lundi 30 septembre 2013

Enrico Letta, Sapin et Hollande : Les personnalités à suivre cette semaine - L'édito de Christophe Barbier

Ségolène Royal: "Nous voulons aider Heuliez" - 30/09

Jean-Claude Mailly : La loi sur le travail le dimanche est une usine à gaz

Nathalie Kosciusko-Morizet : Il faut faire évoluer l'ouverture des magasins

Roms : "Duflot ne lâchera pas" (confidentiel)

Ce week-end, Cécile Duflot a reçu le soutien d’Henri Emmanuelli et de Benoît Hamon dans sa guéguerre avec Manuel Valls. Si son entourage assure à Europe 1 qu’il "ne s’agit pas d’une affaire personnelle entre Cécile Duflot et Manuel Valls, mais d’une affaire de fond", on glisse également que la ministre du Logement "ne lâchera pas" sur ce sujet car elle pense que Jean-Marc Ayrault est sur la même ligne qu’elle, sans pouvoir le dire. Tout comme elle prend l’absence de coup de téléphone de François Hollande depuis sa sortie polémique sur la ministre de l’Intérieur, jeudi dernier, comme "un signe", rappelant que le président "ne l’a jamais contredite". Si ce dernier ne s’exprime pas publiquement, "c’est pour ménager les deux gauches", confie encore l’entourage de Cécile Duflot.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Roms-Duflot-ne-lachera-pas-confidentiel-631605

Bourdin direct: Aurélie Filippetti - 30/09

L'expresso du 30/09

Interrogée sur les divisions au sein du gouvernement sur la question des Roms, notamment entre Cécile Duflot et Manuel Valls, Ségolène Royal a "appelé" les ministres sur France 2 "à rassembler leurs compétences plutôt qu'à soustraire les compétences les unes des autres". "Rien n'est pire que des dissensions et des querelles", a déclaré la socialiste, avant d'insister : "Il faut faire preuve de discipline collective (…) ce n'est pas le cas, il faut que choses se remettent en ordre."
La phrase
"Manuel Valls a été particulièrement choqué par la violence, l'outrance de certains propos (...) je n'ai pas dit Cécile Duflot, il y a eu plusieurs propos", a affirmé la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, qui a vivement pris la défense de son collègue à l'Intérieur.

L'annonce

Promesse phare de la campagne présidentielle de François Hollande, la "taxe à 75%" sur les hauts revenus s'appliquera aux clubs de football, mais son montant sera finalement "plafonné". L'annonce est faite dans Le Figaro par la ministre des Sports, Valérie Fourneyron, qui dit vouloir tenir compte de la "fragilité du modèle économique" du football. "C'est pourquoi le montant sera plafonné à 5% en fonction du chiffre d'affaires des clubs", ajoute la ministre qui indique que la mesure s'appliquera sur "les revenus de 2013 et de 2014".

L'optimisme

Seuls 28% estiment que François Bayrou a la stature d’un président de la République, selon un sondage réalisé par l’Ifop pour Sud Ouest Dimanche. Mais le centriste y voit un bon résultat. "C'est un très gros score. 28%, c'est un score de très gros 1er tour", a affirmé le président du MoDem sur i-Télé.
Lire aussi : Bayrou n'est plus seul

La prudence

"Il faut chercher le consensus et ne pas travailler dans l'urgence", demande Jean-Marc Ayrault dans une interview au journal La Croix, au sujet de la procréation médicalement assistée (PMA). Rejeté de la loi sur le mariage pour tous, l'ouverture de la PMA aux couples de femmes ne sera pas non plus dans le projet de loi sur la famille actuellement en préparation.

La polémique

Sur Canal+ dimanche, le candidat du FN à Marseille, Stéphane Ravier, était interrogé sur la légalisation du cannabis. "On pourrait légaliser le viol aussi! Parce que le viol, finalement, c'est un rapport amoureux, qu'une partie des deux souhaite. La deuxième pourrait faire un effort", a-t-il répondu en disant suivre le même raisonnement. Sur son blog, le frontiste a réfuté toute polémique et assure qu'il s'agissait d'"une réponse par l’absurde". 
 
 

dimanche 29 septembre 2013

Pour Fillon, on peut gagner des élections en disant la vérité - 29/09

Valls sur BFMTV: "le rôle d'un responsable politique est d'assumer"

Delanoë, maire bénévole

Pour préparer les derniers jours de son mandat, Bertrand Delanoë a sollicité l'avis du préfet. Après le 30 mars, jour du deuxième tour, il restera bien maire jusqu'au 7 avril et expédiera les affaires courantes en attendant la désignation officielle de son successeur par les conseillers de Paris. Une situation paradoxale car à cette date, il ne sera plus élu. "Cette dernière semaine, ce sera du bénévolat", s'amuse-t-il.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Delanoe-maire-benevole-631438

Des rebelles à l'Assemblée

La patronne de la commission des affaires étrangères, Élisabeth Guigou, recevra mardi à l'Assemblée le chef de la rebellion syrienne dans la province d'Alep ainsi qu'un des plus proches conseillers du patron de l'Armée libre de Syrie et le chercheur Jean-Pierre Filiu, qui a séjourné clandestinement cet été en Syrie. Le député socialiste Gérard Bapt, président du groupe d'amitié France-Syrie, boycottera cette réunion

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Des-rebelles-a-l-Assemblee-631442

Duflot a un ami à Matignon

C'est Cécile Duflot qui en a pris l'initiative dès sa nomination : chaque semaine ou presque, elle rencontre Christophe Chantepy, le directeur de cabinet du Premier ministre. Un tête-à-tête qui permet au bras droit de Jean-Marc Ayrault de faire le point avec la chef de file des écologistes et de préparer le terrain sur certains arbitrages.

http://www.lejdd.fr/Politique/Duflot-a-un-ami-a-Matignon-631451

Travail dominical: l'Eglise insiste sur "la valeur spirituelle et d'équilibre

Municipales, le spectre d'un vote sanction

Le rendez-vous tombe dans six mois. Il s'annonce d'ores et déjà périlleux pour François Hollande et Jean-Marc Ayrault. Selon notre sondage exclusif Ifop-JDD, pas moins de 26% des Français utiliseraient leur bulletin de vote aux municipales pour sanctionner l'exécutif. Contre le candidat socialiste à leur mairie, quelles que soient ses qualités. Le chiffre est en apparence limité. Mais en apparence seulement. En janvier 2008, à la veille des municipales perdues par la droite, 16% des électeurs annonçaient leur intention de punir Nicolas Sarkozy dans les urnes. L'UMP avait vu filer une trentaine de mairies. Ils sont 10% de plus aujourd'hui dans cet état d'esprit, contre le Président et le gouvernement. De mauvais augure pour la gauche, donc. "Ce sont les ferments d'un vote sanction", analyse Frédéric Dabi, directeur adjoint à l'Ifop.
Les électeurs de droite et d'extrême droite sont les plus remontés. Plus d'un tiers des sympathisants UMP et une petite moitié de ceux du FN promettent d'envoyer un blâme au pouvoir plutôt que de se prononcer sur les enjeux locaux. Ils sont aussi 20% chez les Verts et 18% au Front de gauche. Les catégories populaires se montrent plus déterminées que la moyenne à exprimer leur insatisfaction. Cette politisation du scrutin local se voit surtout dans les grandes villes, où les élus sont de facto plus éloignés des regards que dans une petite commune. Dans les cités de plus de 100.000 habitants, seuls 51% des sondés disent qu'ils voteront au regard des considérations locales.

Fiscalité, sécurité et emploi

De manière générale, les enjeux de proximité cèdent le pas aux sujets nationaux. Crise oblige, les sondés placent la fiscalité, la sécurité et l'emploi au cœur de leurs motivations. Des thèmes régaliens qui ont mis l'exécutif en difficulté ces derniers mois. À l'opposé, les dossiers locaux (stationnement, propreté, animation sportive et culturelle…) arrivent en bas de classement.
De quoi prédire une "vague bleue"? "À ce niveau d'impopularité, on ne peut l'exclure", redoute François Kalfon, fondateur de la Gauche populaire et candidat PS à Melun, une ville dirigée par l'UMP. "Sur le terrain, on me parle plus de l'UMP que du FN. Dans ce climat anxiogène, tout peut arriver", confie-t-il. Les édiles socialistes interrogés par le JDD se disent certes confiants pour eux-mêmes, mais guère rassurés pour leurs homologues.
Reste que l'échéance de 2014 est encore loin des sujets de préoccupation des Français. Le climat peut avoir changé dans six mois. Et les maires PS solidement ancrés ont sans doute peu à craindre. Pierre Cohen, élu PS de Toulouse, élu ric-rac en 2008, reste optimiste et confie au JDD : "J'ai connu, en 1993, une période où l'on rasait les murs. Je ne vois pas cette tempête qu'on annonce dans les médias". D'autres se préparent à affronter le vent.
 

Bernard Cazeneuve réaffirme la pause fiscale

Invité du Grand Rendez-Vous Europe 1- Le Monde- i>Télé, le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, a affirmé avoir appuyé sur le bouton "stop" en matière de fiscalité alors que l'actualité politique de la rentrée s'est cristallisée sur cette notion de "pause fiscale".
"Ne cherchez pas le bouton pause, cherchez le bouton stop. J'ai appuyé dessus avec le président de la République, le Premier ministre et le ministre des Finances", a-t-il ainsi affirmé.
En septembre, François Hollande et Jean-Marc Ayrault ont semblé se contredire sur le sujet, le premier l'annonçant pour 2014, le second pour 2015.
 

Ouverture le dimanche: un bras de fer politique - 29/09

samedi 28 septembre 2013

Jeudy politique : Hidalgo-NKM, le temps de l'émancipation


Jeudy politique : Hidalgo-NKM, le temps de l... par lejdd

Pour Hamon, une ouverture de Leroy-Merlin dimanche serait "inadmissible

Emmanuelli: "les Roms, un sujet délicat et dangereux" - 28/09

Syrie: le Conseil de sécurité de l'ONU adopte une résolution sur les armes chimiques

Najat Vallaud-Belkacem présente le site du gouvernement sur l'IVG

Bayrou jugé "courageux" mais sans la stature

Une majorité de Français jugent François Bayrou "indépendant" et "courageux", mais seuls 28% estiment qu'il a la stature d'un président, selon un sondage réalisé par l'Ifop pour Sud Ouest Dimanche. Selon ce sondage, 63% des personnes interrogées trouvent le dirigeant du Modem "indépendant" et 56% "courageux".
Mais seuls 28% estiment ainsi qu'il a "la stature d'un chef d'Etat" et 39% qu'il "propose des solutions nouvelles pour le pays".

Sans doute sous l'effet de sa décision de voter en faveur de François Hollande au second tour de la présidentielle en mai 2012, les sympathisants de l'UMP sont nettement plus critiques envers le centriste que les proches du PS, selon l'Ifop. 52% (contre 70% au PS) le trouvent courageux, et uniquement 17% (contre 36%) estiment qu'il a la stature d'un chef d'Etat.
>> Sondage réalisé par questionnaire auto-administré en ligne du 25 au 27 septembre auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 personnes
 

vendredi 27 septembre 2013

Manuel Valls, Florange et Rohani: les trois photos de la semaine - L'édito de Christophe Barbier

Pierre Gattaz: la fermeture des magasins le dimanche est une "quadruple peine" - 27/09


Pierre Gattaz: la fermeture des magasins le... par BFMTV

"Je t'ai attendu Dany et tu n'as pas été là"


"Je t'ai attendu Dany et tu n'as pas été là" par Europe1fr

V. Pécresse: "Le gouvernement asphyxie la croissance"

Roms : Ayrault appelle au "sang-froid"

Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a rappelé vendredi à Nantes la nécessité de faire preuve de "sang-froid" pour gérer la France alors qu'il était interrogé sur la tension générée dans son gouvernement par la question des Roms entre Manuel Valls et Cécile Duflot. "S'agissant des Roms j'ai rappelé hier qu'il y a une ligne politique définie précisément dans une circulaire", a-t-il ajouté. "Ce qui est écrit dans cette circulaire est très clair", a estimé le Premier ministre, invitant "ceux qui ne l'ont pas lue à le faire".

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Roms-Ayrault-appelle-au-sang-froid-631201

Roms : Bartolone fustige l'Europe des "pères et des mères fouettards

Claude Bartolone, président PS de l'Assemblée nationale, a vu vendredi en Viviane Reding, commissaire européenne qui a critiqué la politique de Paris vis-à-vis des Roms, une "mère fouettarde" qui "amène à ne pas aimer" l'UE.

La question des Roms , qui soulève une violente polémique au sein du gouvernement entre Manuel Valls et Cécile Duflot , va-t-elle également nuire aux relations entre Paris et Bruxelles ? Claude Bartolone s'en est violemment pris vendredi sur Europe 1 à la Commission européenne , qui ne comprend pas selon le président de l'Assemblée nationale les difficultés engendrées en France par l'ouverture des frontières aux Roms de Bulgarie et de Roumanie .

Vice-présidente de la Commission européenne chargée de la Justice, Viviane Reding a accusé mercredi la France de ne pas mettre en oeuvre sa "stratégie nationale" d'intégration de cette communauté en réaction aux propos de Manuel Valls sur son incapacité à s'intégrer.
Ce dernier affirme que les Roms ont vocation à retourner dans leur pays, peu d'entre eux souhaitant selon lui s'intégrer en France. Ces propos ont mis mal à l'aise plusieurs personnalités de la majorité.
"Europe de la sanction"
Mais c'est la position de la commissaire européenne qui a irrité le président socialiste de l'Assemblée nationale. "Si vous me faites parler d'elle, je ne vais pas être agréable", a dit vendredi Claude Bartolone sur Europe 1.  "Elle est tout ce qui nous amène à ne plus aimer l'Europe. L'Europe ne peut pas être l'Europe des pères ou des mères fouettards. Au lieu de venir nous menacer, elle devrait venir sur le terrain voir ce qui ne marche pas dans les décisions prises par l'Europe. On en a ras-le-bol de ces commissaires européens, de ces Barroso et de leurs enfants, qui n'ont comme vision de l'Europe que l'Europe de la sanction", a-t-il ajouté.

Dans la polémique sur les Roms qui fait rage en France,
Arnaud Montebourg a pris vendredi la défense de Manuel Valls, accusé la veille par la ministre du Logement, Cécile Duflot, de mettre en danger le pacte républicain. "Il a des élus qui lui demandent d'intervenir et il le fait. Il procède à des reconduites à la frontière qui sont légales parce qu'il y a des actes de délinquance et des problèmes de sécurité et je crois qu'il a des résultats. Il faut rendre hommage au ministre de l'Intérieur", a dit le ministre du Redressement productif sur RTL.
Le pacte républicain "en danger"   Cécile Duflot a de son côté appelé jeudi François Hollande à "réparer les blessures" provoquées par les propos de Manuel Valls sur les Roms qui ont déclenché un tollé au sein d'une partie de la gauche. Elle a estimé que Manuel Valls était allé "au-delà de ce qui met en danger le pacte républicain", une position destinée peut-être à ressouder les écologistes dont le parti traverse des turbulences.

Les démantèlements de camps de Roms se sont multipliés ces dernières semaines à Lille, Lyon, La Courneuve ou Marseille, quelques mois avant l'ouverture du droit au travail pour les citoyens roumains et bulgares, le 1er janvier 2014.
 

Zapping de 13h de BFMTV - 27/09: Montebourg privé de Florange

François Hollande pris en otage par les Verts - 27/09

709xpresso du 27/09

Sur RTL, Arnaud Montebourg a soutenu l'action du ministre de l'Intérieur sur les Roms. "Manuel Valls n'a pas la tâche facile. (...) Il faut rendre hommage au ministre de l'Intérieur", a-t-il déclaré. C'est pourtant lui qui avait qualifié mardi d'"excessifs" les propos de son collègue sur les Roms. "On peut soutenir une action et condamner un propos", s'est-il justifié, ambigu. Et de répéter à plusieurs reprises : "Je le soutiens!"

La phrase

"Soit Duflot démissionne, soit elle se tait!", a lancé sur RMC le députés socialiste Jean-Marie Le Guen, après les critiques acerbes de la ministre du Logement quant aux propos de Manuel Valls sur les Roms.

Le coup de colère

Sur Europe 1, Claude Bartolone s’en est pris à Viviane Reding, commissaire européenne, qui a menacé la France de sanctions sur la question des Roms. "Elle est tout ce qui nous amène à ne plus aimer l’Europe. L’Europe ne peut pas être l’Europe des pères ou des mères fouettards. Au lieu de venir nous menacer, elle devrait venir sur le terrain voir ce qui ne marche pas dans les décisions prises par l’Europe. On en ras-le-bol de ces commissaires européens, de ces Barroso et de leurs enfants, qui n’ont comme vision de l’Europe que l’Europe de la sanction!", s’est agacé le président de l'Assemblée nationale. 

Le mea culpa

Nicolas Hulot "aurait été le meilleur candidat crédible politique de l'écologie aux dernières présidentielles! Nous avons raté un grand rendez-vous avec lui, il a raté un grand rendez-vous avec nous. C'est de notre faute",  a estimé sur Europe 1 Daniel Cohn-Bendit. "Je t’ai attendu et tu n’as pas été là", a réagi ensuite sur Europe 1 Nicolas Hulot. "Ça fait plaisir, Dany, de t'entendre dire ça. Non pas pour flatter mon égo, mais simplement parce que moi aussi j'ai été malheureux de cette situation", a-t-il ajouté.

La mise en garde

"Si le rassemblement, c'est le rassemblement de deux hommes, c'est mort", a prévenu sur i-Télé Hervé Morin, commentant le rapprochement de François Bayrou et Jean-Louis Borloo. "Il faut qu'on apprenne à revivre ensemble, qu'on délibère, qu'on trouve un projet politique", a plaidé le président du Nouveau Centre. Et d'avertir : "Le présidentiable, si c'est déjà ça la question, on va aller à l'échec."
 

jeudi 26 septembre 2013

Budget 2014: Nous sommes dans une République d'épiciers

LCP : Bernard Cazeneuve à Valérie Pécresse : "Dégustez mes gateaux sucrés de Cherbourg ça vous calmera"


LCP : Bernard Cazeneuve à Valérie Pécresse... par LCP

Quand Valls "n'exploitait pas" la peur des Roms


Quand Valls "n'exploitait pas" la peur des Roms par LeHuffPost

Roms : Duflot en appelle à Hollande

Cécile Duflot est en colère. La ministre du Logement a accusé jeudi Manuel Valls d'être allé "au-delà de ce qui met en danger le pacte républicain" après ses propos sur les Roms. La ministre écologiste, qui assistait aux journées parlementaires de son parti Europe Ecologie-Les Verts à Angers, en a appelé à "la responsabilité du président de la République".
Selon les informations d'Europe 1, François Hollande soutient son ministre de l'Intérieur. "Seule une minorité cherche à s’intégrer", a confié le chef de l'Etat en petit comité, quelques heures après le début de la polémique.
 

Mélenchon : l'idée de Hollande "une pitrerie"

Le co-président du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a jugé jeudi que l'annonce de François Hollande de créer à Florange un centre de recherche sur l'acier était une "pitrerie" et a lancé "aux élections, punissons !". "C'était donc ça la solution ! Transformer les fondeurs en chercheurs. Formidable !", ironise, dans un communiqué, l'ex-candidat à la présidentielle, après l'annonce par le chef de l'Etat d'installer un centre de recherche sur l'acier sur le site mosellan.
"Avec cette pitrerie, Hollande est allé se moquer du monde sur place", poursuit-il, jugeant que c'est "une pure opération de communication provocante qui ajoute au désespoir local". Et de lancer: "il faut lui donner la réplique. Aux élections, punissons !"
 

LES CARNETS SECRETS DE RAMA YADE

Pour sa rentrée, l’ex-ministre de Sarkozy a choisi de regarder en arrière et d’étaler sur 500 pages dans « Carnets du pouvoir », 6 ans d’exercice politique, dont trois et demi au pouvoir.
Dans ce journal de bord écrit pendant ses déplacements dans des carnets ou parfois même sur des tickets de caisse, elle a mis ses impressions, ses étonnements, ses emportements, ses naïvetés et ses vacheries.
Evidemment, la plus grande partie raconte ses relations avec l’ancien président de la République. Aveuglée par l’admiration sans borne qu’elle lui voue, l’ex secrétaire d’Etat aux Droits de l’homme, rétrogradée aux Sports, persiste à vouloir rester dans un gouvernement où elle n’a plus sa place.
Elle le dit sans détour : « Sans lui, je ne serai pas en politique ». Même quand il ne la défend plus, qu’il veut l’envoyer à Strasbourg, Rama Yade pardonne. Elle confesse : « Il vous retourne le cerveau ! Il a un talent de persuasion incroyable. Vous rentrez dans son bureau avec des reproches, vous ressortez et vous avez oublié pourquoi vous étiez venue ! »
QUELQUES EXTRAITS DU LIVRE :
En décembre 2008, Rama Yade annonce son refus de se présenter aux européennes. Le président l’appelle… Voici ce qu’il dit en substance :
« J’en prends bonne note. Tu ne t’étonneras pas de la suite. Tu as pris le melon. Tu n’as aucun droit, tu n’as que des devoirs. Tu viens de faire la plus grosse bêtise de ta carrière politique. Et pas de larmes, tu n’as pas à m’emmerder. »
Sur Carla : Les deux femmes sont dans le même avion : « Elle nous demande ce qu’elle fait là, et pourquoi c’est elle qui doit aller voir ce monsieur, en parlant du dalaï-lama. Elle explique en avoir marre de celui qui s’occupe entre autre de son agenda. Elle dit en avoir parlé au président, mais il n’aime pas le changement, et d’ajouter : « Quand il change, il change, mais il met du temps à changer. C’est comme pour sa première femme ! » Je l’aime bien Carla. Elle est douce et dure, tout en nuances. »

LES CARNETS SECRETS DE RAMA YADE

L'expresso du 26/09

Evoquant sur Europe 1 son rapprochement avec François Bayrou, Jean-Louis Borloo a balayé tout effet de communication : "Je ne me prêterai pas à l'histoire de la jolie photo." Et de demander à son éventuel partenaire d'être clairement dans l'opposition : "On peut rebâtir la famille du centre, mais dans la clarté."

L'attaque

Noël Mamère a justifié son départ de la majorité et sa démission d'Europe Ecologie-Les Vertssur France Inter : "Nous avons assisté à une série de renoncements de fonds. Le premier est le manque de courage du président de la République qui aurait pu enclencher la fiscalité écologique dès son arrivée au pouvoir." L'écologiste, qui "ne voit toujours pas le cap", a insisté sur la question du diesel : "Nous savons depuis 1983 que le diesel est dangereux pour la santé (…) Et on s'est empressé, lors de la conférence environnementale, d'exclure cette question sous la pression des constructeurs automobiles."

La promesse

Interrogé par les lecteurs du Parisien, le ministre délégué au Budget Bernard Cazeneuve est revenu sur la pause fiscale qu'il a tenu à expliciter : "En 2014, la hausse est limitée à un milliard d'euros. C'est cela la pause fiscale. En 2015, ce sera zéro. Ce sera la suite de la pause fiscale. Nous poursuivrons la pause fiscale jusqu'à la fin du quinquennat, en 2017."

La publicité

Invité sur France 2, Xavier Niel, le patron de Free, a commenté la visite de François Hollande sur le site ArcelorMittal de Florange. "Il nous faut des pouvoirs publics qui s'intéressent à des activités qui ont de l'avenir", a-t-il d'abord plaidé avant d'assurer : "Créer une entreprise industriel coûte très cher, tandis que, dans le numérique, une ou deux personnes qui ont un accès Internet peuvent lancer leur affaire."

Le chiffre : 12 mois

"Il faut à peu près douze mois en moyenne pour réinsérer dans l'emploi ceux qui en sont très éloignés", a indiqué le ministre du Travail Michel Sapin, justifiant ainsi le fait que la courbe du chômage ne s'inverse pas assez vite.

La proposition

Faut-il vendre des médicaments à l'unité? Telle est la question que se pose Marisol Touraine, la ministre de la Santé expliquant sur i-Télé : "Il y a un certain nombre de pays qu'ils le font. Cela permettrait de réduire les risques de prendre trop de médicaments ou de prendre des médicaments périmés dans son armoire à pharmacie." Une expérimentation va être menée dans plusieurs régions en 2014.
 

Impôts : le j'assume, mais j'assume pas de Ayrault

Borloo : "Noël Mamère ne doit rien à personne"

Bourdin direct: Jean-François Copé - 26/09

Des ruses de journalistes

Les raisons de quitter EELV de Noël Mamère

mercredi 25 septembre 2013

L'invité d'Europe Nuit : Christian Jacob

ZAPPING ACTU DU 24/09/2013 : Record du plus gros cornet de frites du monde


ZAPPING ACTU DU 24/09/2013 : Record du plus... par lezapping

Bachelot, "prête à tout pour faire le buzz" ?


Bachelot, "prête à tout pour faire le buzz" ? par LeHuffPost

L'expresso du 25/09

Arnaud Montebourg est revenu mercredi matin sur ses critiques formulées la veille à l'encontre de Manuel Valls. "Je veux rendre hommage à Manuel Valls pour son action déterminée", a-t-il déclaré sur Radio classique. Tout en maintenant une certaine incompréhension, il a été très tendre avec son collègue : "Ce que je veux dire c’est que Manuel Valls fait un travail très difficile sur le terrain et nous le soutenons tous", "il n’y a pas de couac, de désaccord", a-t-il conclu.

L'attaque

Longtemps, il a été reproché aux Verts de ne pas être un parti de professionnels. Selon Noël Mamère, les choses ont beaucoup changé : "Notre parti ne produit plus rien : il est prisonnier de ses calculs et de ses clans. Nous sommes devenus un syndicat d'élus." Dans les colonnes du Monde, il annonce son départ d'Europe Ecologie–Les Verts.

Le soutien

Daniel Cohn-Bendit, désormais chroniqueur sur Europe 1, a réagi à l'antenne au départ de Noël Mamère : "Je comprends la décision de Noël Mamère. Je partage le ras-le-bol sur le fonctionnement, le clanisme, les couples terrifiants qui règnent sur Europe Ecologie."

Le désaccord

Les journées parlementaires de l'UMP ont fortement déplu à gauche. Lors des débats, le sénateur UMP du Loiret Eric Doligé a déclaré avoir développé un "instinct meurtrier" depuis l'arrivée au pouvoir de François Hollande. Le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin ayant ensuite proposé de "donner les Kalashnikov" à son collègue. Ces propos "confirment la tendance de l’UMP à adopter les discours les plus anti-républicains", a réagi le courant socialiste La gauche forte, dans un communiqué. "Non seulement ces propos sont un appel à la violence, mais ils révèlent l’irresponsabilité d’élus, représentant le peuple, et qui devraient normalement accepter le jeu démocratique", ajoute le texte.
A lire sur Le Lab d'Europe 1 : Les kalachnikovs de l'UMP contre Hollande

L'aveu

Le député UMP Thierry Mariani se montre mesuré quant à un retour de Nicolas Sarkozy.  Interrogé par le quotidien L'Opinion (article payant) sur son souhait d'un retour de l'ex-président, l'élu des Français de l'étranger (Asie, Russie, Océanie) répond : "On ne peut pas revenir uniquement pour assouvir un désir de revanche. Il faudra, le moment venu, proposer un nouveau projet", ajoute l'animateur du courant Droite populaire.

Le chiffre : 206.000 euros

C'est la somme qu'aurait dépensé le président du conseil régional de Provence Alpes – Côte d'Azur, le socialiste Michel Vauzelle, dans ses déplacements en hélicoptère entre 2006 et 2009. La chambre régionale des comptes, au détour d'un jugement à l'encontre la comptable de la région, a transmis ce chiffre, révélé par le site Marsactu, et rappelle que le mode de transports doit être "le plus adapté à la nature du déplacement".
 

S'allier avec l'UDI sans brader le MoDem

Budget : un vrai gros effort ?

Bruno Le Roux : "Je comprends ce qu'a dit Manuel Valls"

Nicolas Hulot : Les Verts ne rencontrent pas l'adhésion de la société

Bourdin direct: Manuel Valls - 25/09

Noël Mamère claque la porte d'Europe Ecologie-Les Verts

Le député écologiste de Gironde, Noël Mamère, a annoncé mercredi dans un entretien accordé au Monde qu'il quitte le parti Europe Ecologie-Les Verts.

EELV , c'est fini pour lui. Le député écologiste Noël Mamère a annoncé mercredi dans un entretien accordé au Monde qu'il quittait le parti écologiste.
"J'ai décidé de quitter EELV parce que je ne reconnais pas le parti que j'ai représenté à la présidentielle en 2002. Notre parti ne produit plus rien : il est prisonnier de ses calculs et de ses clans. Nous sommes devenus un syndicat d'élus", explique-t-il au journal.
L'élu n'en arrête pas pour autant la politique. Le député de Gironde confirme en effet qu'il se présentera lors des municipales de 2014 à Bègles. "Je n'ai pas besoin d'étiquette", ajoute-t-il. Pas question non plus de quitter le groupe écologiste de l'Assemblée nationale. "Dans le groupe, il n'y a pas que des gens inscrits à EELV, comme Paul Molac qui est à Régions et peuples solidaires. A moins qu'on ne me le demande, je ne vois pas pourquoi je quitterais le groupe", précise le député.
Transition énergétique : une "grande opération d'enfumage"
Noël Mamère avait qualifié dimanche les annonces du gouvernement sur la transition énergétique de "grande opération d'enfumage" et appelé par la même occasion les sénateurs et députés de son parti à ne pas voter le budget 2014 en l'état. "J'appelle les écologistes, les députés et les sénateurs, à réagir et à ne pas voter le budget" et "je demande aux responsables du parti d'examiner notre présence dans un tel gouvernement", avait déclaré Noël Mamère.
Des déclarations une nouvelle fois confirmées dans l'entretien accordé au Monde. "Aujourd'hui, je ne vois pas très bien leur utilité dans la majorité. Les écologistes passent leur temps à accepter ce qui ne correspond pas au projet qu'ils sont censés porter", estime l'élu.
 

mardi 24 septembre 2013

Intégration des roms : Montebourg "corrige" Valls

Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a estimé mardi que les propos "excessifs" de son homologue de l'Intérieur Manuel Valls sur le manque de volonté d'intégration des Roms méritaient d'être "corrigés".
"Je considère qu'il n'existe pas de théorie selon laquelle tel peuple, telle personne de telle origine ne pourrait jamais au grand jamais s'intégrer", a réagi M. Montebourg interrogé par BFM-TV. "On a dit ça des Italiens, on a dit ça des Espagnols, on a dit ça des Portugais, on a dit ça des Arabes" et "décréter par avance que c'est impossible me paraît excessif et mérite d'être corrigé", a-t-il ajouté.
Manuel Valls avait affirmé plus tôt que seule une minorité de Roms souhaitait s'intégrer en France, ces populations ayant "des modes de vie extrêmement différents des nôtres". Ces propos lui ont valu une volée de bois vert des associations de défense des étrangers et des critiques dans les rangs socialistes et du PCF.
"Je pense qu'il y a une exaspération sur le terrain qu'il faut comprendre", a tempéré M. Montebourg, alors que les maires se disent de plus en plus démunis sur cette question.Mais, selon lui, "toute personne dans la République qui souhaite s'intégrer doit être accueillie puisque c'est le sens de notre pacte républicain".
*

Pourquoi les syndicats sont nuls, la Une de L'Express

L'expresso du 24/09

Les Roms ont des modes de vie en opposition avec les nôtres. Ils ont vocation à rentrer en Roumanie et Bulgarie." Manuel Valls, invité sur France Inter.

La critique

"Sur le plan économique François Hollande mène une politique de droite, c'est évident." Jean-Luc Mélenchon, interrogé sur France 2, a critiqué la gestion hollandaise du pays, se posant en garant de la "vraie gauche". Il a annoncé que ses troupes ne voteront "certainement pas!" le budget 2014. Voit-il pour autant François Hollande s'imposer face à Angela Merkel? Oui, il le "doit". "J'ai dit une fois : 'même les dindons arrivent à voler'."

L'annonce

Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la famille, a confirmé sur RMC une réflexion sur la création d'un statut de "pré-majorité" pour les jeunes de 16 à 18 ans. Ces derniers obtiendraient le droit de vote aux municipales, mais aussi, peut-être, le droit de créer une association, d'être associé à son orientation scolaire, etc. "C’est vraiment réfléchir sur une conquête de la citoyenneté et non pas ce passage brutal à l’âge de 18 ans où l’on acquiert tous ces droits. Mais plutôt une prise de responsabilité avec des droits et des devoirs peut-être plus tôt", a-t-elle expliqué.

Le chiffre : 135.000

Selon Les Echos, c'est le nombre de foyers qui ne paieront pas d'impôt sur le revenu  en 2014, grâce à l'augmentation de 5% de la décote, un mécanisme qui octroie une réduction d'impôts aux ménages contribuables les plus modestes.

Le choix

Le retour de Nicolas Sarkozy pour la prochaine présidentielle? Eric Woerth a balayé la question mardi matin sur RTL : "La droite a beaucoup de talents et on verra en 2017 de quel talent nous avons besoin."

L'image

François Hollande a accueilli lundi soir les membres de l'équipe de France de basketball, championne d'Europe. Et oui, ils sont grands…
 

La mise au point

Invité d'Europe 1, le sénateur-maire de Dijon et chef de file des socialistes au Palais du Luxembourg François Rebsamen a une nouvelle fois critiqué le non-cumul des mandats, voulu par le gouvernement. "Si on pense que le non cumul des mandats va redonner le moral aux Français, on se trompe. Parlons des vrais sujets", a-t-il notamment lâché. Pour lui, il faut défendre une spécificité des sénateurs sur ce projet : "Les députés tranchent en dernier recours. Il est normal, pour éviter les conflits d'intérêts, qu'ils ne cumulent pas."
 

Eric Woerth : "La France a fait le choix du maxi-chômage"


Eric Woerth : "La France a fait le choix du... par rtl-fr

Bettencourt: Morano "s'interroge" sur l'impartialité des magistrats


Bettencourt: Morano "s'interroge" sur l... par BFMTV

Copé veut mettre Schengen "sur la table"


Copé veut mettre Schengen "sur la table" par FranceInfo

lundi 23 septembre 2013

OpinionS : Victoire d'Angela Merkel, que cela change-t-il pour la France ?


OpinionS : Victoire d'Angela Merkel, que cela... par Lopinionfr

Jean-François Copé au piano au Festival Muzik'Elles


Jean-François Copé au piano au Festival Muzik... par leparisien

Merkel, Hollande et Bayrou: les personnalités à suivre cette semaine

Michel Chassang : La généralisation du tiers payant, ce n'est pas techniquement

Bourdin direct: Anne Hidalgo - 23/09

Politique Première: le triomphe de Merkel, une triple gifle pour Hollande

Benoît Hamon : La cote de François Hollande sera indexée sur la courbe du chômage

EELV : Durand renonce à se représenter

Pascal Durand, secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts a annoncé dimanche aux cadres de son parti qu'il ne briguerait pas un nouveau mandat lors du Congrès de EELV en novembre à Caen, a-t-on appris lundi auprès d'un participant à cette réunion. Pascal Durand "nous a dit qu'il renonçait", a déclaré à l'AFP ce participant.
Pascal Durand avait été vivement critiqué par certains cadres de son parti pour avoir lancé un ultimatum à François Hollande sur la transition énergétique. Le secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts, a annoncé lundi qu'il s'exprimerait sur son avenir à la tête de son parti "avant la fin de la semaine".
 

L'expresso du 23/09

Invitée de BFMTV-RMC lundi matin, la candidate socialiste à la mairie de Paris en 2014, Anne Hidalgo, a dit être "préoccupée" par l'impopularité de François Hollande. "Les Français ne comprennent pas trop la politique menée, il y a des messages contradictoires", a-t-elle estimé. "En matière de fiscalité, on est allé trop loin, notamment pour les classes moyennes", a assuré l'adjointe au maire de Paris.

L'annonce

Le tiers payant, qui permet de ne pas avancer l'argent d'une consultation chez le médecin, sera généralisé en 2017, annonce la ministre de la Santé Marisol Touraine dans un entretien au quotidien Libération paru lundi. "D'ici à 2017, quand vous irez voir votre médecin, vous n'aurez plus à avancer le prix de la consultation" et "dès la fin de l'année prochaine", le tiers payant sera ainsi possible pour les ménages aux revenus modestes", indique la ministre, dont les propos ont été confirmés par son entourage.

L'attaque

Manuel Valls a réagi avec force lundi sur Europe 1 aux propos tenu la semaine dernière par Marine Le Pen, selon lesquels la France est devenue "la catin d’émirs bedonnants, la catin du Qatar et de l’Arabie saoudite." "Quand j’entends dire que la France est la catin, qu’Assad est la moins pire des solutions, que notre gouvernement est un soutien du fondamentalisme islamique terroriste, que nous combattons partout, quand je l’entends remettre en cause le travail de nos services de renseignement, je me dis que nous sommes dans le degré ultime de l’outrance, je me dis que nous sommes au degré zéro de l’analyse géopolitique, je me dis que Marine Le Pen incarne le renoncement, qu’elle porte un discours de défaite, que Madame Le Pen n’aime pas la France", a développé le ministre de l’Intérieur.

Le bug

Arnaud Montebourg a dit "ignorer" si François Hollande allait se rendre jeudi à Florange, comme l'annonçait le JDD dimanche. Pour autant, le gouvernement doit-il craindre de revenir sur ce site emblématique, où les syndicalistes d'ArcelorMittal accusent le président de ne pas avoir tenu ses engagements? "Je n'ai pas peur. S'il le faut, j'irai seul", a assuré le ministre du redressement productif.

Le soutien

Marine Le Pen, interrogée lundi par France Info sur les législatives allemandes, s'est dite d'abord frappée par la "percée" du jeune parti anti-UE. "Ce qui m'impressionne, c'est la percée d'Alternative pour l'Allemagne", a déclaré l'eurodéputée. "Ce parti anti-euro, créé il y a six mois" a "presque réussi à entrer au Bundestag. Ca, c'est très intéressant, parce que ça prouve que les choses changent". "Ce qui change", a déclaré Marine Le Pen, "c'est la conscience dans beaucoup de pays européens que l'Union européenne est devenue une Union soviétique européenne, que l'euro, monnaie unique, est un obstacle à notre prospérité".

Le chiffre : 41

Le ministre de la Ville, François Lamy, va annoncer lundi, selon Le Parisien, le passage de 10 à 41 le nombre de quartiers difficiles concernés par le dispositif des emplois francs. Cette mesure est censée aider les jeunes de ces zones pour trouver un emploi en offrant un coup de pouce financier à leurs futurs employeurs.
 

dimanche 22 septembre 2013

Désir : "la page Guérini tournée à Marseille"

Le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, a assuré dimanche, à Marseille, que la page Jean-Noël Guérini, président du Conseil général des Bouches-du-Rhône, mis en examen, était tournée à Marseille.
"Je considère qu'il ne fait plus partie de notre famille politique. Il ne souhaite pas le succès de ces primaires et de ses candidats. Il y a bien longtemps que la page Jean-Noël Guérini a été tournée à Marseille", a notamment déclaré Harlem Désir, venu participer à Marseille à une "répétition de la procédure de vote" des primaires socialistes.
Harlem Désir a par ailleurs affirmé qu'il "saisirait la haute autorité du parti socialiste" qui statuera de façon souveraine dans les prochains jours. La création de la haute autorité a été annoncée en octobre 2012 lors du Congrès du PS. "Elle est chargée de faire respecter les règles d'éthique et de droit s'imposant aux adhérents du parti socialiste", selon Alain Fontanel, secrétaire national aux fédérations et conseiller politique de Harlem Désir. Indépendante du PS, elle est "composée de neuf membres qui doivent être désignés prochainement. La haute autorité va être créée dans les toutes prochaines semaines", a encore expliqué Alain Fontanel.
 

Raffarin préconise la "compétition" à l'UMP

Le sénateur et ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a préconisé dimanche sur TF1 "la compétition" plutôt que "la brutalité" chez les leaders de l'UMP qualifiant de "carré d'as" Nicolas Sarkozy, François Fillon, Jean-François Copé et Alain Juppé.
"Nous avons un carré d'as à l'UMP: Nicolas Sarkozy, François Fillon, Jean-François Copé, et Alain Juppé. Personne ne peut dire aujourd'hui qui sera le mieux placé pour porter nos chances pour l'alternance en 2017", a déclaré l'élu de la Vienne, président du conseil national de l'UMP.
"On veut protéger les uns et les autres, de manière à ce qu'il y ait compétition mais pas brutalité", a ajouté cette figure centriste de l'UMP. Il avait d'ailleurs sonné l'alerte au lendemain d'un meeting à Nice au cours duquel François Fillon avait confirmé sa position renvoyant dos à dos PS et FN. "Il y a des sensibilités complémentaires, il ne faut pas brutaliser l'UMP pour qu'elle garde son unité", a ajouté le sénateur. "On verra quel est le talent dont on aura besoin le moment venu mais aujourd'hui il nous faut cesser les règlements de compte et essayer de vivre ensemble", a-t-il encore dit.
 

Monseigneur di Falco : "Comprenne qui pourra le principe de la laïcité


Monseigneur di Falco : "Comprenne qui pourra le... par LePoint

Baromètre JDD : la popularité de Hollande au plus bas

76% de Français mécontents et 23% de satisfaits : c’est le sombre tableau de l’opinion à la sortie de l’été pour François Hollande. Il bat son record de gens "mécontents" de son action et tombe au plus bas en termes de popularité. En perdant 5 points, il passe de 28 à 23%. Jusqu’à présent, il avait atteint son plus mauvais score en avril 2013 au plus fort des manifs contre le mariage pour tous. L’actuel Président se rapproche dangereusement du record d’impopularité de la Ve République atteint par François Mitterrand en décembre 1991 au moment de l’échec d’Edith Cresson à Matignon.
Toujours dans le registre de la comparaison, son prédécesseur socialiste affichait 42% de popularité en septembre 1982. Six mois plus tard, il essuyait un grave revers électoral aux élections municipales. Pour François Hollande, ce sondage marque un vrai ressac après trois mois de lente remontée dans ce baromètre. Sa cote s’effondre chez les employés (-9) et les ouvriers (-8). Il ne dispose plus que de 20% de satisfaits chez les salariés du privé. Enfin, le nombre de mécontents monte à 37% chez les sympathisants PS.
Deux raisons sont pointées par Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop : "L’effet fiscal et l’action du Président sur le dossier syrien désapprouvée par les Français." La gestion ratée de ce dossier explique sans doute l’écart qui se creuse avec Jean-Marc Ayrault dont la cote reste stable (30%) et inchangée depuis trois mois. Dernier constat : la deuxième de cette enquête a pris en compte l’intervention télévisée du chef de l’Etat dimanche dernier sur TF1. Cela ne lui a pas permis de gagner le moindre point. Preuve d’une inquiétante et prématurée usure de la parole présidentielle.
 

Tanguy Pastureau : Hollande a bien calmé Pascal Durand

samedi 21 septembre 2013

Roms: NKM se met du côté de Valls, contre "la ligne Hidalgo


Roms: NKM se met du côté de Valls, contre "la... par BFMTV

ZAPPING ACTU HEBDO DU 21/09/2013


ZAPPING ACTU HEBDO DU 21/09/2013 par lezapping

Fillon se défend sur la Syrie

Après la polémique sur ses propos concernant la position de la France sur la Syrie, François Fillon s'est justifié vendredi sur son blog, évoquant des "propos mesurés, bien en deçà des réserves et critiques qu'[il] exprime depuis plusieurs semaines à l'égard de la stratégie du président de la République dans l'affaire syrienne".
"La réaction brutale et faussement outrée de quelques socialistes est dérisoire", écrit l'ancien Premier ministre, poursuivant : "elle montre que je suis devenu une cible pour la gauche dont je ne crains ni les coups ni les intimidations. Mais surtout, cette réaction prouve que j'ai touché juste".
"N’en déplaisent à ceux qui pensent que servir la France c’est platement taire les erreurs de son gouvernement, je persiste et je signe : face au drame syrien, le Chef de l’État a fait preuve de précipitation en négligeant le rôle de l’ONU, en se plaçant sans prudence dans le sillage de nos amis américains, en ignorant nos partenaires européens, en oubliant le rôle de la Russie, en sous-estimant surtout les conséquences d’une action militaire sans buts politiques clairs", écrit-il encore.
 

ZAPPING ACTU DU 20/09/2013 - 42.000 dollars rapportés à la police par un SDF


ZAPPING ACTU DU 20/09/2013 - 42... par lezapping

FRANCE 24 L'Entretien : 21/09/2013 L'ENTRETIEN

vendredi 20 septembre 2013

Les Roms au coeur de la campagne des municipales 2014

Vive le cumul des mandats !


Vive le cumul des mandats ! par rtl-fr

Marine Le Pen dénonce les "tactiques politiciennes" de François


Marine Le Pen dénonce les "tactiques... par francetvinfo

V. Pécresse : "les Verts sont au gouvernement plus par ambition


V. Pécresse : "les Verts sont au gouvernement... par ITELE

Le Zapping vidéo d'Europe 1

Hollande insiste sur la transition énergétique à la conférence environnementale

La communication du gouvernement

La chômeuse et le président

s’en voulait sans doute d’avoir paru trop froid, comme indifférent, face à la chômeuse de 51 ans qui l’avait interpellé le 6 août sur les marches d’une agence Pôle de La Roche-sur-Yon (Vendée).
  Tenue à distance par les officiers de sécurité du , Nathalie Michaud avait pris son courage à deux mains pour l’interpeller à la volée sur les seniors pris dans la spirale des petits boulots et CDD. Ballottée entre deux emplois précaires depuis ses 40 ans, elle a dû quitter son logement pour retourner vivre chez sa mère, avec son fils étudiant. Ce jour-là, Nathalie Michaud avait donné un visage aux 600000 seniors chômeurs de la « France d’en bas ».

Un tête-à-tête en pleine crise syrienne

Une image immortalisée par les caméras, au grand dam du président, qui était apparu déstabilisé. « J’aurais dû l’inviter à l’intérieur », confiera-t-il plus tard. Dans la foulée, elle lui avait envoyé un courrier. Surprise! « Il m’a répondu que, si j’étais toujours intéressée, il pouvait me consacrer du temps pour parler du problème des seniors », raconte cette battante.

Un coup de fil plus tard, elle se retrouvait dans son bureau à l’Elysée, fin août, en tête à tête. « Je ne pensais pas qu’il aurait eu le temps, avec toute l’actualité qu’il y avait sur la Syrie! J’étais un peu angoissée, mais c’est quelqu’un qui vous met vite à l’aise, il est très humain, très à l’écoute. On a même plaisanté. » Celle qui est devenue un peu malgré elle la porte-parole des « quinquas » qui galèrent et a ouvert son blog (« Les mendiants de l’emploi ») n’en dévoilera pas davantage. Pour elle, rien n’est vraiment réglé : le 26 août, elle a signé un contrat d’assistante d’éducation dans un lycée. Une embauche programmée avant sa rencontre avec Hollande. Mais il s’agit d’un CDD à mi-temps. « Ça ne me permet pas de sortir de ma situation. Avec 500 € par mois, j’aimerais qu’on me dise comment on fait », glisse-t-elle. Elle l’assure, elle ne voulait pas voir le président pour demander de l’aide, mais « pour parler au nom de tout le monde ». « Mais si on peut m’aider, achève-t-elle, je ne vais pas dire non. »

http://www.leparisien.fr/economie/emploi/la-chomeuse-et-le-president-20-09-2013-3153401.php

François Hollande est-il vraiment écolo ?

"La transition écologique, c'est maintenant !"

Bourdin direct: Delphine Batho - 20/09

L'expresso du 20/09

Alors que s'ouvre la conférence environnementale, l'ultimatum du patron des écologistes à destination de François Hollande tient-il encore? Sur Europe 1, Pascal Durand a répété que ses propos tenus le week-end dernier n'engageaient pas sa formation, Europe Ecologie - Les Verts. "Moi, ça n'a aucun intérêt ce que je veux faire", a-t-il dit. "Ce que je veux, c'est que la France ne rate pas son rendez-vous avec l'écologie et l'avenir". Et d'assurer que si ce rendez-vous "est raté", ce ne serait pas "grave" pour lui mais pour la France.

Le choix

Déçu par la politique écologique du gouvernement, le député EELV Noël Mamère est prêt à en tirer les conséquences. "Là aujourd’hui, à l'heure où je vous parle, je ne voterai pas ce budget (2014)", a-t-il affirmé sur RTL. Se placera-t-il alors en dehors de la majorité? "Oui, mais je ne serai pas dans l'opposition pour autant", a-t-il répondu.

La critique

Opposée comme François Fillon à une intervention en Syrie, Marine Le Pen n'approuve pas les critiques de l'ancien Premier ministre depuis la Russie à l'encontre de son pays. Si "la forme ne (l)'intéresse pas", a-t-elle déclaré sur France 2, "il n'en demeure pas moins que ce n'est jamais très agréable d'entendre la France se faire critiquer". Et de pointer les "incohérences" de l'élu UMP qui, selon elle, "a surtout été interventionniste" lorsqu'il était au pouvoir. "J'aimerai savoir ce que pense vraiment au fond de lui M. Fillon", a-t-elle encore dit.
 

La phrase

Sur i-Télé, l'ex-ministre UMP Valérie Pécresse prend la défense de François Fillon, critiqué après ses propos tenus en Russie : "Quand on cible quelqu'un avec autant de violence, c'est qu'il représente un danger."

Le chiffre : 56%

Un plébiscite. Si les Français avaient à se prononcer pour les élections législatives allemandes prévues dimanche, ils reconduiraient majoritairement Angela Merkel, selon un sondage OpinionWay pour Le Figaro et LCI, publié vendredi. Ils sont ainsi 56% à souhaiter que la dirigeante allemande reste chancelière, contre 25% qui ne le souhaitent pas (19% sans opinion). Angela Merkel bénéficie d'une bonne opinion auprès de 64% des Français interrogés, contre 27% qui en ont une mauvaise opinion et 9% qui ne se prononcent pas
 

jeudi 19 septembre 2013

Jeudy politique : Sarkozy, comment revenir


Jeudy politique : Sarkozy, comment revenir par lejdd

Manuel Valls : "Marine Le Pen est incompétente. Il n'y a pas de décision prise sur l'entrée de la Roumanie dans l'espace Schengen."


Manuel Valls : "Marine Le Pen est incompétente... par franceinter

Logement: Ayrault lance le "service public de la rénovation"

"La France n'a pas besoin d'une pause mais d'une baisse fiscale!"

Hollande ovationné par le public malien - 19/09

Fiscalité : pas de "pause" mais une "stabilisation"

Bourdin direct: Jean-Pierre Raffarin - 19/09