique, en tout cas comme une carrière. La présidentielle est la seule élection à laquelle j'envisage de me représenter un jour."

L'attaque

"Ce que dit Manuel Valls est pour moi infondé, a lancé sur i-TéléEva Joly à propos de la réforme pénale, qui oppose le ministre de l'Intérieur, à sa collègue de la Justice, Christiane Taubira. "Il prétend que les peines planchers ont un effet sur la récidive. Or, c'est contredit par toutes les statistiques", assure l'ancienne candidate EELV à l'élection présidentielle. 

L'avertissement

Toujours "en colère" contre la réforme des retraites dévoilée par le gouvernement, le président du Medef, Pierre Gattaz, a estimé sur RTL qu'il ne fallait "pas régler le problème des recettes par la fiscalité". Et de prévenir : "Nous risquons de louper le train de la croissance mondiale."

Le point de vue

Selon l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, invité de France bleu Poitou, "il y a quatre candidats possibles à la prochaine présidentielle : Sarkozy, Fillon, Juppé, Copé."

Le doute

Sur i-Télé, Henri Guaino a concédé ne pas avoir d'avis tranché sur une intervention militaire en Syrie. "Je n'ai pas de réponse définitive, il n'y a pas de bonne et de mauvaise réponse", a estimé l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy. "Je ne jette la pierre à personne, tout le monde hésite", a-t-il estimé, avant de comparer : "C'est comme dans une prise d'otage, et que vous demandez si on met l'assaut ou pas."

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Montebourg-la-presidentielle-ou-rien-626478

jeudi 29 août 2013

Le nouveau François Fillon est arrivé

Wauquiez : "Il ne faut pas jouer à Pinocchio sur les prélèvements obligatoires


Wauquiez : "Il ne faut pas jouer à Pinocchio... par FranceInfo

Décryptage : les Présidents et la guerre


Décryptage : les Présidents et la guerre par Lopinionfr

Bientôt la rentrée avec la réforme des rythmes scolaires

Syrie : l'armée française "en capacité de répondre"

Jean-Louis Borloo essaie de faire un coup avec le MoDem selon Jean michel Aphatie

Hollande reçoit le chef de l'opposition syrienne à l'Elysée

Retraites: cotisations patronales "intégralement compensées"

Nathalie Kosciusko-Morizet est l'invitée politique de Guillaume Durand


Nathalie Kosciusko-Morizet est l'invitée... par NKM

La rentrée de Fillon, l'homme équilibré

Retraites : Cette réforme est astucieuse, trop astucieuse

Hortefeux : "La réforme des retraites est une machine à taxer"

Bourdin direct: Laurent Berger - 29/08

L'expresso du 29 aout

"Je regrette que l'opposition donne le sentiment de s'acharner à se diviser. L'opinion attend une exigence d'unité", a déclaré sur Europe 1 Brice Hortefeux, proche de Nicolas Sarkozy. 

L'explication

Sur France 2, Najat Vallaud-Belkacem est revenue sur la volonté de la France d'intervenir en Syrie. Selon la porte-parole du gouvernement, il faut "prendre le temps de la réflexion, prendre le temps de la concertation avec les partenaires, prendre le temps de recevoir les conclusions des experts de l’ONU". Mardi, François Hollande assurer que la France était "prête à punir ceux qui ont pris la décision infâme de gazer des innocents".

Le désaccord

Sur RTL, l'ancien ministre de la Défense, Gérard Longuet, s'est montré sceptique quant à une éventuelle intervention en Syrie : "Bachar el -Assad mérite d'être sanctionné. La France doit à la fois demander des sanctions mais tenir compte d'un ordre international dont, sur le long terme, elle aura le plus besoin." Sur France Info, Laurent Wauquiez a aussi questionné : "En soit, les frappes militaires ne résoudront rien. Quel projet politique veut-on pour la Syrie?"

Le chiffre

Les Français sont partagés sur l'éventualité d'une intervention militaire de l'ONU en Syrie, 55% d'entre eux s'y déclarant favorables alors que 45% y sont opposés, selon un sondage Ifop pour Le Figaro publié jeudi.

La phrase

"Nous savions que 2013 serait l'été de tous les dangers, nous savons désormais que l'été 2013 est celui de tous les impôts", a lancé sur Europe 1Brice Hortefeux en conclusion de son interview.

L'engagement

Dans une interview aux Echos publiée jeudi, le ministre du Budget,Bernard Cazeneuve,confirme que 2014 verra une presque "stabilisation des prélèvements obligatoires avec un an d'avance" sur les engagements du gouvernement "grâce aux efforts d'économies accomplis". Le ministre prévient ainsi que l'augmentation sera inférieure aux 0,3% de points du produit intérieur brut annoncée en avril dernier.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Intervention-en-Syrie-Najat-Vallaud-Belkacem-veut-prendre-le-temps-626320

mercredi 28 août 2013

Zapping 28/08: Fillon: «La lâcheté socialiste», Trierweiler bouleversée

Retraites: Jean-Marc Ayrault a bien manoeuvré

OpinionS : La réforme des retraites est-elle une vraie réforme


OpinionS : La réforme des retraites est-elle... par Lopinionfr

Gérard Longuet: "L'armée n'a de sens que si il y a un projet politique derrière" official 


Gérard Longuet: "L'armée n'a de sens que si il... par franceinter

Eric Woerth sur la réforme des retraites : "une boîte à injustice


Eric Woerth sur la réforme des retraites : "une... par ITELE

Retraites: ne pas "opposer les Français" entre eux, dit Touraine

Retraites: la CGT appelle à manifester le 10 Septembre

Bourdin direct: Michel Sapin - 28/08

Syrie: Copé approuve le discours de Hollande

Hollande: en Syrie "nous devons trouver la riposte appropriée"

François Fillon: "le recul de l'âge de la retraite est la seule mesure efficace

mardi 27 août 2013

Mariani : "Hollande devrait demander des conseils à Chirac"

Thierry Mariani, ancien ministre UMP des Transports, a réagi au micro d’Europe 1 au discours de François Hollande, qui a clairement laissé entendre qu’une intervention militaire de la France en Syrie était plus que jamais possible : "chacun a un mémoire ce qui s’est passé en Irak. On nous a expliqué qu’il y avait des armes de destruction massive et certains pays sont intervenus sans aucun mandat international. Cela nous a donné ce que chacun sait… La France avait su, à l’époque, éviter cette erreur grâce à Jacques Chirac. Je conseille à François Hollande d’aller prendre quelques conseils auprès de Jacques Chirac qui, à un moment décisif de notre histoire, avait su prendre les bonnes décisions."
Pour le député des Français de l’étranger, "les principes que la France se doit respecter, c’est d’intervenir quand le coupable sera désigné, d’intervenir avec un mandat clair de l’ONU et pas uniquement de suivre le choix d’un pays, fut-il un pays ami comme les Etats-Unis. Je pense que l’indépendance de la France, c’est aussi savoir prendre ses propres décisions. Quand j’ai entendu les propos tenus par François Hollande lors de sa conférence de presse, j’ai quelques inquiétudes, comme beaucoup de Français."
 

Christian de Boissieu: l'invité de Ruth Elkrief - 27/08


Christian de Boissieu: l'invité de Ruth Elkrief... par BFMTV

Retraites: pas de hausse de la CSG, mais une augmentation


Retraites: pas de hausse de la CSG, mais une... par BFMTV

Rythmes scolaires: "dans l'intérêt des élèves", pour Peillon

"La France est prête à punir ceux qui ont gazé des innocents en Syrie

La Une de L'Express: retraites, ce qui vous attend

Jean-Louis Borloo lance une pétition pour une pause fiscale

La rentrée politique de François Fillon

Harlem Désir: "Notre objectif, c'est que les prélèvements augmentent

BFMTV Replay

Grand Journal: Valls refuse Cohn-Bendit


Tous candidats à l’élection présidentielle ! par Europe1fr

Jean-Luc Mélenchon non plus n'est pas favorable à une intervention militaire en Syrie

L'expresso du 27 aout

"Christian Estrosi pourrait aussi auto-pétitionner contre l'UMP", a déclaré le vice-président du FN Florian Philippot, sur i-Télé, à propos de la pétition nationale contre Christiane Taubira lancée par le député-maire de Nice.

L'annonce

Sur RTL, Jean-Louis Borloo, le président de l'UDI, a fait part de son intention de lancer une pétition pour "un moratoire fiscal". "On assiste là un festival", déplore-t-il détaillant toutes les hausses d'impôts. "Il faut juste dire stop. Il faut réduire les dépenses. Et puisqu’il va y avoir le vote du budget dans sept ou huit semaines, je propose une pétition nationale des Français pour dire : moratoire fiscal". Le texte qu'il proposera  insistera sur trois choses : un moratoire, revenir sur les mesures sur les services à la personne et plaidera pour la baisse de la TVA sur les travaux dans l'habitat et les économies d'énergie.
 

Le désaccord

Le vice-président du FN a dénoncé une "diplomatie de cowboys" dans les menaces occidentales d'intervention militaire en Syrie. "Bien sûr que les images sont choquantes", a commenté Florian Philippot sur i-Télé au sujet de l'attaque près de Damas mercredi dernier. "Mais on ne peut décider une intervention militaire sur une image alors qu'on ne sait rien", avec "des preuves en sable", a-t-il argumenté rappelant les affirmations autour des armes de destructions massives en Irak, alors qu'il n'y en avait pas.

L'anecdote

Daniel Cohn Bendit, nouveau chroniqueur de la matinale d'Europe 1, raconte qu'il était invité sur le plateau du Grand Journal, lundi soir, mais que Manuel Valls  "a dit qu’il voulait être seul sur le plateau".  "Donc exit ma pomme, et il n’y avait que Manuel Valls hier sur le plateau. Ce n’est pas très important, ça peut être drôle, mais c’est symptomatique d’un virus français que j’appelle le virus de la présidentielle. Entouré de ses communicants, Monsieur le ministre de l'Intérieur est en train de se façonner une image de présidentiable", tance le député européen.
 

lundi 26 août 2013

Syrie: le poids de la France

Bruno Le Maire : "François Hollande ne sait pas où il va"


Bruno Le Maire : "François Hollande ne sait pas... par ITELE

Estrosi : "Taubira organise la purge des prisons"


Estrosi : "Taubira organise la purge des prisons" par francetvinfo

Un plan épargne en actions dédié aux PME lancé en 2014

Retraites: "dégradation des pensions", selon la CGT

Michel Sapin: "Le cap des 50.000 emplois d'avenir a été franchi"

Ayrault joue sur les mots

Alba Ventura décrypte le match Valls - Taubira

Bourdin direct: Hervé Mariton - 26/08

Plus en 1945, on est en 2013 !

Retraites : "Ils tentent de camoufler une hausse des impôts", accuse

Retraites: "pas de modification des règles", selon la CFDT

Nathalie Kosciusko-Morizet : Le gouvernement n'a pas le courage

dimanche 25 août 2013

Copé inquiet de la politique fiscale du gouvernement

A la Rochelle, clôture de l'Université d'été du Parti socialiste

Désir appelle le PS à se mettre "en ordre de bataille"

Ayrault réaffirme son autorité à la Rochelle - 25/08

Sarkothon: la dette de l'UMP bientôt remboursée - 25/08

Gaudin tance les "mensonges de Hollande"

Jean-Claude Gaudin, sénateur-maire UMP de Marseille, a proposé dimanche à Châteaurenard de "faire l'inventaire des mensonges" du président François Hollande. S'exprimant juste avant Jean-François Copé, le président de l'UMP, qui a réuni plus de 2.000 personnes pour son grand meeting de rentrée, Jean-Claude Gaudin a ironisé sur le terme d'"inventaire", que des responsables de l'UMP demandent d'appliquer au quinquennat Sarkozy.
"Profitons-en et faisons l'inventaire des mensonges, des promesses et des reculades de François Hollande", a-t-il lancé. Mis en cause par les socialistes sur les questions d'insécurité à Marseille, il a également qualifié le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, d'"arrogant, prétentieux, idéologue".
Jean-Claude Gaudin a enfin qualifié de "grotesque cavalcade ministérielle" le déplacement de Jean-Marc Ayrault et de plusieurs ministres à Marseille, le 20 août, après un nouveau règlement de comptes mortel. Il a rappelé que c'était "à l’État" qu'il revenait de s'occuper des questions de sécurité, sous les applaudissements nourris de la foule
 

Sauvadet copie Montebourg

Élu de Côte d'Or, l'ancien ministre François Sauvadet organise la première fête des Bourguignons à l'image de celle qui se tient en Saône-et-Loire à Frangy-en-Bresse, sous la houlette d'Arnaud Montebourg. Le centriste réunira samedi 31 août des parlementaires UDI (Jean-Christophe Fromantin et Jean-Christophe Lagarde) et des UMP comme François Baroin

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Sauvadet-copie-Montebourg-625694

Un médecin lance une pétition pour la Sécu

Le texte a été signé par 140 personnalités, aussi bien de gauche que de droite. Le diabétologue André Grimaldi a lancé une pétition intitulée "pour un débat public sur la santé", rapporte Le Parisien. Son but ? provoquer un débat sur la part de la Sécu et celle des mutuelles et des assureurs dans le système de santé.
Ce que craint le professeur, c'est le risque d'une privatisation de la Sécurité sociale, qui rembourserait de moins en moins les "soins courants". André Grimaldi s'inquiète du projet de loi de "complémentaire santé pour tous", qui reste flou, et note qu'aucun débat ne s'est tenu sur l'avenir de la Sécurité sociale, comme sur les retraites notamment.
 

Les impôts en France ont atteint un "seuil fatidique"

Le commissaire européen aux Affaires économiques Olli Rehn estime que la France doit "absolument" arrêter d'augmenter les impôts et que la discipline budgétaire doit passer par "une baisse des dépenses publiques et non par de nouveaux impôts".

Il ne faut plus augmenter les impôts en France. Les prélèvements obligatoires ont atteint un "seuil fatidique", déclare le vice-président de laCommission européenne, Olli Rehn, dans une interview au Journal du Dimanche. Cet appel survient en plein débat sur le "ras-le-bol" fiscal des contribuables et des entreprises qui inquiète certains responsables socialistes et qui s'est invité à l'université d'été du PS à La Rochelle suite à l'annonce d'une contribution climat-énergie. "Lever de nouvelles taxes aurait pour effet de casser la croissance et de peser sur l'emploi", poursuit Olli Rehn. "La discipline budgétaire doit passer par une baisse des dépenses publiques et non par de nouveaux impôts."

Si la France décide toutefois de continuer sa politique de hausse d'impôts, elle doit privilégier "des impôts intelligents", "au moyen de taxes écologiques à la rigueur", indique-t-il. "Il doit à tout prix éviter de faire peser un fardeau supplémentaire sur le travail. La fiscalité de l'épargne et l'impôt sur les sociétés ont aussi atteint des seuils trop élevés."

Le ministre de l'Ecologie, Philippe Martin, a annoncé jeudi la création d'une "contribution climat-énergie" sans en préciser le montant ni le rythme, une annonce qui a relancé le débat sur les impôts. Dans un rapport sur l'économie française, le Fonds monétaire international (FMI) recommandait à la France d'agir uniquement sur le levier des dépenses et de ne plus augmenter les prélèvements obligatoires pour réduire son déficit public. Le FMI jugeait que la pression fiscale avait atteint un"niveau excessif" et qu'elle pesait sur la confiance des ménages et des entreprises.
   
Dans les colonnes du JDD, Olli Rehn estime également que la France "ne va pas assez loin et assez vite dans la mise en oeuvre" des réformes structurelles et l'appelle à "faire preuve de plus d'audace dans la réforme en cours de son système de retraite et maintenir le cap sur la réduction de ses déficits structurels"."Il y va de son avenir et de sa crédibilité budgétaire", conclut-il.
 

Jean-François Copé est confiant pour les municipales

Le président de l'UMP estime que son parti va de «mieux en mieux»...
Jean-François Copé, président de l'UMP, a dénoncé samedi «les quatre explosions de François Hollande» - fiscalité, chômage, délinquance, communautarisme - en jugeant souhaitable et possible un beau succès de son camp aux municipales. Le député-maire de Meaux s'exprimait devant la presse à Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône) où il avait réuni son club Génération France, à la veille de son discours de rentrée dans le même département, à Château-Renard.
L'UMP, a-t-il dit, est le parti «de toutes les sensibilités de droite et du centre» et demain elle doit être «celui de tous les Français, dans le contexte de désamour et de déception très forts» vis-à-vis du chef de l'Etat. Il a dénoncé «quatre explosions de François Hollande: les impôts, le chômage, la délinquance et le communautarisme».

«On est dans un pays asphxié»

Il faut, selon Copé, «renouer avec la victoire. Ça fait dix ans qu'on n'a pas gagné d'élections locales». «Parler aujourd'hui de 2017 n'est pas responsable», aux yeux de l'ancien ministre qui a mené un long et âpre combat contre son adversaire aux élections internes de l'UMP François Fillon.
«On est dans un pays asphyxié, a-t-il mis en garde. Les Français sont disposés à nous écouter. La seule manière d'adresser un message à François Hollande pour qu'il change de politique, c'est de lui infliger un désaveu massif aux municipales.»
«Les conditions sont réunies pour qu'on fasse des municipales un succès, mais il ne faut pas que notre discours soit d'eau tiède, a recommandé le patron du principal parti d'opposition. L'UMP va de mieux en mieux. Mon intuition, c'est que les Français, au bout de cinq ans de socialisme, vont aspirer à retrouver la liberté.»

http://www.20minutes.fr/politique/1213365-20130824-jean-francois-confiant-municipales

Les jeunes socialistes au rendez-vous à La Rochelle.

Baromètre JDD : le petit rebond estival de Hollande

L’activisme estival de François Hollande lui aura donc rapporté un point de popularité. La moisson est maigre pour le Président mais cela lui permet de regagner un point depuis juillet et deux depuis juin. Avec 28% de satisfaction dans notre baromètre Ifop, il s’éloigne de sa cote plancher (25% en avril 2013) et retrouve son socle de 28% c’est-à-dire son score du premier tour de l’élection présidentielle. L’opinion montre par ailleurs un peu plus de bienveillance, y compris par les opposants les plus résolus, puisque le pourcentage de Français très mécontents recule de trois points.

Des gains chez les ouvriers et les fonctionnaires

Globalement, le chef de l’Etat retrouve des couleurs auprès de plusieurs catégories de Français : +9 points chez les 25-34 ans ; +8 chez les artisans et commerçants ; +7 chez les ouvriers ; +6 chez les salariés du public et +4 chez les professions libérales. Du mieux donc mais le Président reste quand même minoritaire dans les catégories socio-démographiques.
La cote de popularité Jean-Marc Ayrault est quant à elle stable, à 30%. Reste l’appréciation des Français sur l’action de l’exécutif recueillie par l’Ifop. Si les Français relèvent de "meilleurs résultats économiques", beaucoup de personnes interrogées expriment leur inquiétude par rapport aux annonces d’impôts et de taxes nouvelles.
 

samedi 24 août 2013

Marseille, meurtres et renforts : le déjà-vu


Marseille, meurtres et renforts : le déjà-vu par lemondefr

Mélenchon accuse Valls de reprendre "les mots infâmes de l'adversaire


Mélenchon accuse Valls de reprendre "les mots... par francetvinfo

Valls ferme sur la sécurité pour lutter contre le FN

A l'Université d'été du PS, Manuel Valls applaudi et hué

Taubira, acclamée, annonce la création d'une "peine de probation" hors prison

La garde des Sceaux est arrivée samedi en milieu d'après-midi à l'université d'été du PS à La Rochelle où de nombreux militants lui ont réservé un accueil très chaleureux.

L'accueil a été très chaleureux et les applaudissements nourris. La garde des Sceaux, Christiane Taubira, est arrivée samedi en milieu d'après-midi à l'université d'été du PS à La Rochelle. "Taubira, Taubira", "égalité", c'est à ces cris enthousiastes de militants socialistes que la ministre a gagné, non sans difficultés, l'entrée de l'espace Encan où se déroule la réunion, entourée d'une cohue de caméras et micros, le service d'ordre ayant le plus grand mal à maintenir un périmètre de sécurité autour d'elle. La ministre a été accueillie par le premier secrétaire, Harlem Désir, et a participé à un débat sur "la fin du sarkozysme judiciaire".

La ministre de la Justice Christiane Taubira a annoncé samedi lors de l'université d'été du PS la création d'une "peine de probation", hors prison dans le cadre de la prochaine réforme pénale dont "les derniers arbitrages seront rendus le 30 août". "Nous créons une peine de probation, qui est une peine en milieu ouvert, restrictive de liberté que nous appelons la contrainte pénale", a déclaré la ministre, précisant que cette peine ne concernerait que les délits punis de 5 ans de prison ou moins et que les juges pourraient "bien entendu" prononcer à la place des peines de prison.
"Réduire de façon drastique les sorties sèches"
Jugeant que "la prison ne peut remplir son rôle" actuellement et que "les sorties sans encadrement sont des facteurs aggravants pour la récidive et donc un danger pour la société", la ministre a souligné son intention de "réduire de façon drastique les sorties sèches", c'est-à-dire "sans contrôle et sans contrainte alors que nous savons qu'il faut un retour progressif à la liberté". "C'est pour ça que nous avons mis en place un dispositif libération sous contrôle et sous contrainte, qui n'est absolument pas automatique, mais qui rend obligatoire l'examen aux deux-tiers de l'exécution de la peine du dossier du détenu", a-t-elle poursuivi.
"L'automatisme dirait : le jour des deux-tiers de la peine voilà on regarde votre situation, vous sortez, vous ne sortez pas. Ce n'est absolument pas ça. Le fait de mettre un examen obligatoire ça veut dire qu'en amont des conseillers d'insertion et de probation travaillent avec le détenu de façon à ce qu'ils préparent ensemble la disposition que le juge d'application des peines pourrait être amené à prendre sur la base des éléments qui lui seront présentés". Cette mesure "peut être une libération conditionnelle, un placement sous bracelet électronique, un placement extérieur" ou une autre des dispositions existantes. "Les récidivistes, plus encore que les autres, doivent sortir progressivement avec un contrôle et des contraintes", a souligné la ministre, rappelant qu'il y avait actuellement 81% de "sorties sèches" et "98% de sorties sèches des maisons d'arrêt, c'est-à-dire des courtes peines".
Création d'un observatoire de la récidive
Soulignant que les conseillers pénitentiaires d'insertion et de probation seraient "les piliers de cette réforme pénale", Mme Taubira a rappelé son engagement à en embaucher quelque 300, un chiffre que les syndicats jugent toutefois insuffisant. La ministre a, par ailleurs, annoncé qu'elle allait "installer le mois prochain l'observatoire de la récidive", afin de disposer des "outils fins" pour mesurer le phénomène.
Le projet de réforme pénale, qui doit notamment matérialiser l'engagement de campagne de François Hollande à supprimer les peines plancher, a donné lieu à une passe d'armes entre Mme Taubira et son collègue de l'Intérieur, Manuel Valls, qui avait écrit au président François Hollande pour pointer les "désaccords" importants avec le texte soumis à ses services et réclamer un arbitrage sur ce sujet politiquement "sensible". Sa lettre avait ensuite fuité dans Le Monde, portant le débat sur la place publique. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait ensuite semblé prendre le dossier en main, soulignant qu'il n'y aurait "pas de peines automatiques, comme il n'y aura pas non plus de libérations automatiques". Mme Taubira a elle aussi confirmé samedi que les peines plancher seraient supprimées, qualifiant son projet de "réforme sérieuse, rigoureuse, qui assure la sécurité des Français".
 

Syrie: Fabius parle de "massacre chimique" perpétré "par Damas"

Regroupement familial, mode d'emploi


Regroupement familial, mode d'emploi par ITELE

Suivez en direct la Plénière de l'Université d'été du PS


Suivez en direct la Plénière de l'Université d... par PartiSocialiste

Université d'été: Ségolène Royal de retour parmi les siens

L'ancienne candidate est revenue à l’université d'été, un an après sa défaite humiliante...
 
Il paraît que les assassins reviennent toujours sur les lieux de leur crime. Les victimes aussi, parfois. Flinguée par Olivier Falorni, Ségolène Royal a fait son retour à l’université d’été du PS après avoir séché l’édition précédente, traumatisée par sa défaite aux législatives. Acclamée par des militants debout, l’ancienne candidate à la présidentielle a parlé de son cher Poitou-Charentes «classé par le guide Lonely Planet dans les dix plus belles destinations du monde», de son camp «élu pour mettre fin aux scandales financiers», de la droite qui «baisse le rideau pour cause d’inventaire». 
Moins offensive contre l’exécutif qu’au Congrès de Toulouse et professeure en politique régionale (elle sera à nouveau candidate en 2015), Royal y a quand même été de sa petite leçon. «Je conseillerais, même si ce n'est pas mon affaire, aux parlementaires de ne pas être frileux sur cette question de la transparence» [des patrimoines], a-t-elle glissé, s’assurant l’ovation de la salle. Toujours un succès.
Comme à la maison
Depuis 24 heures, Royal est comme à la maison à la Rochelle. Trônant sur le balcon au pot de la fédération jeudi, star de la plénière vendredi puis commerciale de choc sur le stand Poitou-Charentes où elle vante la voiture électrique produite dans sa région devant Pierre Moscovici et Vincent Peillon. «Je lui ai dit : "Tu vois Pierre, tu mets une TVA à 0% sur ces voitures et tu l’as ta fiscalité écologique"», confie-t-elle en haut de la Tour Saint-Nicolas pour un cocktail au Pinault des Charentes avec la presse. «Ne m’abaissez pas toujours à critiquer le gouvernement», répond-elle aux questions avant de descendre l’idée d’une taxe carbone ou de regretter le manque de cap de François Hollande.
Aboutissement d'un processus
Royal est en forme. Oublié juin 2012? «On ne va pas remâcher le passé 107 ans, il faut avancer. Un échec n’est pas forcément quelque chose de négatif», explique-t-elle, «sereine, tranquille». «Elle est dans une attitude positive. C’est l’aboutissement pour elle d’un processus. Elle s’est reconstruite politiquement au travers de sa région. Elle ne s’est pas contentée de refermer une parenthèse. Elle a aussi tiré les fruits d’une expérience douloureuse», explique une ministre royaliste. «Sa voix est indispensable. Regardez sa critique à l’égard des parlementaires…», ajoute un autre.
Guérie mais pour quoi faire? Le refrain des royalistes est connu. L’ancienne candidate serait un pion essentiel de la majorité. Les faits sont différents. Vice-présidente et porte-parole de la BPI, Ségolène Royal a de moins en moins de poids au PS. Son courant s’est dissous. Ses anciens protégés (Najat Vallaud-Belkacem, Dominique Bertinotti, Guillaume Garot, Delphine Batho avec qui elle fâchée)  ont pris leur envol. Un remaniement qu’elle pouvait espérer n’est plus d’actualité. «C’est une question qui vous obsède. Elle ne réclame rien, elle n’est pas dans l’obtention de quelque chose», conclut une proche.

http://www.20minutes.fr/politique/1213135-20130823-universite-ete-segolene-royal-retour-parmi-siens

Manuel Valls, le mal aimé du PS ? - 24/08

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/24/97001-20130824FILWWW00203-correze-le-couple-vu-dans-une-epicerie.php

vendredi 23 août 2013

Les Verts, Moubarak et la Syrie: les photos de la semaine

Copé au 20h de France 2 samedi soir

Jean-François Copé sera l'invité du 20h de France 2 samedi soir, a annoncé la chaîne aujourd'hui sur son compte Twitter.

Le président de l'UMP interviendra ainsi après avoir réuni son club, Génération France, et à la veille de sa rentrée. Il doit en effet prononcer un discours dimanche midi depuis Châteaurenard dans les Bouches-du-Rhône. Environ 2000 personnes sont attendues à cette réunion publique.

Dans Le Figaro Magazine,
Copé indique que l'UMP doit désormais préparer l'avenir de la France. "J'ai l'intuition, que, après cinq années de gouvernement socialiste, les Français voudront retrouver le goût de la liberté. Notre pays porte des chaînes que notre œil ne voit pas. La France doit se libérer de ces chaînes et refaire confiance à chaque Français, avec ses forces et ses faiblesses.", dit-il.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/23/97001-20130823FILWWW00389-cope-au-20h-de-france-2-samedi-soir.php

Cécile Duflot : "il faut engager la transition écologique"


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Valls appelle "au réveil des esprits et des consciences"

Pascal Canfin: taxe carbone, "pas une augmentation d'impôt"

L'université d'été du PS ouverte à La Rochelle

Ségolène Royal ovationnée à La Rochelle pour l'ouverture de l'Université d'été du PS

La présidente de la région Poitou-Charentes a ouvert, vendredi, l'Université d'été du Parti socialiste. Une apparition vivement applaudie par l'assistance et un discours qui s'est articulé autour d'une notion : "le rassemblement".

Elle y a vécu l'un des moments les plus difficiles de sa carrière politique. Mais c'est une Ségolène Royal conquérante qui s'est présentée, vendredi, face aux militants socialiste à la Rochelle. Absente l'an dernier à la suite de sa défaire aux législatives face à Falorni, la présidente de la région Poitou-Charentes a été vivement applaudie lors de son discours d'ouverture de l'Université du Parti socialiste, vendredi.
Son arrivée a même été saluée par une standing ovation. Les ministres Najat Vallaud-Belkacem, Dominique Bertinotti, Benoît Hamon, Stéphane Le Foll, Guillaume Garot, ainsi que le président du groupe PS au Sénat, François Rebsamen, étaient présents, tout comme le Premier secrétaire du PS Harlem Désir et le maire de La Rochelle, qui ne se représentera pas en mars, Maxime Bono.
Ses premiers mots ont d'ailleurs été pour sa région, à qui elle a rendu hommage. "Les Français se demandent si nous sommes rassemblés. Nous le sommes. Les Français se demandent si nous sommes déterminés à sortir de la crise. Nous le sommes", a martelé Ségolène Royal. "Nous voici à un moment stratégique car d'ici vingt mois, tous les échelons de la vie politique seront renouvelés. Tous les grands rendez-vous démocratiques nous attendent, et on sait que c'est souvent difficile pour le parti au pouvoir. Mais c'est une raison de plus pour se rassembler", a-t-il déclaré plus tard.
"Redonner ses lettres de noblesse à la politique"
Ennemi commun de ce rassemblement ? La droite qui "pendant ce temps-là baisse le rideau pour cause d'inventaire, ce qui est très loin des préoccupations des Français qui ont fait leur inventaire en mai 2012 de ces années gâchées et de ces anées gaspillées". Ségolène Royal a de nouveau été chaleureusement applaudie lorsqu'elle a évoqué le non-cumul des mandats, qu'elle souhaiterait que certains appliquent dès les prochaines municipales de 2014. "Je leur en serais gré", a-t-elle souri. Mais aussi quand elle a parlé de la transparence politique.
Evoquant les défis à relever pour le gouvernement, notamment économiques et écologiques, Ségolène Royal a indiqué qu'il s'agissait aussi de "redonner ses lettres de noblesse à la politique". C'est-à-dire "faire reculer le chômage, les injustices, reconstruire des repères et des valeurs morales". "Seuls sont perdus d'avance les combats qu'on ne mène pas. Et bien nous, nous allons les mener", a-t-elle lancé.
Et elle a conclu en citant François Gabart, vainqueur du dernier Vendée Globe. : "J'en rêvais. Je l'ai fait. Je ne pensais pas que j'avais cette énergie-là. J'ai découvert en fait que dans la vie courante, on n'utilise que 20% de son potentiel". Des propos que la présidente de région a repris à son compte : "Ce qui est vrai pour un grand champion hors du commun, l'est aussi pour un pays hors du commun comme la France".
 

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jeudi 22 août 2013

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mercredi 21 août 2013

Annulation de la réunion des présidents de région PS à La Rochelle

Le déjeuner et point de presse des présidents PS de région qui était prévu jeudi à La Rochelle en prélude à l'université d'été de ce parti sont annulés, a-t-on appris ce mercredi dans l'entourage de Ségolène Royal. La présidente de Poitou-Charentes devait réunir autour d'elle ses homologues des régions socialistes.
A la place, jeudi à la mi-journée, elle visitera une exploitation agricole de la Vienne, avec le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, a précisé son entourage.
Selon des sources régionales, le déjeuner et le point de presse ont été annulés en raison d'un nombre notable de défections

http://www.20minutes.fr/article/1212237/20130821-annulation-reunion-presidents-region-ps-a-rochelle

Zapping du 21/08: L'Egypte demande le soutien de l'UE, Fukushima

Thierry Mandon, Jean-François Copé et Ban Ki-Moon: les cartons de la semaine

L'autoentreprise, "une des choses les plus intelligentes" de la présidence Sarkozy, selon Bayrou


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Attaque en Syrie: Hollande veut que l'ONU se rende sur place

Manuel Valls visé par un "tir de barrage" des écologistes

Auto-entrepreneurs: Pinel présente son projet de loi

Harlem Désir : J'accuse le maire de non-assistance à Marseillais en danger

Karoutchi : "Les leçons de monsieur Valls totalement déplacées"

Eric Woerth : Harlem Désir ne loupe jamais une sottise

Bourdin direct: Jean-Vincent Placé - 21/08

Pénal, regroupement familial: Duflot prend le contrepied de Valls

La gauche accuse Gaudin d'avoir "abandonné Marseille"

Falorni s'en prend encore à Royal

mardi 20 août 2013

Marseille: Une compagnie de CRS et 24 nouveaux policiers de la PJ annoncés en renfort

C'est ce que vient d'annoncer le Premier ministre Jean-Marc Ayrault...
Jean-Marc Ayrault, venu mardi à Marseille avec cinq de ses ministres au lendemain d'un énième règlement de comptes, a annoncé le renfort de 24 policiers de la police judiciaire et d'une compagnie de CRS. Il a réaffirmé sa volonté de «secouer le cocotier» en s'attaquant «au porte-feuilles» des trafiquants de drogue. Il a toutefois prévenu que les résultats de sa politique ne seraient pas visibles immédiatement: «Vous croyez que, par un coup de baguette magique, on va résoudre une problématique aussi complexe?».
Un peu plus tôt, il avait assuré que le gouvernement était «engagé avec détermination pour faire reculer la violence» dans la ville qui a accueilli 230 hommes supplémentaires depuis le comité interministériel du 6 septembre 2012.

Des chiffres que Matignon veut encourageants

Au premier semestre, 187 personnes ont été arrêtées dans le cadre de la lutte contre le trafic de stupéfiants, dont 95 écrouées. Par ailleurs, 1,6 tonne de cannabis et 48 kg de cocaïne ont été saisis, ainsi que 240 armes à feu. Concernant la délinquance traditionnelle, les atteintes aux personnes ont reculé de 13,6%, celles aux biens de 8,8%, les vols avec violence de 17,9% et cambriolages de 19,4%.
Au cours de leur visite, le Premier ministre et ses cinq ministres - le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, la garde des Sceaux Christiane Taubira, Marisol Touraine (Affaires sociales), Cécile Duflot (Logement), et la Marseillaise Marie-Arlette Carlotti (Handicap et exclusion) - ont également rencontré le personnel de l'hôpital de la Conception où un infirmier a été blessé d'un coup de couteau dimanche par l'un des agresseurs présumés d'un jeune homme tué en plein centre-ville.

http://www.20minutes.fr/societe/1211837-20130820-policiers-crs-renfort-a-marseille

Dati:"Marseille, symbole de leur échec"

Rachida Dati, ancienne ministre de la Justice et vice-présidente de l'UMP, affirme aujourd'hui que "Marseille est devenu le symbole de l'échec de la politique du gouvernement", après la mort violente de deux jeunes hommes depuis dimanche. "La violence n'est plus circonscrite aux quartiers dits sensibles. Elle est en train de gagner toute la ville et le gouvernement ne trouve rien de mieux à faire que de dire aux Français que tout ira mieux en France... en 2025, il suffit d'y rêver très fort", a déclaré Rachida Dati.

"Cette recrudescence de la délinquance à Marseille doit enfin amener le gouvernement à cesser la politique de laxisme coupable en matière de justice et de sécurité, traduite dans le projet de loi de réforme pénale", projet qui est "un affront fait aux Français", a-t-elle déclaré.


 L'ancienne Garde des sceaux affirme également qu'avec ce projet de loi, "on peut s'attendre au pire, avec notamment la libération automatique des détenus aux deux tiers de leur peine, ou encore les réductions de peine pour les récidivistes. Alors qu'il faudrait construire des prisons pour favoriser la réinsertion en améliorant les conditions de détention et permettre l'application des peines aujourd'hui non exécutées".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/08/20/97001-20130820FILWWW00306-datimarseille-symbole-de-leur-echec.php

Manuel Valls : «Des propos déformés pour me nuire»

France de 2025 : "On ne l'a pas rêvée, on s'est projeté"

La mairie de Marseille réagit aux propos de Valls - 20/08

Boyer: "Valls fait des moulinets et panique"

Valérie Boyer, députée UMP et adjointe au Maire de Marseille en charge de la rénovation urbaine et de la cohésion sociale, a répondu aux accusations du ministre de l’Intérieur au micro d’Europe 1. "Une fois de plus, il montre qu’il connaît très mal Marseille. C’est un procès injuste, car c’est la ville de Marseille qui porte tous les projets de rénovation urbaine et que les collectivités locales, où Manuel Valls a ses amis, interviennent peu, et très timidement." Et de conclure : "il fait des moulinets et panique car il voit bien que les effets de manche, ça ne fonctionne pas à Marseille, qui de vient le symbole de l’échec du couple Valls-Taubira."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Boyer-Valls-fait-des-moulinets-et-panique-625009

Gaudin "stupéfait" par les propos de Valls

Le sénateur-maire UMP de Marseille, Jean-claude Gaudin, s'est déclaré "stupéfait des propos démagogiques tenus par Manuel Valls", qui s'en est pris mardi aux élus locaux au lendemain d'un nouveau règlement de comptes mortel dans la cité phocéenne. "Il y a une surenchère, notamment de la part des élus" avant les primaires socialistes et les élections municipales prévues l'année prochaine", a déclaré le ministre de l'Intérieur sur BFMTV et RMC. "Qu'a fait le maire de Marseille ?", s'est également interrogé Manuel Valls. "Il a fallu que ce gouvernement se mette en place et que je décide de mettre le paquet sur Marseille (...) pour que Jean-Claude Gaudin décide enfin d'un plan de vidéoprotection pour toute la ville - ça ne concernait que le centre-ville -, décide enfin, progressivement, de mettre en place une police municipale qui n'existait pas" et doit "être armée", a-t-il dit.
Pour Jean-Claude Gaudin, "l'agressivité du ministre de l'Intérieur et ses nombreuses visites ne peuvent pas faire oublier la faiblesse des effectifs de la police nationale, surtout quand on les compare à ceux d'autres grandes villes de France. Le ministre de l'Intérieur devrait savoir que c'est à l'Etat d'assurer la sécurité des personnes et des biens, et pas à la police municipale dédiée à d'autres missions", écrit le sénateur Jean-Claude Gaudin dans un communiqué. "Le gouvernement doit prendre ses responsabilités au lieu de les rejeter médiatiquement sur la ville de Marseille. La municipalité a déjà réalisé de nombreux efforts dans ce domaine", poursuit le maire qui estime que "la rentrée politique difficile d'un gouvernement socialiste qui n'a pas réussi à fournir de solution aux Français ne doit pas servir de prétexte aux ministres pour stigmatiser Marseille".
"L'exercice médiatique de Manuel Valls ne répond pas aux attentes des Marseillais qui souhaitent des mesures efficaces du gouvernement sans voir leur ville transformée en terrain de jeu politique, destiné à soutenir la pléthore de candidats socialistes pour les municipales", selon Jean-Claude Gaudin. Le Premier ministre Jean-Marc Ayault et le ministre de l'Intérieur sont attendus mardi à Marseille.
 

Le Foll : "Pas de problème Manuel Valls au gouvernement"

Bourdin direct: Manuel Valls 1/2 - 20/08

Jean-François Copé : La France est depuis un an étouffée

Manuel Valls, un ministre hyper présent - 20/08

lundi 19 août 2013

Ayrault, Duflot, Désir et Copé: les personnalités à suivre cette semaine

Budget, chômage et retraites : Hollande promet des "réponses" avant fin août

François Hollande a promis lundi lors du séminaire gouvernemental de rentrée à l'Elysée, que des "réponses" seraient apportées "d'ici à la fin de ce mois" sur les "trois grandes questions" de la rentrée : budget 2014, retraites et reprise économique.

Le gouvernement a mis fin lundi à une courte parenthèse estivale en se réunissant lundi matin quasiment au grand complet autour de François Hollande à l'Elysée pour un séminaire sur la France à l'horizon 2025 raillé par l'opposition. 
S'exprimant devant l'ensemble des membres du gouvernement, le chef de l'Etat a défini pour cette rentrée 2013 trois grandes thèmes : la préparation du budget de l'Etat et de la Sécurité sociale ; la réalité de la reprise économique et ses conséquences sur l'inversion de la courbe du chômage ; la sauvegarde du système de retraites par répartition, qui fera l'objet d'un projet de loi présenté le 18 septembre en conseil des ministres. "Les réponses seront apportées par le gouvernement d'ici la fin de ce mois", selon le texte de son allocution communiqué à la presse par l'Elysée.
Cinq enjeux essentiels pour la France dans 10 ans
C'est à Jean-Marc Ayrault qu'est ensuite revenue la tâche de clore cette réunion gouvernementale. "Quelle France voulons-nous ? Ce n'est pas un exercice théorique", a-t-il expliqué dans une déclaration prononcée peu après 13 heures depuis le perron de Matignon. "Si on ne se fixe pas d'objectif ambitieux, on n'avance pas", a poursuivi le Premier ministre.
Le Premier ministre a annoncé qu'un "projet pour la France pour les dix ans qui viennent" allait être rédigé par le Commissariat général à la stratégie et la prospective, rattaché au gouvernement. Ce document portera sur les cinq enjeux essentiels" identifiés par le gouvernement : "l'avenir de la notre modèle de production (...); la réforme de notre modèle social" qui "a permis d'amortir la crise, mais connait des problèmes de financement"; "le modèle de croissance et de financement" qui "doit être durable" et implique de relever "le défi de la transition écologique" pour "une croissance soutenable"; "les mutations de la société française" alors que "le modèle républicain du vivre ensemble, de l'intégration est parfois à la peine"; enfin "le projet européen, qui protège et doit être repris".
"Penser la France dans dix ans, c'est poser les problèmes qui se posent en 2013"
 
Jean-Marc Ayrault a assuré que la construction de ce projet "ne sera pas un exercice en chambre" et que "les scénarios seront mis sur la table". Selon le chef du gouvernement, "la France a une carte maîtresse à jouer, encore faut-il qu'elle ait confiance en elle". Le Premier ministre a insisté sur le fait que "penser la France dans dix ans, c'est poser les problèmes qui se posent en 2013, et donc travailler aux solutions pour les résoudre (...).
Dès mercredi, a-t-il ajouté, "le Conseil des ministres adoptera le calendrier parlementaire", et lui-même recevra les 26 et 27 août les partenaires sociaux pour parler de la réforme des retraites. "L'objectif" de ce séminaire, c'était "de tracer un cap, de dire clairement et précisément aux Français vers quoi nous voulons aller alors que "parfois, la France doute de son propre avenir au point de devenir pessimiste". "La France dans dix ans, ce n'est pas loin", a-t-il fait valoir.
 

Bayrou : "L'UMP et le PS ne sont pas capables de réformer le pays"


Bayrou : "L'UMP et le PS ne sont pas capables... par franceinter

Valls-Taubira surjouent l'entente cordiale


Valls-Taubira surjouent l'entente cordiale par francetvinfo

Ayrault annonce un "projet pour la France pour les dix ans"

Droit d'inventaire : les cadres UMP à couteaux tirés

Bourdin direct: Gilles Képel - 19/08

Laurent Wauquiez fait sa rentrée politique et passe à l'offensive - 19