mardi 31 décembre 2013

Sarkozy prédit une "branlée" pour l'UMP en 2014

L'UMP va se prendre une branlée aux municipales comme aux européennes." Cette citation est extraite du Canard enchaîné en kiosques aujourd'hui et elle est signée... Nicolas Sarkozy.
C'est une brève comme les affectionne l'hebdo du mercredi qui sort donc un mardi et qui est titrée "Oiseau de mauvais augure".

La citation se poursuit : "Paris, c'est plié, Marseille risque d'être perdu, il n'y aura que très peu de gains, qui ne contrebalanceront par les pertes de 2008. Le PS va s'en sortir et le Front national gagnera des villes. Il n'y aura donc pas de vague bleue, et on parlera surtout dans les médias d'une vague bleu Marine."

http://www.lindependant.fr/2013/12/31/sarkozy-predit-une-branlee-pour-l-ump-en-2014,1830354.php

Voeux à la nation: Hollande rappelle la nécessité d'"aimer la France"

A l'occasion de ses voeux pour la nouvelle année 2014, le président François Hollande a fait plusieurs annonces. En voici les principales.

Comme chaque 31 décembre et à l'instar de ses prédécesseursFrançois Hollande a présenté ses vœux aux Français. MYTF1News vous propose de (re)découvrir les annonces faites par le président de la République.  
"Pacte de responsabilité". François Hollande a annoncé mardi qu'il proposerait en 2014 un "pacte de responsabilité" aux entreprises. Celui-ci consistera à leur  proposer des réductions de charges sociales à la condition qu'elles s'engagent à embaucher et à favoriser le dialogue social. "Je propose un pacte de responsabilité aux entreprises. Il est fondé sur un principe simple : moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie, plus d'embauches et plus de dialogue social", a dit le président lors de ses voeux pour 2014.
 

Le tour de magie de François Lenglet


Le tour de magie de François Lenglet par LeHuffPost

Quand la femme de Bourdin lui donne une leçon... de journalisme


Quand la femme de Bourdin lui donne une leçon... par LeHuffPost

Hausse de la TVA: ce qui va changer en 2014 -


Hausse de la TVA: ce qui va changer en 2014... par BFMTV

Christophe Barbier: "Il n'y aura aucune information essentielle lors des voeux, ce n'est pas la

SNCM : les syndicats déçus par Ayrault

Déçus par les promesses de Jean-Marc Ayrault, les syndicats de la SNCM ont décidé de maintenir la grève. La SNCM, la CFE-CGC et la CGT marins (majoritaire) ont en effet annoncé mardi que le mouvement était maintenue mercredi. Le Premier ministre avait pourtant annoncé un peu plus tôt une avance de trésorerie de 30 millions d'euros pour la compagnie maritime.
Les négociations entre les organisations syndicales et le ministère des Transports, qui se sont achevées lundi, n'avaient pas permis la suspension d'un mouvement qui risque de fragiliser encore la situation financière de la compagnie maritime. La SNCM doit faire face au remboursement de 440 millions d'euros d'aides publiques exigé par la Commission européenne après une plainte de son concurrent Corsica Ferries.
L’État a introduit des recours contre les décisions de la Commission qui risquent de provoquer la faillite de la société détenue à 66% par Transdev, coentreprise de transports publics de Veolia Environnement et de la Caisse des dépôts, à 25% par l'Etat et à 9% par ses salariés.
 

Internet n'échappe pas à la Justice

Valls: 53.000 policiers et gendarmes mobilisés pour le Nouvel an

2014: que peut-on attendre des vœux de François Hollande? - 31/12

Bourdin Direct: Henri Guaino - 31/12

lundi 30 décembre 2013

Hollande s'engage à assurer la "stabilité fiscale"

"Quenelle": Copé soutient Valls - 30/12

Vœux: Copé appelle à s'écarter des extrêmes

Jean-François Copé invite les électeurs à ne pas porter leurs voix sur les extrêmes aux municipales et européennes de 2014 s'ils veulent infliger un vote sanction à François Hollande et désigner des maires UMP qui "auront pour mission d'adoucir la vie des Français". Dans un message de voeux diffusé lundi sur le site internet de l'UMP, le président du premier parti d'opposition souligne s'adresser notamment à "cette France silencieuse qui commence à se réveiller, blessée dans sa conscience par un gouvernement qui choisit toujours l'idéologie plutôt que le bon sens". "Pour que le message des Français soit clair, il ne faut surtout pas le diluer dans un vote extrême", déclare-t-il.
"Porter sa voix sur les extrêmes, c'est enlever de la force à l'opposition républicaine, c'est offrir à François Hollande une échappatoire et affaiblir la sanction démocratique qu'il mérite", ajoute-t-il. Jean-François Copé demande aux militants et sympathisants UMP de relayer le message et "d'appeler les Français au vote sanction en les incitant à voter dès le 1er tour pour les candidats de l'UMP". "A partir de mars, les maires UMP auront pour mission d'adoucir la vie des Français dans nos villes et nos villages, en contrant le matraquage fiscal de la gauche, en se mobilisant pour la sécurité des Français et le soutien de l'activité économique", assure le président de l'UMP.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Voeux-Cope-appelle-a-s-ecarter-des-extremes-646206

30/12/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Listes électorales: les militants sur le terrain pour inciter les inscriptions - 30/12

Hollande, un sabre à main : "J'en aurai bien besoin"

Bourdin Direct: Florian Philippot - 30/12

"Valls est tombé dans le panneau" de Dieudonné


Geoffroy Didier : "Valls est tombé dans le... par Europe1fr

dimanche 29 décembre 2013

Larcher fustige le "Sénat croupion" de Bel

"Jean-Pierre Bel est un président fantomatique. Avec lui, le Sénat est passé sous les écrans radars!" Président du Sénat de 2008 à 2011, Gérard Larcher tire à boulets rouges sur son successeur socialiste. Le sénateur UMP des Yvelines, qui sera candidat à la présidence en septembre 2014, estime que la gauche a transformé la Haute Assemblée en "Sénat croupion". "En septembre, le sujet, ce ne sera pas l’alternance, mais à quoi sert le Sénat? Quelle est la pertinence du bicamérisme?", anticipe l’ancien ministre du Travail.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Larcher-fustige-le-Senat-croupion-de-Bel-646015

Président, tendance sun tsu

Porte-parole du groupe des députés socialistes à l’Assemblée, Thierry Mandon a une manière très particulière de décrire la psychologie de François Hollande. "Le Président crée des évidences. Il n’exige jamais. C’est un Chinois." Et l’élu socialiste de puiser dans la littérature des stratèges militaires : "Ce n’est pas Clausewitz, c’est plutôt Sun Tsu. Pour Hollande, les meilleures batailles sont celles où vous amenez vos adversaires à rendre les armes sans combattre."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/President-tendance-sun-tsu-646016

Parti socialiste : SOS Désir

Le ministre de l’Intérieur fut longtemps un appui pour le premier secrétaire du PS. Mais "pour être fidèle, il faut être deux", lâche un proche de Valls qui n’a pas digéré la récente constitution des listes aux européennes. Qui soutient encore Harlem Désir parmi les ministres qui ont contribué à ce qu’il soit à la tête du Parti socialiste? "Peillon, répond un peilloniste. Les autres nous reprochent d’ailleurs d’être les derniers à le soutenir." "Vincent soutenait surtout Harlem jusqu’aux listes des européennes", grince un dirigeant du parti. soutenait surtout Harlem jusqu’aux listes des européennes", grince un dirigeant du parti.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Parti-socialiste-SOS-Desir-646026

Sauvadet et le cheval blanc de Bayrou

François Bayrou élu à Pau? L’ancien ministre UDI François Sauvadet, très réservé sur le rapprochement de son parti avec le MoDem, déroule la suite du scénario : "Il va enfourcher son cheval blanc et revenir en vitesse à Paris" ; sous-entendu : pour l’élection présidentielle de 2017.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Sauvadet-et-le-cheval-blanc-de-Bayrou-646029

La rétro "économique et sociale" de l'année 2013


La rétro "économique et sociale" de l'année 2013 par ITELE

Attali : les emplois aidés, "ce n’est pas une solution"

L’économiste Jacques Attali était l’invité du "Grand Rendez-vous" d’Europe 1/i>Télé/Le Monde, dimanche matin. Il est notamment revenu sur les chiffres du chômage et la promesse de François Hollande d’inverser la courbe d’ici la fin de l’année 2013 : "je trouve ça très courageux de la part du président de la République d’avoir engagé sa parole sur un projet, et ce projet est juste. Il faut juger ce combat sur le moyen et le long terme, pas seulement sur un mois. Le combat n’est ni gagné ni perdu pour l’instant, même s’il est sans doute perdu pour ce qui est de l’inversion d’ici fin décembre. Il ne peut être gagné que par des réformes de structures, qui ne sont pas du tout engagées encore."
Interrogé sur le bien fondé des emplois aidés, Jacques Attali rappelle qu’ils ont "inversé la courbe du chômage, même si cette expression est mathématiquement absurde, pour ce qui est des jeunes. Mais pour moi, ce n’est pas une solution. On ne règlera pas le problème du chômage ainsi. Il faut des réformes plus profondes, qui sont d’ailleurs à la portée du président."
 

Baroin: "Hollande est sous sa bulle de verre"

François Baroin, ancien ministre UMP de l'Economie, affirme que "François Hollande est sous sa bulle de verre, prisonnier du piège qu'il s'est tendu pendant la campagne", en faisant "croire que Nicolas Sarkozy était responsable de la crise", dans le journal du dimanche daté du 29 décembre. "Or, il s'agit d'une mutation mondiale", poursuit l’ancien président, affirmant également que le chef de l'Etat a "tapé trop fort avec les impôts". Selon lui, "le choc fiscal a détruit la confiance des consommateurs et des entreprises qui n'investissent plus. Les agents économiques ont peur, il n'y a rien de plus ravageur pour la croissance

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Baroin-Hollande-est-sous-sa-bulle-de-verre-645904

vendredi 27 décembre 2013

Chômage: le pari perdu de François Hollande

Le chômage : "Il faut avancer sur tous les fronts"


Le chômage : "Il faut avancer sur tous les fronts" par Europe1fr

Chômage : "Un déni de réalité


Chômage : "Un déni de réalité" par rtl-fr

Ayrault: la bataille de l'emploi "nous allons la gagner"

Rétro 2013: Valls et Le Pen, les grands gagnants de l'année politique

Bourdin Direct: Jean-Claude Mailly - 27/12

Sapin : "on n’est pas là pour faire des promesses aux Français"

Michel Sapin, ministre du Travail, était l’invité d’Europe 1, vendredi matin. Au lendemain de la publication des chiffres du chômage, qui sont repartis à la hausse, il a été interrogé sur la promesse de François Hollande d’inverser la courbe avant la fin de l’année, qui ne sera donc pas tenue : "Vous n’en savez rien, car vous n’avez pas encore les chiffres du mois de décembre ! Mais je ne vais pas pinailler comme ça, je n’aime pas les pinailleurs. La question n’est pas là. Le président est là pour fixer le cap, et le cap, c’est la bataille contre le chômage. Il est là pour fixer un objectif : l’inversion de la courbe du chômage. Il est là pour constater aujourd’hui que cette inversion est amorcée. Nous ne sommes pas dans le temps des promesses ni des élections, mais dans le temps des responsabilités. On n’est pas là pour faire des promesses aux Français. On est là pour changer les choses, et nous le faisons avec détermination, dans un contexte difficile."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Sapin-on-n-est-pas-la-pour-faire-des-promesses-aux-Francais-645621

"La droite la plus bête du monde"

jeudi 26 décembre 2013

Politique Première: Publication des chiffres du chômage: Hollande va-t-il tenir son pari? - 26/12


Politique Première: Publication des chiffres du... par BFMTV

Michel Sapin: "1.300 chômeurs de moins par mois" - 26/12

Listes électorales: des inscriptions de plus en plus tardives - 26/12

Le chômage a augmenté de 0,5% en novembre

Le taux de chômage a progréssé de 0,5% en novembre 2013. Le nombre de demandeurs d'emploi sans activité est de 3,29 millions. En tenant compte des personnes ayant exercé une activité réduite, il s'inscrit en revanche en baisse de 0,1%.

Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A est reparti à la hausse en novembre en France après le net recul enregistré le mois précédent, augmentant de 0,5% (+ 17.800 personnes), pour s'établir à 3.293.000, selon les données publiées jeudi par le ministère du Travail. En tenant compte des personnes ayant exercé une activité réduite (catégories B et C), il s'inscrit en revanche en baisse de 0,1% (-6.900) à 4.876.100. Avec les départements d'Outre-mer, le total atteint 5.174.300.

Les évolutions enregistrées en novembre sont inverses mais avec une moindre amplitude de celles du mois précédent où le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A avait reculé de 0,6% et celui incluant les catégories B et C avait progressé de 0,8%. Dans un communiqué, le ministre du Travail, Michel Sapin, a toutefois estimé que "l'inversion de la courbe du chômage est bel et bien engagée en ce quatrième trimestre de 2013".
"Alors que le chômage (en catégorie A) progressait d'environ +30.000 par mois en moyenne au premier trimestre 2013, il progressait de +18.000 par mois en moyenne au deuxième trimestre, puis de +5.500 au troisième trimestre", souligne-t-il. "Sur les deux premiers mois du quatrième trimestre (octobre et novembre), l'évolution est à la baisse de -1.350 en moyenne par mois", poursuit-il. Sur un an, la progression du nombre de chômeurs en catégorie A en métropole ressort à +5,6%. Elle est de 5,9% en incluant les catégories B et C. "Au-delà du dernier chiffre de 2013 à venir, c'est la bataille de l'inversion durable, mois après mois, qu'il faut gagner en 2014 : elle est à notre portée", estime Michel Sapin.
 

dimanche 22 décembre 2013

Municipales 2014: Nathalie Kosciusko-Morizet assume la composition de sa liste - 22/12

Municipales: le FN prévoit une percée à Paris - 22/12

Larcher plaide la cause de Fillon

Reçu récemment par Nicolas Sarkozy, Gérard Larcher a conseillé à l'ancien président de la République de reprendre contact avec François Fillon. "J'ai dit à Sarko : 'Vous devez vous voir, vous expliquer.' Il ne m'a pas répondu", confie le sénateur UMP des Yvelines, un proche de François Fillon

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Larcher-plaide-la-cause-de-Fillon-645087

La grogne des jeunes socialistes

"Nous nous désespérons que Harlem Désir ne mette pas en valeur nos jeunes candidats, dont beaucoup partent à l'assaut de fiefs de droite", soupire un socialiste membre du Deuxième bureau, un réseau de jeunes secrétaires de section animé par Nicolas Brien et parmi lesquels on compte une cinquantaine de candidats aux municipales de mars 2014

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/La-grogne-des-jeunes-socialistes-645088

Algérie : Hollande exprime ses "regrets"

François Hollande "exprime ses sincères regrets pour l'interprétation qui est faite de ses propos" sur l'Algérie et "en fera directement part" au président algérien Abdelaziz Bouteflika, selon un communiqué de l'Elysée publié dimanche.
Le chef de l'Etat avait déclaré le 16 décembre sur le ton de la plaisanterie devant le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), que le ministre de l'Intérieur Manuel Valls était rentré d'Algérie "sain et sauf". "C'est déjà beaucoup", avait-il ajouté
 

Vallaud-Belkacem "fière" de l'action française en Centrafrique

Najat Vallaud-Belkacem était l’invitée du Grand Rendez vous Europe 1 - Le Monde - I<Télé, dimanche matin. Interrogée sur la présence de l’armée française en Centrafrique, la porte-parole du gouvernement rappelle que "la France n’est pas seule, nous sommes en appui de la force africaine. Le soutien de la communauté internationale est là, le soutien de l’union européenne est là. Les Français y sont pour l’intérêt des Centrafricains qui sont en train de vivre une tragédie humanitaire. On y est de façon ponctuelle. C’est une bonne chose que la France ait cette capacité d’intervention. Cela nous donne des responsabilités et nous les avons prises. Personnellement, j’en suis fière."

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Vallaud-Belkacem-fiere-de-l-action-francaise-en-Centrafrique-645035

Boutade de Hollande: "une moins-value" pour les liens franco-algériens

NKM déclenche la tempête à Paris

Pas de trêve des confiseurs pour l’autoproclamée "tueuse" Nathalie Kosciusko-Morizet. La candidate UMP à la Mairie de Paris a choisi le premier jour des vacances de Noël pour lancer sa contre-attaque, alors que sa campagne connaît un dangereux trou d’air. NKM a d’abord jugé urgent de tenter de remettre un peu d’ordre dans la droite parisienne, où les foyers de rébellion se propagent. "À un moment, il faut siffler la fin de la récré", assume-t-on dans son entourage.
Dans un entretien au Parisien, NKM a arrosé à la sulfateuse tous ceux qui, pense-t-elle, entravent sa marche vers les municipales. "Une interview, une balle dans chaque réponse", soupire une tête de liste parisienne. "Je suis confrontée à des manoeuvres de retardement, d’empêchement", clame NKM, mettant en cause sans les citer les patrons de l’UMP et de l’UDI, Jean-François Copé et Jean-Louis Borloo. Le premier est un proche du chef d’entreprise Charles Beigbeder qui, fâché de ne pas figurer en bonne place dans le 8e arrondissement, a annoncé, samedi, son intention de lancer une autre liste de la droite et du centre à Paris et s’est placé "en retrait" de l’UMP. "La direction nationale n’est pas responsable des dissidences", explique-t-on dans l’entourage de Copé. Avant de lancer tout de même en direction de NKM : "Parfois, il faut savoir ouvrir les bras pour constituer des listes qui représentent tout le monde." Le patron de l’UMP s’est longuement entretenu avec la candidate samedi.

"C’est trop facile de m’insulter. Nathalie devrait faire attention"

Au QG de NKM, rue de la Lune, on ne s’inquiète pas outre mesure. "Charles Beigbeder nous menace de la guerre thermonucléaire, à partir du 7 janvier. Quand il sera revenu de Courchevel?", s’amuse Jérôme Peyrat, conseiller politique de NKM, quand un autre conseiller fait remarquer que Beigbeder, "qui n’est pas un politique, n’a pas le poids de Jean Tiberi", maire sortant entré en dissidence contre Philippe Séguin en 2001, année de l’élection de Bertrand Delanoë.
Quant à Jean-Louis Borloo, il ne décolère pas après la publication, samedi midi, d’un embryon de liste d’union UMP-Centre à Paris où toutes ses exigences, calées lors d’un accord avec NKM et Marielle de Sarnez le 5 décembre, ne sont pas reprises. "Je m’emmerde pendant douze heures pour boucler cet accord et maintenant elle le déchire, pestait-il samedi. Cela ne va pas aller loin, son histoire!" Borloo est d’autant plus agacé qu’aucun MoDem n’a été rayé de la liste, il soupçonne un accord NKM-Marielle de Sarnez dans son dos, les deux femmes s’entendant très bien. "L’Alternative a pris un bon coup derrière les oreilles", soupire un membre de l’équipe dirigeante de l’UDI. "En même temps, si on avait attendu Borloo, on aurait finalisé les listes en avril, après l’élection", proteste un conseiller de NKM quand un autre pense qu’après ce coup de chaud, "cela va se boucler très vite".
Comme si ce bazar généralisé ne suffisait pas, NKM a également décidé de s’expliquer avec Dati. À la maire du 7e qui lui avait administré une leçon de campagne jeudi matin, elle a conseillé en retour "de se consacrer à son arrondissement dans lequel elle mène une bataille difficile". Dati refuse de jouer les boucs émissaires. "Je ne veux pas ajouter de la division à la division, de la difficulté à la difficulté, confiait-elle samedi au JDD. Mais c’est trop facile de m’insulter. Nathalie devrait faire attention." Une menace à peine voilée. Acculée, NKM a décidé, à ses risques et périls, de percer tous les abcès à la fois. 
 

Cote de popularité : légère embellie pour François Hollande

Selon le dernier baromètre Ifop publié par le Journal du Dimanche, la cote de popularité du président de la République remonte légèrement, avec 22% d'opinion favorable (+2) en décembre. Une première depuis le mois d'août. Jean-Marc Ayrault gagne un point (24%).

Un cadeau de Noël avant l'heure pour François Hollande. Habituellement malmené par les sondages, le président de la République va sans doute garder précieusement celui-ci. Selon le dernier baromètre Ifop que publie le Journal du Dimanche, sa cote de popularité gagne deux points en décembre. 22% des personnes interrogées se disent ainsi satisfaites "de François Hollande comme président de la République". Une embellie qu'il n'avait plus connu depuis le mois d'août.
Ce sont les jeunes qui portent la cote de popularité du chef de l'Etat (+8) ainsi que les classes supérieures (cadres et professions libérales, +3). Les sympathisants du Front de gauche (+5), d'Europe Ecologie-Les Verts (+14) et du PS (+3) appuient également cette remontée.
Hollande ne séduit plus les classes populaires
En revanche, les Français sondés sont encore 78% à se dire mécontents (38% plutôt mécontents et 40% très mécontents), mais c'est cependant un point de moins qu'en novembre. Un mécontentement qu'on retrouve principalement chez les ouvriers (83% d'insatisfaits), les employés (81%) et les professions intermédiaires (75%). Selon l'Ifop, les Français s'inquiètent majoritairement de la prochaine hausse de la TVA, désapprouvent l'intervention en Centrafrique et sont indifférents à l'inversion de la courbe du chômage annoncée en novembre. Des sujets qui seront pourtant au cœur des prochaines élections municipales en mars et européennes en mai.
Jean-Marc Ayrault profite également d'une bonne passe. Le Premier ministre gagne un point avec 24% d'opinions favorables. Mais le nombre de personnes insatisfaites de son rôle de chef du gouvernement sont également plus nombreuses (75%, +1) quand 1% ne se prononcent pas.

Sondage réalisé par téléphone du 13 au 21 décembre auprès d'un échantillon de 1.937 personnes, représentatif de la population française adulte (méthode des quotas).
 

samedi 21 décembre 2013

Municipales: Bournazel appelle au rassemblement autour de NKM, "la seule qui puisse gagner Paris" -


Municipales: Bournazel appelle au rassemblement... par BFMTV

"Ayrault et Hollande ont des relations sans complications"


"Ayrault et Hollande ont des relations sans... par rtl-fr

Tanguy Pastureau : Hollande et le lapin crétin


Tanguy Pastureau : Hollande et le lapin crétin par rtl-fr

Valls présente le dispositif de sécurité à Paris pour les fêtes

Beigbeder : "Ce n'est pas un front anti-NKM même si les relations sont tendues"


Vacances des ministres: ni trop loin, ni trop longtemps, sauf déplacement officiel - 21/12

Dati, Beigbeder, Copé : NKM règle ses comptes

Contestée dans son parti, Nathalie Kosciusko-Morizet passe à l'offensive. Dans une interview accordée au Parisien samedi, la candidate UMP met en cause "les états majors des partis". "Certains, tout en parlant de victoire, n'hésitent pas, dans l'ombre, à organiser les défaites" et "aujourd'hui encore, je suis confrontée à des manoeuvres de retardement, d'empêchement", déplore l'ex-ministre. "Mais je le dis : elles seront toutes mises en échec, car le destin de Paris se décide dans ses quartiers, pas dans les états majors des partis politiques. J'ai une absolue confiance en la capacité des Parisiens à imposer leur loi aux appareils en tous genres", assure NKM. "Au plan local, avec Marielle de Sarnez (MoDem) et Christian Saint-Etienne (UDI), deux personnalités que j'estime, l'accord a été facile à trouver" pour la constitution de listes communes dès le 1er tour, fait-elle valoir, relevant que "c'est du côté de la direction nationale, à l'UMP comme à l'UDI, que sont venues les réticences".

Beigbeder "m'aime trop ou pas assez"

"Chaque combat a ses défaitistes, ses velléitaires, ses donneurs de leçons" mais "j'ai de la force pour ceux qui en manquent. Je parcours cette campagne, comme la vie en général, avec l'esprit de résistance", affirme-t-elle encore. Elle fustige tout particulièrement l'homme d'affaires Charles Beigbeder, un proche du président de l'UMP Jean-François Copé, qui a violemment critiqué son attitude dans une interview au JDD.fr"Le problème avec Charles Beigbeder", juge-t-elle, "c'est qu'il m'aime trop ou pas assez. Il a fait devant moi, et pendant des semaines, une danse du ventre endiablée pour être sur mes listes. Quand cela s'est avéré impossible, il m'a agonie d'injures. On ne peut pas me reprocher d'être autoritaire et de ne pas imposer quelqu'un dont personne ne veut". Enfin, évoquant le cas de Rachida Dati, qui lui a conseillé de "voir beaucoup plus les élus", NKM cingle : "Je connais bien Rachida. La démesure fait partie de son charme. Maintenant, je crois aussi qu’elle devrait se consacrer à son arrondissement, dans lequel elle mène une bataille difficile".
 

vendredi 20 décembre 2013

Parlement Hebdo : Pierre Laurent, sénateur communiste


Parlement Hebdo : Pierre Laurent, sénateur... par LCP

Marseille : le coup de gueule d'Olivier Mazerolle

Les sages-femmes saluent une "avancée" avec le gouvernement

Centrafrique: timide engagement des Européens

20/12/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Emmanuelle Cosse : "L'écotaxe sera mise en place en 2014"

Dans les Ardennes, un village envisage un couvre-feu - 20/12

Centrafrique: Hollande veut que l'opération devienne européenne

Bourdin Direct: Guillaume Pepy, Président de la SNCF - 20/12

L'expresso du 20/12

Pour faire durablement baisser le chômage, le patron du Medef Pierre Gattaz prône des "réformes structurelles". "Tant que ces mesures-là ne sont pas prises en France, notamment dans la baisse des charges et des dépenses publiques, malheureusement nous resterons à des niveaux de 11% de chômage et nous risquons de passer à côté de la croissance", a-t-il alerté sur RTL.

La phrase
"Jean-Marc Ayrault regarde la situation du chômage avec des jumelles, c'est-à-dire loin", a déclaré sur i-Télé l'ex-ministre UMP Brice Hortefeux, alors que le Premier ministre a affirmé la veille que l'objectif d'inversion de la courbe du chômage en 2013 serait atteint.

Le conseil

La nouvelle patronne d'Europe Ecologie - Les Verts, Emmanuelle Cosse, a des solutions pour réduire les dépenses de l'Etat. "On peut arrêter des projets inutiles, comme celui de Notre-Dame des Landes", a-t-elle déclaré, estimant le coût de cet aéroport à 15 milliards d'euros. "On peut aussi se poser la question : 'pourquoi fait-on des économies et pourquoi on regarde pas les recettes?'", a ajouté la secrétaire nationale, qui a regretté une "vision libérale de l'économie".

L'engagement

Après l'ex-directeur de la police nationale Frédéric Péchenard, candidat auprès de NKM dans la municipale parisienne, c'est l'ancien patron du Raid, Amaury de Hautecloque, qui a décidé de s'engager en politique, indique Le Figaro. Celui qui a notamment supervisé l'affaire Merah vient de rejoindre le mouvement de la Droite forte à l'UMP, créé par Guillaume Peltier et Geoffroy Didier. L'ex-patron du Raid, qui n'es plus en fonction depuis avril 2013, était présent à la convention de ce mouvement organisée mardi au siège de l'UMP.
Lire aussi notre portrait paru dans notre édition du 13 octobre : Amaury de Hauteclocque, un grand flic qui assure

Le coup de gueule

"Colère!", c'est le nom du dernier billet de Julien Dray diffusé sur son site. Le socialiste s'"indigne" des réactions à la candidature du syndicaliste Edouard Martin aux européennes. "Oui, il y a bien du mépris de classe dans le traitement qui a été réservé pendant la journée (de mardi) à Edouard Martin. On tolère les ouvriers comme on tolère les Indiens des Réserves aux Etats-Unis", écrit l'ex-député, qui fut lui aussi engagé dans le syndicalisme. Il dénonce également "la conception que se font certains de la politique : une chasse-gardée, un domaine où les privilèges jouxtent la rente mais d’où doivent être exclus ouvriers, employés".
 

jeudi 19 décembre 2013

Grand Angle: Sarkozy: son retour est-il piégé ?


Grand Angle: Sarkozy: son retour est-il piégé... par BFMTV

Politique Première: France: le Rafale rate son départ pour le Brésil - 19/12


Politique Première: France: le Rafale rate son... par BFMTV

L'UMP a son programme commun


L'UMP a son programme commun par rtl-fr

Arnaud Montebourg : "Nous sommes inquiets de toute forme de dérive du low-cost"


Arnaud Montebourg : "Nous sommes inquiets de... par rtl-fr

Bernadette Chirac se bat contre le redécoupage de son canton corrézien - 19/12

Le Drian : "Il est urgent d'aborder les questions de Défense avec l'Europe"

«Anne Hildago, répondez-moi!»

L'expresso du 19/12

Sur France Info, Rachida Dati a tenté d'expliquer pourquoi la campagne de Nathalie Kosciusko-Morizet ne décollait pas à Paris. "C'est une candidate qui n'est pas Parisienne, c'est plus compliqué", a notamment déclaré la maire UMP du 7e arrondissement de la capitale, qui a évoqué aussi le choix délicat des têtes de liste. "Il faut qu'elle voit beaucoup plus les élus, qu'elle voit aussi les militants qui ont parfois le sentiment de ne pas être entendus", a préconisé Rachida Dati. "Ça, je pense qu'elle doit le faire à la rentrée, en tout cas c'est ce qui est prévu."

La traduction

Comment interpréter les mots du président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, qui a dit mardi "faire avec" Jean-Marc Ayrault? "Il n'a pas eu le temps de finir sa phrase", a répondu sur i-Télé le ministre chargé des relations avec le Parlement, Alain Vidalies. Un brin ironique, ce dernier a assuré que le socialiste voulait notamment dire : "On fait avec Jean-Marc Ayrault la réforme des retraites." "Cela mérite très largement d'être nuancé", a ajouté plus sérieusement le ministre, qui assure que cette phrase a été mal interprétée.

Le démenti

Le nom de Louis Gallois, actuel commissaire général à l'investissement qui avait remis au gouvernement un rapport sur la compétitivité française, est parfois évoqué pour prendre la tête de Bercy en cas de remaniement. "J'ai passé l'âge", a tranché sur BFMTV l'ex-dirigeant de la SNCF. "Le général de Gaulle disait 'ce n'est pas à 68 ans qu'on devient dictateur'. Moi je dis 'ce n'est pas à 70 ans qu'on commence la politique'", a-t-il ajouté.

L'optimisme

"Le Brésil n'est pas la cible prioritaire", a relativisé sur Europe 1 le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, après que le géant sud-américain a refusé de passer un contrat de 3,6 milliards d'euros avec le Rafale français. "Nous avons de bonnes raisons de croire que sur l'Inde et le Golfe, nous aurons des résultats", a-t-il précisé, en assurant qu'il ne s'agissait pas d'un "échec" mais d'une "déception".

L'avertissement

Arnaud Montebourg n'en démord pas. "Il est possible que dans cette guerre des prix nous ayons un mort", a déclaré sur RTL le ministre du Redressement productif à propos de la surenchère à laquelle se livrent les opérateurs sur la 4G. Avec la baisse des prix, le socialiste craint pour l'emploi. "J'appelle tout le monde à la modération", a-t-il déclaré, après s'être écharpé la semaine dernière sur Twitter avec le fondateur de Free, Xavier Niel.
Lire aussi l'interview de Xavier Niel au JDD : "Montebourg se fait abuser" 

La candidature

Après Edouard Martin tête de liste du PS aux européennes, un autre syndicaliste de Florange pourrait s'engager en politique. Selon Libération, la candidature du leader de Force ouvrière, Walter Broccoli, est "sérieusement envisagée" pour les municipales sur la liste de l’UMP à Thionville (Moselle). Celle-ci sera officielle début février. Contacté par Le Figaro, le syndicaliste, qui a vivement critiqué l'engagement d'Edouard Martin, a déclaré n'avoir "pris aucun engagement dans aucun parti" même s'il reconnait avoir eu "des discussions" avec l'UMP.
 

La colère de Bernadette Chirac

Le canton corrézien de Bernadette Chirac va disparaître. Furieuse, elle s'est rendue place Beauveau et à l'Elysée. Elle a aussi présenté son propre projet de redécoupage.

Elue au Conseil général de Corrèze depuis 1979, Bernadette Chirac va voir son canton disparaître dans le cadre de la réforme territoriale. Selon Europe, d'après les premières moutures du projet de réforme en vue des élections cantonales de 2015, le département de François Hollande devrait passer de 37 à 19 cantons, plus peuplés. Le fief des Chirac serait ainsi morcellé en trois.

Lors des prochaines élections cantonales de 2015, Bernadette Chirac aura 82 ans. A gauche comme à droite certains pensait qu'elle achèverait son sixième mandat avant de tirer sa révérence. "On pensait qu'elle ne représenterait pas, on a peut-être fait une erreur d'appréciation" reconnaît un élu socialiste dans Le Parisien. Bernadette Chirac, elle, a récemment indiqué à Paris Match qu'elle n'avait pas encore pris sa décision.
"Attaque personnelle"
Bernadette Chirac ne compte pas en rester là. L'ex-première Dame a été reçue le 12 décembre par Bernard Combes, conseiller de François Hollande, maire de Tulle et premier vice-président  du Conseil général de Corrèze. Un entretien au cours duquel elle a présenté sa propre carte des nouveaux cantons corréziens. Sur Europe 1, Daniel Chassaing qui a travaillé avec Bernadette Chirac à ce contre-projet explique : "C'est une attaque que l'on peut interpréter comme personnelle. Son canton est complètement éclaté, explosé, il n'existe plus ! Je pense que le président de la République n'est pas complètement étranger à ce découpage", a-t-il estimé.
Bernadette Chirac est aussi allée voir Manuel Valls pendant une heure. François Hollande, lui-même, a dû fournir des explications pendant 40 minutes. Sans succès, pour l'heure, selon Bernard Combes, interviewé jeudi sur Europe 1. Pour lui, François Hollande ne lui a pas donné le sentiment mercredi de vouloir aller dans le sens de Bernadette Chirac, lui expliquant "que le découpage avait été parfaitement équilibré". "Madame Chirac a une grande expérience politique, elle sait comment ça fonctionne, je ne pense pas qu'elle sera fâchée", a-t-il dit sur Europe 1. Ajoutant qu'il n'y a pas à ses yeux, "d'attaques personnelles là-dedans".
 

Bourdin Direct: Louis Gallois - 19/12

mercredi 18 décembre 2013

Ayrault, Guaino et Charlotte Casiraghi: Les cartons de la semaine

Jean-Pierre Raffarin à Nicolas Sarkozy : "c'est trop tôt ! Travaille, prépare l'alternance


Jean-Pierre Raffarin à Nicolas Sarkozy : "c'est... par ITELE

Zapping de l’actu: 18/12 - Sarkozy premier fan de Carla, il gagne 28 millions au loto et donne tout…


Zapping de l’actu: 18/12 - Sarkozy premier fan... par BFMTV

Top Questions : Séance des questions du mercredi 18/12


Top Questions : Séance des questions du... par LCP

Retraites: des syndicats rassemblés près de l'Assemblée

Paris: présentation des têtes de listes FN

Ayrault "très fier" de la réforme sur les retraites - 18/12

18/12/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Édouard Martin change de casquette

Jean-Marc Ayrault "peu crédible sur la réforme de l'État"

Woerth : "On s'acharne beaucoup sur l'ancien gouvernement"

Le Clash Figaro-Nouvel Obs : 2014, année du Front National ?

Bartolone "fait avec" Ayrault


Bartolone sur Ayrault : "On fait avec" par FranceInfo

L'expresso du 18/12

Alors que Claude Guéant était entendu mardi sur les primes versées au ministère de l'Intérieur de 2002 à 2004, l'ex-ministre Eric Woerth a été interrogé sur Europe 1 sur l'existence d'éventuelles "caisses noires de la Sarkozie", référence à la Une de Libération mercredi. "Des caisses noires? De quoi? D'où? Je n'en sais rien, je ne comprends même pas la question…", a répondu laconique le député UMP. "Les caisses de l'UMP sont plutôt vides que noires", a-t-il ironisé ensuite.

Le conseil

Interrogé sur i-Télé sur un éventuel retour de Nicolas Sarkozy, Jean-Pierre Raffarin a jugé qu'il n'était pas "la peine d'occuper le tapis avec cette idée" avant 2016. "Ce n'est pas l'intérêt de Nicolas Sarkozy et de l'UMP de provoquer retour anticipé", a déclaré l'ex-Premier ministre. Le sénateur UMP a toutefois reconnu quelques "traits assez constants" chez l'ancien chef de l'Etat, comme "l'impatience".
Revoir l'édito vidéo de Bruno Jeudy : Sarkozy est partout

La phrase

"Nous savions très bien qu’Edouard Martin était un syndicaliste vendu au PS", a déclaré sur Europe 1 l'ex-ministre UMP Nadine Morano, qui affrontera le leader de la CFDT lors des élections européennes de mai prochain.

La satisfaction

Pour la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine, la candidature d'Edouard Martin "montre que le Parti socialiste sait ouvrir ses portes, rassembler". "C'est une belle nouvelle", a-telle affirmé sur France 2. 

La concession

Dans la circonscription du Sud-Est, la tête de liste socialiste ne sera autre que le ministre de l'Education, Vincent Peillon, qui souhaite toutefois garder sa place au gouvernement. "Il n'accomplira peut-être pas totalement" son mandat, a reconnu sur RTL son collègue Thierry Repentin, ministre des Affaires européennes. "Je sais néanmoins qu'il siégera à terme au Parlement européen", a toutefois assuré le ministre, pour qui Vincent Peillon "tirera la liste" PS.

La menace

Après la colère de Charles Beigbeider sur leJDD.fr, Franck Margain, ex-rival de NKM à la primaire UMP pour la mairie de Paris, menace à son tour de "tirer sa révérence" s'il n'est pas en position éligible dans le 12e arrondissement de la capitale. "J'emporterai mes 4% d'électeurs avec moi. Je ne jouerai pas les bénis oui oui d'une droite qui ne reconnaît pas les siens", déclare au Huffington Post ce membre du Parti chrétien-démocrate.
Lire aussi notre interview de Charles Beigbeder : "NKM est méprisante, elle n’écoute personne"
 

mardi 17 décembre 2013

Fiscalité : stop ou encore ?


Fiscalité : stop ou encore ? par LCP

Zapping de l'Actu: 17/12 - Guéant en garde vue, un ado sauve un bébé des flammes...

Jean-François Copé : "Un autre chemin est possible


Jean-François Copé : "Un autre chemin est... par rtl-fr

Centrafrique: Laurent Fabius annonce la future intervention de troupes européennes - 17/12

17/12/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Le Foll : "Pas de risque sanitaire"

Bourdin Direct: Benoit Hamon - 17/12

L'expresso du 17/12

Michel Sapin se verrait-il à Matignon? "Non et je l’ai toujours dit, d’abord parce que je ne vois pas pourquoi on changerait de Premier ministre, la continuité dans l’action", a répondu sur i-Télé le ministre du Travail, avant d'avancer un autre argument : "Et puis ensuite parce que voilà, j’ai une relation au président de la République un peu particulière", a-t-il confié. "Ça peut aider!", a rétorqué Christophe Barbier. Réponse de l'intéressé : "Et ça peut compliquer…"

Le regret

Sur BFMTV, Benoît Hamon a concédé qu'il regrettait que le gouvernement n'ait pas donné un coup de pouce au Smic en janvier. "J'aurais préféré que ça augmente", a déclaré le ministre délégué à la Consommation. "Ça me fait mal au cœur qu'aujourd'hui on soit dans une situation de contrainte", a-t-il ajouté. "Je préférais qu'on soit dans une situation économique aujourd'hui qui nous permettent de donner un vrai coup de pouce", a poursuivi Benoît Hamon.

La mise au point 

Jean-François Copé est revenu sur la chronique désormais quasi-quotidienne du retour de Nicolas Sarkozy. "C'est un feuilleton que je n'ai pas prévu d'alimenter. Je ne suis pas le porte-parole de Nicolas Sarkozy", a prévenu le patron de l'UMP. Quant à la rumeur selon laquelle il aurait déjeuné avec l'ancien chef d'Etat, il évacue : "J'en serais ravi mais ça n'est pas d'actualité."

La promotion

Le ministre du Travail, Michel Sapin, a assuré sur i-Télé que la réforme de la formation professionnelle constituait "une révolution pour chacun d'entre nous". "On ne va plus raisonner par case. Aujourd'hui, ceux qui bénéficient le moins de formation, ce sont les chômeurs alors que ce sont ceux qui en ont le plus besoin", a-t-il ajouté. 

La phrase

"On ne peut pas mettre tous les gens qui ont plus de 70 ans à la retraite ou dans des asiles", a lancé sur France Info, Jean-Claude Gaudin, 74 ans, candidat UMP à la mairie de Marseille.
 

lundi 16 décembre 2013

Hollande doit être l'homme de la nation européenne

Sondage: Hollande gagne 4 points

La popularité de François Hollande a augmenté de quatre points en un mois et celle de Jean-Marc Ayrault de deux points, selon un sondage BVA-Orange pour L'Express, la presse régionale et France Inter diffusé aujourd'hui.

Le président français recueille désormais 33% de bonnes opinions et 66% de mauvaises (-3 points) et le premier ministre 28% de bonnes opinions et 70% de mauvaises (-1 point).

"La remontée est constante : le président est ainsi passé de 26% à 33% entre octobre et décembre", souligne Gaël Sliman, directeur général adjoint de BVA. "Mais les Français continuent de souhaiter un remaniement avec changement de premier ministre." Près des deux tiers (64%) des sondés souhaitent un changement de premier ministre, soit une hausse d'un point, 27% ne le souhaitant pas (-2 points).

La proportion des Français pensant que la politique de l'exécutif est juste a augmenté de sept points, à 33%, et celle de ceux pensant qu'elle est efficace de trois points, à 18%.

Le sondage a été réalisé les 12 et 13 décembre auprès d'un échantillon de 991 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/16/97001-20131216FILWWW00546-sondage-hollande-gagne-4-points.php

Politique Première: le rêve allemand de François Hollande - 16/12


Politique Première: le rêve allemand de... par BFMTV

Hausse de 1,1% du Smic en janvier 2014 - 16/12


Hausse de 1,1% du Smic en janvier 2014 - 16/12 par BFMTV

Guillaume Garot: "On ne peut pas jouer avec l'assiette des consommateurs" - 16/12


Guillaume Garot: "On ne peut pas jouer avec l... par BFMTV

"Ce que je fais est difficile," dit J-M Ayrault, défendant la politique de son gouvernement

Pour Jean-Marc Ayrault il n'y a pas de divergence avec le président - 12/16

L'expresso du 16/12

Pour Marion Maréchal-Le Pen, le rapport controversé sur l'intégration diffusé sur le site de Matignon, est "l'anti-modèle républicain". "C'est une réelle provocation à l'égard du modèle républicain qui est celui de la France", a estimé la députée FN, qui y voit là "l'aboutissement de l'idéologie défendue par l'UMP et le PS".

La réaction

Le ministre délégué à la Consommation, Benoît Hamon, a donné quelques précisions sur RTL alors que les gendarmes ont entamé lundi une vaste opération dans le cadre d'une enquête contre un trafic de viande de cheval. "Il s'agirait de chevaux impropres à la consommation, qui devaient finir chez l'équarrisseur et qui potentiellement finiraient chez le boucher", a précisé le ministre. Et de souligner la différence avec l'affaire Spanghero : "On vendait du cheval à la place du bœuf, on était dans la tromperie commerciale. Là il pourrait s'agir d'un problème sanitaire, c'est différent de ce que l'on a connu."

Le chiffre

Selon un sondage BVA pour Le Parisien, Martine Aubry recueillerait 64% des voix au second tour de l’élection municipale à Lille si le scrutin de déroulait dimanche, loin devant son adversaire de l’UMP, Jean-René Lecerf. Au premier tour, le maire PS sortante arriverait largement en tête avec 45% des suffrages.

La phrase

"J'ai recensé 36 couacs. Les deux derniers sont plus graves : ce sont des différends entre le Président et le Premier ministre", a lancé sur Europe 1 l'ancien ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux. 

La mise en garde

Alors que la conférence citoyenne rend lundi son avis sur la fin de vie, Ségolène Royal s'est montrée prudente sur i-Télé : "Il faut faire attention au vocabulaire ce ne sont pas l'euthanasie ou le droit au suicide qui sont des termes affreux, épouvantables. C'est le droit à mourir dans la dignité."

La confidence

Fidèle parmi les fidèles de l'ex-chef d'Etat et président de l'association des amis de Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux a confié sur Europe 1 : "Il n’est pas prisonnier d’un calendrier, quel qu’il soit. C’est un homme libre. La réalité est simple : il a dit en 2012 qu’il n’entendait pas intervenir dans la vie politique française quotidienne et il ne le fait pas. Il ne donne pas d’interview, il ne s’exprime pas publiquement, ne tient pas de réunion publique. Pour autant, il écoute, entend, observe et partage les préoccupations des Français face à l’avalanche d’échecs que nous vivons : sécuritaires, sociaux, économiques."
 

16/12/2013 REVUE DE PRESSE FRANCAISE

Hortefeux : "Sarkozy n'est pas prisonnier d'un calendrier"

Najat Vallaud-Belkacem, très attachée à la laïcité

Bourdin Direct: Marion Maréchal-Le Pen - 16/12

dimanche 15 décembre 2013

Un socialiste se paie Duflot

Porte-parole des députés socialistes, Thierry Mandon n’est pas convaincu par le bilan de Cécile Duflot à la tête du ministère du Logement. "A-t-on eu raison de ne pas mettre un Vert à l’Écologie? Depuis quarante ans, on n’a jamais construit aussi peu de constructions neuves (92.000) que depuis qu’elle est au ministère du Logement", s’interroge l’élu de l’Essonne.

http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/Un-socialiste-se-paie-Duflot-644044

Douillet veut combattre contre Le Pen

L’ancien judoka puis ministre, actuel député UMP des Yvelines, pourrait se présenter aux européennes dans la région Nord-Normandie pour affronter Marine Le Pen. Natif de Rouen, David Douillet réglerait ainsi le problème de la tête de liste dans cette région où seul Jérôme Lavrilleux, proche collaborateur de Jean-François Copé, a fait acte de candidature et presque l’unanimité contre lui.

http://www.lejdd.fr/Politique/Pour-les-europeennes-Douillet-veut-combattre-contre-Le-Pen-644065

ZAPPING ACTU HEBDO


ZAPPING ACTU HEBDO DU 14/12/2013 par lezapping

Municipales à Paris: la campagne de NKM est-elle grippée? - 15/12

Visite éclair en Centrafrique mardi : grosse frayeur pour Hollande... qui n'a rien vu

François Hollande a peut-être échappé au pire mardi soir en Centrafrique, quand des Séléka armés de kalachnikov ont surgi devant son Falcon à l'aéroport. Récit d'un incident gardé secret que Le Parisien a révélé ce dimanche.

On entend encore des tirs autour de l'aéroport, quand le Falcon du président se pose dans la pénombre mardi soir dernier à Bangui. Une halte-éclair, sous très haute tension. François Hollande en est évidemment conscient, lorsqu'il prend la parole, l'air grave ce soir-là. Il défend alors "une mission dangereuse mais nécessaire".

Ce que le chef de l'Etat ignore et que Le Parisien révèle ce dimanche
(lire l'article), c'est que deux 4x4 et cinq pick-up font alors irruption dans la nuit, là, à deux pas du pavillon présidentiel où il discute avec son homologue centrafricain avant de partir. A bord de chaque véhicule, une dizaine d'hommes en uniforme. Ils sortent des pick-up, kalachnikovs à la main. Panique dans les rangs français quand un général de la Séléka quitte son pick-up et s'adresse aux militaires français. L'échange est bref : le Soudanais finit par ordonner à ses hommes de remonter à bord des pick-up et de quitter les lieux. Menace réelle ou simple manœuvre d'intimidation ? Selon les Séléka, ils ignoraient que le pérsident français se trouvait là et sont donc partis en l'apprenant. La scène aura duré à peine cinq minutes. Et François Hollande n'en a rien vu...
 

Syrie: l'opposition modérée en "grave difficulté", selon Fabius

NKM et Hidalgo battues dans leur arrondissement

Le Journal du Dimanche publie dimanche deux sondages très attendus. Quels scores obtiennent les deux principales candidates aux municipales parisiennes dans leurs arrondissements respectifs? Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) parvient-elle à faire basculer à droite le 14e - un "arrondissement de reconquête" - où elle a choisi de se présenter? Anne Hidalgo (PS) réussit-elle à s'imposer dans le 15e, un fief de la droite depuis toujours? L'enquête Ifop-Fiducial, réalisée cette semaine pour le Journal du dimanche et Sud Radio, révèle qu'aucune des deux têtes de liste ne sort gagnante localement.

Le FN au second tour?

Dans le 14e, la liste conduite par NKM est battue par celle de la socialiste Carine Petit, pourtant peu connue. Ce n'est pas de très bon augure pour gagner Paris, car il s'agit d'un arrondissement clé, sans lequel l'UMP ne peut espérer reconquérir la capitale. Dans le 15e, où l'enjeu est moindre pour la gauche, la première adjointe de Bertrand Delanoë résiste, dans un contexte national difficile. Mais elle n'est pas en mesure d'inquiéter le député-maire sortant, Philippe Goujon, responsable de la fédération UMP de Paris. Même en cas de triangulaire avec le Front national, l'UMP l'emporte... mais avec un résultat beaucoup plus serré, qui laisse la porte ouverte à d'éventuelles surprises si la campagne se durcit.
C'est un autre enseignement de ce sondage : l'ombre du Front national continue de grossir sur la capitale. Le parti de Marine Le Pen ne dépasse pas encore la barre des 10% (dans ces deux arrondissements sondés), seuil qui permet de maintenir une liste au second tour. Mais il s'en rapproche. Les écologistes de Christophe Najdovski (EELV) tirent leur épingle du jeu, notamment dans le 14e, malgré un début de campagne jugé timide. Les listes mélenchonistes, elles, ne percent pas, ou peu. Quant aux dissidentes de droite, elle se font laminer dans les deux sondages
 

Invités politique de ce dimanche

C Politique
Emission du 15/12/2013 
 
Cette semaine, Caroline Roux reçoit Marine Le Pen, présidente du Front national. Les reportages et la rubrique de Bastien Hugues permettent de confronter les propos de l'invitée aux réactions des internautes. Par ailleurs, les téléspectateurs peuvent en permanence commenter l'interview et poser leurs questions via les réseaux sociaux et francetv info.
 
Grand jury
 
Xavier Bertrand, invité du Grand Jury RTL – Le Figaro – LCI le dimanche 15 décembre 2013

Il est peut-être l’un des rares à droite à rester persuadé que Nicolas Sarkozy ne reviendra pas. Ou à feindre de l’être. Et pour cause : Xavier Bertrand est candidat à la primaire UMP. Il fait mine de ne pas se laisser perturber par l’ombre tutélaire de l’ex-président.
Mais l’opposition peut-elle vraiment se reconstruire tant que l’incertitude plane sur les intentions de son ancien champion? L’UMP peut-elle bâtir un programme crédible en l’absence de leader incontesté ? Dans quelques jours, les cadres du parti se retrouvent en séminaire pour réfléchir à l’alternance. Peut-elle parler d’une seule voix sur les impôts, l’emploi, l’Europe?

Xavier Bertand devant le Grand Jury, c’est dimanche 15 décembre avec Jérôme Chapuis (RTL), Alexis Brézet (Le Figaro) et Eric Revel (LCI)