samedi 31 mai 2014

Pause Football

Le blog Elections à la une fait une pause pendant la durée de la coupe du monde de football.
Les élections principales de ce début d'année sont passées...(municipales et européennes)
Laissons les politiques à leurs travaux et intéressons nous au mondial 2014...
Sauf évènement important, les articles sur ce blog seront ciblés.... MERCI DE VENIR NOUS VOIR SUR "Fous de foot"..........  http://fousdefoot.blogspot.com/

Juppé jugé meilleur opposant à Hollande, devant Sarkozy

Et si la bataille entre Nicolas Sarkozy et Alain Juppé pour 2017 ne faisait que commencer? Alors que l'ex-Président serait plébiscité par le sympathisants de l'UMP dans le cadre d'une primaire ouverte, bien que le maire de Bordeaux fasse jeu égal avec lui au premier tour de la prochaine présidentielle, l'institut BVA a tenté de connaître l'identité de celui qui, à l'UMP, incarne le mieux l'opposition à François Hollande. Et c'est Alain Juppé qui arrive en tête sur l'ensemble des Français.
D'après cette enquête pour i-Télé et Le Parisien/Aujourd'hui en France publiée samedi, l'ex-Premier ministre et chef de la diplomatie française est choisi par 39% des Français, devant Nicolas Sarkozy (23%) et François Fillon (12%). "Juppé semble s'installer en rival de Sarkozy pour incarner l'opposition, alors même que l'ancien président de la République est confronté à un climat affairiste défavorable", souligne Erwan Lestrohan, directeur d'études chez BVA Opinion.

Sarkozy chouchou des sympathisants UMP

Nicolas Sarkozy demeure toutefois le meilleur opposant à François Hollande et au gouvernement pour 44% des sympathisants de l'UMP. L'ex-chef de l'Etat est cette fois devant Alain Juppé (37%) et François Fillon (7%). Les autres personnalités de droite ne décollent pas : chez les sympathisants, François Baroin est à 3%, Bruno Le Maire et Xavier Bertrand à 2%, Laurent Wauquiez, Jean-Pierre Raffarin et... Jean-François Copé, à 1%.
A propos du président de l'UMP, qui a annoncé sa démission pour le 15 juin, les sondés jugent sévèrement son bilan à la tête du parti. Il est "mauvais" pour 85% d'entre eux. Seuls 12% le trouve "bon". D'après les seuls sympathisants de l'UMP, le constat est moins sévère, même s'ils ne sont que 34% à avoir un avis positif de l'action du député-maire de Meaux.
Avec le départ de Jean-François Copé, le débat autour de la ligne du parti est relancé et devrait se poursuivre jusqu'au prochain congrès du mois d'octobre. D'après le sondage BVA, 49% des sympathisants souhaitent  que le positionnement politique de l'UMP soit "ni plus ni moins à droite". Ils sont 37% à vouloir un parti "plus à droite" et seulement 11% plaident pour une UMP "moins à droite".
* Enquête réalisée les 27 et 28 mai 2014 auprès d'un échantillon de 1.091 personnes représentatif de la population française de 18 ans et plus.
 

vendredi 30 mai 2014

Les infortunes du conseiller agriculture de Hollande, retenu par des agriculteurs

Ils ont finalement décidé de le laisser partir vendredi après-midi. Les militants de la Confédération paysanne retenaient depuis plusieurs heures le conseiller à l'agriculture de François Hollande Philippe Vinçon. Ils réclamaient la libération immédiate de quatre des leurs, interpellés mercredi dans la Somme pour des dégradations sur le chantier de la ferme géante dite des Mille vaches, ainsi que de leur porte-parole Laurent Pinatel, également en garde à vue. Ce projet des Mille vaches est la cible d'une grande animosité car il s'apparente pour la première fois en France à une usine plus qu'à une ferme. Les militants ont été déférés vendredi matin au parquet d'Amiens.
"Nous avons décidé de rendre sa liberté à Philippe Vinçon car le tribunal d'Amiens est en train de libérer nos camarades", a annoncé devant la préfecture Christian Roqueirol, membre du comité national de la Confédération. Le conseiller présidentiel "aura compris qu'il y a autre chose à soutenir en France que la ferme des Mille vaches et l'agriculture industrielle", a lancé Christian  Roqueirol. Stéphane le Foll a condamné l'initiative de la Confédération paysanne, il n'envisage cependant pas de porter plainte contre l'organisation. "Je ne considère pas que ce qui s'est passé (...) doit être accepté", a-t-il déclaré sur i-Télé. 
 

Réforme pénale : Taubira recadrée par Hollande

François Hollande serait "furieux" contre Christiane Taubira. C'est ce que rapporte vendredi Le Parisien. Le Président reproche à la ministre de la Justice d'avoir laissé passer, lors de l'examen mardi du texte sur la réforme pénale par la commission des Lois de l'Assemblée nationale, un amendement auquel le gouvernement était opposé.
Il s'agit d'étendre la contrainte pénale - une peine en milieu ouvert, hors de prison – à tous les délits, alors que le texte initial prévoit qu'elle ne s'applique qu'aux délits passibles de cinq ans d'emprisonnement. Le trafic de drogue ou l'agression sexuelle étaient donc de facto exclus de la mesure, comme le souhaite le Premier ministre Manuel Valls. Sauf que la garde des Sceaux, a, selon le quotidien, omis de dire l'opposition du gouvernement sur la question et donc laissé passer l'amendement. La veille, une réunion interministérielle avait pourtant arrêté la ligne du gouvernement.
La ministre de la Justice a été convoquée mercredi matin dans le bureau du Président. "Elle s'est fait vertement rappelé à l'ordre sur son devoir de loyauté", rapporte un proche de l'Elysée, cité par Le Parisien." "Il faut garder la logique et les équilibres du texte, et faire attention aux amendements qui pourraient venir", lui a dit le Président selon Le Monde. 

Taubira ne veut pas "priver les magistrats d'un outil"

Depuis le début, Christiane Taubira plaide depuis le début pour une extension de la contrainte pénale à tous les délits. Elle n'a pas changé de position. "Il est cohérent, logique et plus efficace que dans certains cas, l'on puisse prononcer une contrainte pénale plus contraignante que le sursis avec mise à l'épreuve, qui couvre tout le champ des délits. On va priver les magistrats d'un outil. C'est mieux de donner le choix aux magistrats, c'est un outil supplémentaire. C'est une bonne mesure. Maintenant il y a l'arbitrage du Président", explique la ministre de la Justice au Monde.
Elle s'était déjà opposé à Manuel Valls sur plusieurs points de la réforme à l'été 2013. Selon Le Monde, elle aurait indiqué au Premier ministre que les députés socialistes étaient prêts à la soutenir sur l'idée d'étendre la contrainte pénale à tous les délits. "Le groupe PS à l'Assemblée m'a dit qu'il va voter cet amendement. Donc si tu veux que je fasse battre le gouvernement dans une séance publique, je le fais…", a-t-elle glissé au chef du gouvernement mercredi. Mais la chancellerie assure de son côté au Parisien que la ministre défendra la semaine prochaine dans l'hémicycle les amendements pour "rétablir le texte du gouvernement".
 

Lacrymogènes et cordon de CRS pour la venue de Hollande à Rodez - 30/05

François Hollande, le Président sans solution

Emploi à domicile : le gouvernement réfléchit à un allègement de charges

Les promesses tenues de François Hollande

L'expresso du 30 mai

Nicolas Sarkozy a déjeuné mercredi avec des sénateurs au lendemain de la démission de Jean-François Copé mis en cause dans l'affaire Bygmalion. Les récents événements ne lui ont pourtant pas faire perdre sa confiance. "Le jour où je sortirai, la cote de mes concurrents s'effondrera", a-t-il expliqué à ces sénateurs selon RTL. "Je perdrai certainement quelques points", a tout de même admis l'ancien chef de l'État. "Il supporte de plus en plus mal de ne pas pouvoir dialoguer directement avec les Français. Il m'a donné l'impression d'un cheval qui n'a jamais quitté l'entraînement", a également confié l'un des participants à la radio.

La proposition

Alors que 81% des sympathisants PS sont favorables à une primaire même en cas de candidature Hollande, selon un sondage publié vendredi par Le Figaro, l'ancien député socialiste Jérome Guedj se montre également partisan d'une telle hypothèse. "Je suis favorable à une primaire pour 2017, même si François Hollande est candidat", a-t-il indiqué vendredi sur RMC.

La négociation

Une partie de l'UMP appelle depuis plusieurs jours à se rapprocher du centre. Le député UDI, Maurice Leroy, lui, refuse l'idée de faire "un parti unique" mais ne s'oppose pas à l'idée d'un candidat commun de la droite et du centre pour 2017 : "Pourquoi pas, je pense que cela sera nécessaire", a-t-il expliqué sur i-Télé.

L'appel

La présidente d'honneur de Force Vie, Christine Boutin, a souhaité, sur RTL que son parti devienne "le premier parti de France". "J’appelle les 140.000 personnes parce qu’il faut construire la politique française. Car si les 140.000 personnes qui nous ont fait confiance, nous arrivons à les retrouver, eh bien figurez-vous que nous redevenons le premier parti de France!" Christine Boutin s'en est pris aussi au FN accusé d'être "un parti relativiste, un parti païen". "Les Français vont se réveiller un jour avec la gueule de bois", a-t-elle également ajouté.
 

mercredi 28 mai 2014

Bernard Cazeneuve : "Ce n'est pas une opération d'ordre public mais une opération sanitaire "


Bernard Cazeneuve : "Ce n'est pas une opération... par LCP

François Rebsamen : "Je n'attends ni amélioration, ni dégradation significative des chiffres du chômage"


François Rebsamen : "Je n'attends ni... par LCP

UMP: Michèle Tabarot vise les pro-Fillon

Estrosi : «Le congrès et la primaire ensemble pour clarifier les choses»

l'expresso du 28 mai

De nombreuses voix au sein de l'UMP, Alain Juppé en tête, appellent à un rassemblement entre l'UMP et le centre. Le président du MoDem, François Bayrou, a prévenu sur BFMTV-RMC qu'il ne souhaitait pas entendre parler d'une fusion semblable à celle ayant abouti à la création de l'UMP en 2002. "Est-ce qu'on doit recommencer un parti d'union de la droite et du centre? J'y étais opposé en 2002, je le suis toujours. Je suis favorable à ce qu'il y ait une droite à droite et un centre au centre. On peut imaginer des constructions à partir d'organisations aujourd'hui séparées. Ça peut être l'UMP et le centre, ou ça peut être une construction politique nouvelle."
Lire notre interview de l'UDI François Sauvadet, favorable, lui, à une plateforme commune UDI-UMP.

L'attaque

Nathalie Kosciusko-Morizet s'en est prise mercredi sur France Info aux proches de Jean-François Copé : "Il est de notoriété publique que ce ne sont pas exactement mes amis. Dans Le Point, j'apprends que M. (Charles, Ndlr) Beigbeder, un des dissidents de Paris qui m'a fait beaucoup de mal, était actionnaire de Bygmalion. Ces gens-là m'ont combattu et depuis longtemps."
Lire sur le sujet : Comment ils ont fait chuter Copé

Le choix

Comme Alain Juppé, la députée UMP, Valérie Pécresse, souhaite que le prochain président de l'UMP s'engage à ne pas être candidat à la primaire du parti pour 2017. "Il faudrait que ceux qui seront candidats au congrès de l'UMP s'engagent à ne pas l'être à la présidentielle", a estimé l'ancienne ministre du budget sur France 2. Un point sur lequel diverge Christian Jacob, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, qui a jugé pour sa part sur i-Tele que "le président d’un parti politique a vocation à viser la première marche du podium".

Le chiffre : 22%

Le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a établi sur France Inter le seuil d'entrée au second tour de la prochaine élection présidentielle, qui se situe selon lui à 22%. Il a dès lors appelé en creux les écologistes et le Front de Gauche à une union de la gauche pour 2017. "Il faut viser le score de 22% pour avoir une chance réelle d'être au second tour. Ça pose une question au Parti socialiste et à toute la gauche."

Le mot : "mythos"

L'ancienne garde des Sceaux, Rachida Dati, a évoqué sur RTL l'éventail des responsabilités dans l'affaire Bygmalion, et notamment la mise en cause par certains de Nicolas Sarkozy. "Vous pouvez avoir des mythos, des gens qui en rajoutent, des gens qui veulent se défausser ou des gens qui sont responsables et qui n'ont encore rien dit ou n'ont pas été mis en cause
 

Après la chute de Copé, l’UMP en voie d’émancipation


Jeudy Politique 27/05/14 par lejdd

mardi 27 mai 2014

Copé démissionne : "Il est heureux qu'il ne se soit pas entêté", estime Jean-Michel Aphatie

Valérie Pécresse: "il s'agit d'assumer une responsabilité qui est collective" - 27/05

L'UMP tourne la page de Copé et "peut être celle de Sarkozy"

Christophe Jakubyszyn, chef du service politique de TF1 analyse la démission de Jean-François Copé et sa portée pour l'UMP.

Il se sera battu jusqu'au bout, mais a dû  jeter l'éponge: Jean-François Copé dont l'ambition allait jusqu'à l'Elysée a annoncé mardi qu'il quittera le 15 juin la présidence de l'UMP, englué dans l'affaire de fausses factures Bygmalion. Le député-maire de Meaux a tout tenté pour se maintenir à ce poste conquis  de très haute lutte en 2012, ferraillant pendant plus deux heures devant ses  pairs réunis en bureau politique depuis 8h30 à l'Assemblée nationale. Après une épuisante guerre des chefs en 2012, l'UMP vit la crise la plus grave de son histoire. Une crise qui atteint désormais l'ancien président de la République. 

"Une page se tourne, celle de Copé un an et demi après son élection qui était très disputée et, peut être aussi la page de Nicolas Sarkozy", commentait mardi sur LCI Jakubyszyn, chef du service politique de TF1. "Ce matin, il y avait objectivement une alliance entre les jupéiste et les sarkozystes manifestement parce qu'il y avait des secrets partagés en commun. Peut-être le financement d'une partie de la campagne de 2012."
L'affaire Bygmalion, du nom de cette société de communication fondée par deux proches de Jean-François Copé, avait commencé par des soupçons de favoritisme. Elle n'a cessé d'enfler et de proliférer pour atteindre, à l'issue de la folle journée de lundi, l'ancien président Nicolas Sarkozy. 
L'ancien président, "très mécontent" - selon Brice Hortefeux - n'a pas encore réagi à ce séisme dans son propre camp. "Sarkozy doit nous dire que qu'il veut faire", réclamait Claude Goasguen, député UMP de Paris dimanche.
Interrogée sur cette journée de crise à l'UMP, Marine Le Pen a d'ailleurs directement ciblé l'ancien président plutôt que Jean-François Copé. "En ayant dépensé, semble-t-il, plus du double des dépenses autorisées, clairement Nicolas Sarkozy a trahi la démocratie, a trahi les règles républicaines et probablement volé une partie de son résultat du premier tour", a-t-elle déclaré. "C'est une situation très grave pour la démocratie en France. Je ne vois pas comment le candidat Sarkozy peut échapper à sa responsabilité morale et donc à la disqualification qui en sera la conséquence".
 

François Hollande n'est plus protégé que par les institutions

Brice Hortefeux sur Bygmalion : "Sarkozy est très mécontent de voir son nom cité"

Marine Le Pen confirme sa candidature en 2017 et pense pouvoir être élue - 27/05

NKM raconte une "ambiance très délétère" au bureau de l'UMP - 27/05

Affaire Bygmalion

Vous pouvez suivre l'affaire Bygmalion en cliquant sur ce lien
 

L'allocution de François Hollande, une erreur de communication? - 27/05

lundi 26 mai 2014

L'affaire Bygmalion, c'est "l'affaire des comptes de campagne" de Sarkozy

Vous suivrez désormais l'affaire Bygmalion sur ce blog ..... http://societepresse.blogspot.com/


http://societepresse.blogspot.fr/2014/05/perquisitions-en-cours-lump-et-chez.html

L'avocat de la société de communication Bygmalion a dénoncé lundi une "affaire des comptes de campagne" de Nicolas Sarkozy, évoquant un système mis en place "à la demande de l'UMP" pour dissimuler des dépenses liées aux meetings du président-candidat. Evoquant des "fausses factures" puis de "vraies fausses factures", Me Patrick Maisonneuve a estimé à "plus de dix millions d'euros" les sommes litigieuses. Selon lui, des prestations liées aux meetings de Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2012 étaient "indûment" imputées à des conventions facturées à l'UMP.
Peu de temps après la conférence de presse de l'avocat, des journalistes (d'Europe 1 et d'i-Télé) ont constaté que des policiers ont entamé de perquisitions dans les locaux de l’UMP. Les locaux de Bygmalion, dans le 9e arrondissement de Paris, sont également actuellement perquisitionnés.
 

Européennes: "Coup de tonnerre" sur la France

Ayrault-Valls: Les ministres changent, pas les discours


Ayrault-Valls: Les ministres changent, pas les... par 20Minutes

Vote FN aux européennes : sanction ou adhésion?

Après la victoire du FN aux Européennes, l'UMP appelle Sarkozy à la rescousse - 26/05

Européennes: L'émotion de Jean-Luc Mélenchon - 26/05

Claque électorale pour l'UMP, déjà dans la tourmente - 26/05

Européennes: comment Marine Le Pen a gagné son pari - 26/05

Valls ne changera pas de "feuille de route"

Réunion de crise à l'Elysée : que peut faire Hollande désormais ?

EUROPENNES. Sévèrement désavoué dimanche lors des élections européennes qui ont vu le triomphe du Front national, François Hollande va tenter, dès lundi matin, de tirer avec Manuel Valls les leçons d'un choc électoral qui ébranle la France et l'Europe.

Comment va-t-il pouvoir limiter les dégats ? Le président François Hollande organise ce lundi matin une réunion de crise à l'Elysée à 8h30 en compagnie de quelques uns de ses principaux ministres. Avec 24,96%  des voix, le FN a relègué loin derrière une UMP en crise, 20,80%, et un PS,  13,98%, en pleine dégringolade, qui réalise son plus mauvais score pour ce type  de scrutin, selon la dernière totalisation du ministère de l'Intérieur.
Sur smartphone, pour consulter les résultats dans votre commune, cliquez ici 


Sanction immédiate, seuls 11% des Français estiment que François Hollande ferait un bon candidat pour le PS en 2017, selon un sondage Ipsos-Steria publié dimanche soir.
Manuel Valls s'en tire mieux avec 49% de réponses favorables. Pour le chef de l'Etat, entouré de ses principaux ministres, il s'agira donc lundi à l'Elysée de désormais de tenter de convaincre les  Français de la nécessité de poursuivre une politique largement sanctionnée.
"Le quinquennat de François Hollande doit aller à son terme"
"Tout cela n'est pas une fatalité", a tempéré ce lundi matin Manuel Valls. "C'était attendu. Il était impossible de redresser la barre dans cette campagne." Pas question pour autant de dissoudre l'Assemblée nationale. Manuel Valls avait d'ailleurs prévenu  que quel que soit le résultat du scrutin, il n'entraînerait pas de changement  de gouvernement : "Un mandat a été donné à François Hollande pour cinq ans. Nous devons continuer et expliquer. Il faut du temps. Je demande ce temps. Le quinquennat de François Hollande doit aller à son terme. Nous n'allons pas ajouter le désordre d'une élection."
Deux mois après la claque des municipales, cette nouvelle débâcle contraint  l'exécutif à faire le gros dos. Il va falloir "obtenir des résultats  plus vite et plus concrets", résumait-on dimanche dans l'entourage du chef de  l'Etat.

Malgré une abstention massive, le léger regain de participation (43%) par rapport au scrutin de 2009 conforte le succès du FN, qui, selon un décompte de l'AFP, remporte 24 sièges, devant l'UMP, 20, et le PS, 13, sur les 74 sièges d'eurodéputés attribués à la France. L'UDI-MoDem en aurait 7, EELV 6, le Front de gauche 3. Le dernier allant à un DVG élu outre-mer. Le redressement de la participation est également un camouflet pour ceux qui avait prédit un record d'abstention.
  
La gauche "au bord du K.O historique"
Grand perdant du scrutin, le Parti socialiste est également en crise. C'est  "une déculottée sans nom", a reconnu l'ex-syndicaliste Edouard Martin, dont la candidature devait symboliser l'ancrage à gauche du parti. Ambiance lourde en prévision mardi lors de la réunion du bureau national. La gauche est au bord "du KO historique", analyse Julien Dray.

Symbole de la poussée des extrêmes en Europe, le succès du FN inquiète les partenaires de la France et fait la une des grands journaux européens. Le Daily Mail, le Financial Times, la presse italienne ou allemande, font leurs gros  titres sur Marine Le Pen et le "tremblement de terre" politique survenu en  France.
Laurent Fabius a d'ailleurs reconnu dimanche que "l'image de la France enEurope était l'une des "perdantes" de l'élection. Une situation inconfortable  pour François Hollande, qui participera mardi à Bruxelles à un dîner informel  des dirigeants européens
 

dimanche 25 mai 2014

Victoire historique pour le FN

Marine Le Pen en rêvait, et les estimations du score du Front national - au soir du scrutin européen - vont dans son sens. D'après les premières estimations de l'Ifop, le parti d'extrême-droite obtient 25% des voix et prend la première place. Le FN devance ainsi l'UMP (20,6%) et le Parti socialiste (14,2%). Lors de la dernière élection européenne, en 2009, le Front national avait obtenu 6,34% des voix.
"Le peuple souverain a parlé haut et clair. Comme dans tous les grands moments de son histoire", a déclaré Marine Le Pen, prônant "la politique des Français pour les Français avec les Français". La présidente du FN a évoqué "une marche vers la liberté" et parlé d'un "immense honneur". "A tous les Français, je dis que cette espérance doit nous unir", a-t-elle ajouté. "Le président de la République doit prendre les dispositions pour que l'Assemblée devienne nationale", a-t-elle conclu.

"Un tremblement de terre", selon Le Pen père

"Si j'en crois les premières informations, c'est un tremblement de terre", a déclaré Jean-Marie Le Pen, qui a demandé la dissolution de l'Assemblée nationale et la démission du Premier ministre Manuel Valls. "ll a été durement sanctionné puisqu'il a pris parti tout au long de cette campagne électorale", a affirmé le président d'honneur du FN sur RTL. C'est la première fois que le Front national remporte une élection en France. En 2002, son père Jean-Marie Le Pen avait provoqué un séisme politique en se qualifiant pour le second tour de la présidentielle face à Jacques Chirac, avec 16,86% des voix.
Le vice-président du FN, Florian Philippot, s'est félicité d'un "score historique" de son parti qui, pour la "pour la première fois", est le "premier parti de France". Au Parlement européen, "nous irons porter le message de la France et des Français qui est très très clair ce soir, très clair par ce score historique du Front National. C'est la première fois dans l'histoire de la Ve République que le Front national est premier parti de France", a-t-il déclaré sur TF1.

25 eurodéputés pour le Front national

Selon notre projection réalisée à partir des estimations de l'Ifop, le FN pourrait obtenir 25 eurodéputés sur 74 (députés élus en France), contre seulement trois actuellement. L'UMP en obtiendrait 19 (contre 29), le PS resterait à 14 élus, les centristes de l'UDI-MoDem compteraient 8 élus, EELV n'en aurait plus que 6 (contre 14 en 2009) et le Front de gauche, seulement deux.
Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, a estimé que le résultat des élections européennes est une "alerte". "Il y a une alerte qui est envoyée, qui pour la France dans l'Europe est un signal qui affaiblira sa position, qui pour les républicains nécessite que chacun en prenne bien la mesure", a-t-il déclaré sur le plateau de France 2. C'est "un choc à l'échelle du monde", a réagi pour sa part Ségolène Royal. "C'est un moment grave, très grave", a lancé le Premier ministre, Manuel Valls.
 

Européennes : le PS veut sauver les meubles

Européennes : le gouvernement prépare sa contre-attaque

François Hollande et Manuel Valls s'entretiendront au téléphone à 19h 30, à l'occasion d'une « conf call » (conférence téléphonique) sur les résultats des élections européennes.

À ce point téléphonique se joindront les principaux responsables de la majorité : le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, les présidents de l'Assemblée nationale Claude Bartolone et du Sénat Jean-Pierre Bel, les deux présidents de groupe, Bruno Le Roux et Didier Guillaume, ainsi que le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Harlem Désir.

Le président, le premier ministre et les leaders de la majorité veulent se mettre d'accord sur l'analyse du scrutin et coordonner la parole de la majorité, avant que les uns et les autres se déploient sur les plateaux de télévision pour la soirée électorale.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/25/97001-20140525FILWWW00115-europeennes-le-gouvernement-prepare-sa-contre-attaque.php

Tour d'Europe des bureaux de vote : France, Allemagne

Européennes : le taux de participation à 17 heures est de 35,07%

La participation aux élections européennes en France a atteint 35,07% à 17 heures, un taux supérieur à celui du précédent scrutin il y a cinq ans, annonce le ministère de l'Intérieur. Le 7 juin 2009, la participation en métropole à 17 heures avait été de 33,18%.
A midi, le taux de 15,70% était également légèrement plus élevé que celui d'il y a cinq ans (14,81%). Le taux définitif de participation pour la France entière avait été de 40,63% en 2009. Il avait été de 56,70% en 1984, avant de passer à 48,80% en 1989, 52,76% en 1994, 46,76% en 1999, et 42,76% en 2004.
Le taux de participation final aux élections européennes en France est estimé, par trois instituts, entre 41,5% et 44%, en hausse par rapport au scrutin de 2009. Harris Interactive pour M6 et Le Parisien-Aujourd'hui en France estime la participation à 42,5%, tandis que Ifop-Fiducial pour i>TELE, Paris Match et Sud Radio la mesure à 44%. De son côté OpinionWay évalue l'abstention à 58,5%, ce qui correspond à un taux de participation de 41,5%, et CSA pour BFMTV mesure l'abstention totale à 57% soit 43% de votants.
 

Européennes, soirée électorale hors norme à Bruxelles : 1200 journalistes et... 3000 sandwiches

Européennes : 15,7% de participation à midi, un peu mieux qu'en 2009

46 millions d'électeurs sont appelés aux urnes en France pour désigner 74 députés européens. A midi, la participation était de 15,7% contre 14,81% en 2009. Toute la journée, suivez notre édition spéciale sur MYTF1News, découvrez les premières estimations dès 20h et les résultats dans votre région dès 23h.

Les bureaux de vote ont ouvert dimanche à 8h en France métropolitaine pour les élections européennes. Selon les villes, ils fermeront entre 18h et 20h.

 Au total, près de 46 millions d'électeurs sont appelés aux urnes pour désigner les 74 députés français au Parlement européen, qui compte 751 membres.

Les premières estimations seront données à 20h, mais les premiers résultats ne seront pas connus avant 23h, heure de fermeture du dernier bureau de vote au niveau européen.
La participation à midi était, selon le ministére de l'Intérieur de 15,7% contre 14,81% en 2009 à la même heure.
Le scrutin risque d'être marqué par une abstention massive et une forte poussée des eurosceptiques, notamment de droite, aussi bien dans l'Hexagone que dans les 27 autres pays de l'Union européenne.
 

vendredi 23 mai 2014

Européennes : le vote blanc reconnu pour la première fois


Européennes : le vote blanc reconnu pour la... par LCP

Valls assure qu'"il n'y aura pas de remise en cause de la loi de programmation militaire" - 23/05

Le Clash Figaro-Nouvel Obs : Europe, à quoi sert Sarkozy ?

Budget Défense: baisses pour une armée "déjà à l'os" (expert)

Guigou ou Moscovici pour l'Europe ?


Guigou ou Moscovici pour l'Europe ? par Europe1fr

Budget de l'armée: Jean-Yves Le Drian très inquiet - 23/05


Budget de l'armée: Jean-Yves Le Drian très... par BFMTV

Bureau de Delanoë : encore un mauvais signal envoyé aux citoyens

Bourdin Direct: Rachida Dati - 23/05

L'expresso du 23 mai

Pas de Falcon, mais une voiture. Dimanche, François Hollande se rendra à Tulle en voiture pour les élections européennes. Il partira le matin de Paris et rentrera le soir avant 20 heures, pour suivre en direct les résultats du scrutin, rapporte Le Parisien. Le chef de l'Etat qui pour l'élection municipale de son fief corrézien avait fait l'aller-retour en Falcon, le 23 mars dernier – un déplacement estimé à 9.200 euros selon son entourage - devra cette fois faire dix heures de route.

La phrase

Selon Bernard Cazeneuve, "Marine Le Pen et Leonarda (lycéenne rom expulsée en fin d'année dernière, Ndlr) font campagne ensemble". Une allusion aux affiches diffusées par le FN jeudi, mettant en scène la jeune fille.

La campagne

Alors qu'Henri Guaino a indiqué qu'il ne voterait pas UMP aux européennes, Rachida Dtai, invitée de BFMTV, "ne désespère pas de le convaincre d’ici dimanche". "C’est un ami (…) on ne peut pas ne pas l’écouter, il représente aussi des Français qui pensent comme lui", a ajoutée l'eurodéputée UMP.

Le clash

Invité de la matinale d'Europe 1, Bernard Tapie a claqué la porte du studio avant même le début de l'interview. L'homme d'affaires n'aurait visiblement pas apprécié les allusions à l'affaire qui l'oppose à Adidas dans le lancement de Thomas Sotto. Et le présentateur de ne pas comprendre et de déplorer cette attitude
 
 
 
Bernard Tapie est finalement revenu à l'antenne plus tard pour une interview autour des européennes. Mais il a quitté le studio une deuxième fois.
 

jeudi 22 mai 2014

Attendons avant de sortir la guillotine


Attendons avant de sortir la guillotine par Europe1fr

Loi famille : le beau-parent en question


Loi famille : le beau-parent en question par LCP

Politique Matin : Xavier Bertrand, député UMP de l’Aisne, ancien ministre


Politique Matin : Xavier Bertrand, député UMP... par LCP

Baroin : "C'est bien que Nicolas Sarkozy donne son avis sur l'Europe"


Baroin : "C'est bien que Nicolas Sarkozy donne... par Europe1fr

Européennes: que dit la tribune de Nicolas Sarkozy? - 22/05

Dans sa Barcelone natale, Valls attaque "l'Europe de droite"

L'expresso du 22 mai

"En 2016 au plus tard, la question des comptes cachés en Suisse appartiendra au passé", estime le ministre des Finances et des Comptes publics, Michel Sapin, dans Le Parisien. Selon lui, "la coopération entre nos administrations s'améliore."

L'explication

Après avoir estimé mercredi sur BFMTV que la parution de la tribune de Nicolas Sarkozy dans Le Point n'était "pas l'événement central de la campagne", l'ancien Premier ministre, François Fillon a jugé jeudi, sur i-Télé, la tribune "excellente" et "bienvenue" dans une campagne "difficile", estimant toutefois que son "rôle, ce n’est pas de commenter une tribune mais de parler de (s)es convictions."

La mise au point

Allusif, le président de l'UMP, Jean-François Copé a tenté de se dédouaner, sur RTL, dans l'affaire "Bigmalyon" : "En tant que président, je n'étais pas au fait de tout. A ce stade, j'ai des interrogations. Elles doivent être levées. Je me réjouis qu'il y ait une enquête de la justice. (...) Dans le cas précis, je dis : merci la presse!"

La nouvelle vie

L'ancien ministre du Budget, Jérôme Cahuzac, qui avait avoué avoir fraudé le fisc, a retrouvé un nouvel emploi dans l'immobilier haut de gamme à Paris, annonce Le Parisien. Le journal précise que l'ancien directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, a "ouvert son carnet d'adresse" pour lui permettre de "revenir dans la vie active".

La réponse

Invité à commenter un récent tweet de Jean-Luc Mélenchon qui s'attaquait à lui, le député européen EELV, José Bové, s'est borné à citer Michel Audiard sur BFMTV/RMC : "Plus je discute avec les cons puis je les rends intelligent."
 

mercredi 21 mai 2014

Loi famille : débats houleux dans l'hémicycle


Loi famille : débats houleux dans l'hémicycle par LCP

Parlement’air - L’Info : Christian Kert, député UMP des Bouches-du-Rhône et Yann Galut, député PS du Cher


Parlement’air - L’Info : Christian Kert, député... par LCP

Affaire Bygmalion: des "allégations scandaleuses" selon Jean-François Copé - 21/05

Réformes : il faudra se lever de bonne heure pour tout changer

"La France eurosceptique ? C'est la mode"

Bourdin Direct : Najat Vallaud-Belkacem - 21/05

L'expresso du 21 mai

La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, envisage une fusion de la région Poitou-Charentes, qu'elle a longtemps présidée, et de la région Pays de la Loire, en concertation avec leurs présidents (PS) respectifs, selon un communiqué des Pays de la Loire publié mardi. Les deux exécutifs régionaux vont lancer une procédure pour explorer le sujet. Sauf que cela déplaît : à Dominique Bussereau, président UMP du conseil général de Charente-Maritime, qui veut être rattaché à l'Aquitaine ; et à l'EELV Jean-Vincent Placé, qui propose que région Poitou-Charentes poursuive sa vie avec l'Aquitaine également.

La proposition

Gilles Carrez, président UMP de la Commission des finances à l'Assemblée, est revenu sur l'énorme bourde de la SNCF qui a commandé des trains trop larges pour les quais de ses gares. Pour lui, une solution : redonner de la cohérence en fusionnant l'entreprise publique et Réseau ferré de France en charge des rails. Les deux sociétés avaient été séparées en 1997. Une loi votée par la majorité de droite de l'époque.

L'aveu

Un amendement écologiste réclamant l'interdiction des châtiments corporels aux enfants a été supprimé de la proposition de loi sur l'autorité parentale en discussion à l'Assemblée. Ce qui a tout de même relancé le sempiternel débat. Et les questions. A Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Sports et de la jeunesse, le journaliste Jean-Jacques Bourdin a demandé, dès le début de son interview mercredi matin : "Avez-vous déjà donné la fessée?" Après un bref moment de gêne, la ministre avoue : "Oui… ça m'est déjà arrivé. Je l'ai regretté tout de suite après". Elle a profité de cette confession un peu embarrassée pour glisser qu'elle n'était pas favorable à ce que la loi s'exprime sur ce sujet.

La phrase

Christiane Taubira lâche, dans un texte sur l'Europe sur page Facebook, à propos de la politique économique : "On ne tombe pas amoureux d’une courbe de croissance. Certes, certes ! Et pourtant, pourtant… Bon, sans cesser d’agir, cessons d’en parler puisque ça ne parle à personne."

Les coulisses

Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, a eu droit samedi aux honneurs du tapis rouge puis des marches du Festival de Cannes, en accompagnant l'équipe du film français "St Laurent". En smoking Yves Saint-Laurent. Sauf qu'elle aurait dû être suivie de la secrétaire d'Etat en charge du commerce extérieur Fleur Pellerin, en déplacement à ce moment-là sur la Croisette, sur le thème de l'export des films français. Le Canard enchaîné assure mercredi que si cette dernière était absente, c'est parce qu'Aurélie Filippeti a demandé et obtenu auprès du cabinet de Manuel Valls d'être la seule ministre en haut des marches.

http://www.lejdd.fr/Politique/Royal-veut-fusionner-le-Poitou-Charentes-et-les-Pays-de-la-Loire-667385

mardi 20 mai 2014

Bertrand Delanoë : "Je laisse à chacun sa mesquinerie"

Mr Montebourg, "pourquoi vous obstinez-vous à faire la guerre au monde entier?" - 20/05

Giscard d'Estaing, "un séducteur politique"


Giscard d'Estaing, "un séducteur politique" par rtl-fr

Benoît Hamon : "Martin Schulz sera bien meilleur que Jean-Claude Juncker"


Benoît Hamon : "Martin Schulz sera bien... par rtl-fr

L'expresso du 20 mai

En 2009, lors des dernières élections européennes, la liste Front national en Ile-de-France récoltait 4,4% des suffrages. Selon un sondage publié mardi par i-Télé et réalisé par l'Ifop, le parti de Marine Le Pen parviendrait, dimanche, à séduire 20% des électeurs de la région, soit une multiplication par cinq de son score d'il y a cinq ans. Cela donnerait quatre députés FN dans cette région, sur les 15 sièges à pourvoir.

L'invité

C'est finalement Stéphane Le Foll qui représentera le Parti socialiste lors du débat jeudi soir, sur France 2, consacré aux européennes, a annoncé France télévisions mardi matin. Le porte-parole du gouvernement participera donc à Des paroles et des actes et y affrontera François Bayrou, Jean-François Copé, Yannick Jadot, député européen EELV, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon. Le PS souhaitait que Martin Schulz, son candidat allemand à la présidence de la Commission européenne, soit son représentant à ce débat.

La rencontre

Manuel Valls rencontre mardi à 11h, à Matignon, Jacques Delors. Cette entrevue avec l'ancien président de la Commission européenne, chantre en France du projet européen, intervient dans une semaine très tournée sur le scrutin de dimanche pour le Premier ministre. Lundi soir, il était chez lui à Evry pour un meeting avec la candidate PS en Ile-de-France, Pervenche Berès. Mercredi, il sera à Barcelone, sa ville natale, en Espagne pour un autre meeting. Puis à Lyon, encore pour une réunion publique. "Je suis un adepte de la prise de risque. Je suis Premier ministre, chef de la majorité, je suis profondément européen, c'est donc naturellement que je fais campagne", a déclaré Manuel Valls dimanche dans le JDD.

La baisse

Elle est pour Manuel Valls, encore lui. Le chef du gouvernement voit sa popularité se tasser dans les sondages. Avec 52% d'opinions favorables, Manuel Valls perd quatre points entre la dernière édition du baromètre mensuel LH2 pour le Nouvel Observateur et celle d'avril, où il trônait à 56%. Dans le JDD, il perdait deux points, à 56%.

La mise au point

Bien sûr que "non", Harlem Désir n'a pas été viré du Parti socialiste après les très mauvaises élections municipales. "Non, je n'ai pas été débarqué du Parti socialiste", a expliqué l'ex-premier secrétaire et nouveau secrétaire d'Etat aux Affaires européennes sur BFMTV. En fait, a-t-il tenté, "François Hollande a dû tirer les leçons de l'échec des municipales" et "on a dû considérer que (son) expérience européenne pouvait être un atout pour défendre nos positions sur l'Europe".

L'enquête

Le Parquet de Paris vient d'ouvrir une information judiciaire sur de possibles détournements de fonds opérés au profit de plusieurs sénateurs UMP, révèle mardi Le Parisien/Aujourd'hui en France. Ce dernier précise que l'instruction a été confiée au juge René Cross et qu'elle fait suite à une enquête préliminaire de plusieurs mois, menée par des policiers de la brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA).

L'aveu

Le maire PS de Lyon Gérard Collomb le reconnait, deux ans après : "En fait, c'est le projet du PS élaboré en 2012 qui sous-estimait la réalité économique", lâche à La Tribune celui qui est aussi sénateur. Et d'ajouter : "François Hollande a sans doute mal mesuré la gravité de la situation et les difficultés qui l'attendaient. Une telle attitude n'est d'ailleurs pas le seul fait du PS. C'est le système politique binaire de la France qui encourage l'opposition à nier la réalité et à s'engager sur des promesses difficiles à tenir."
 
 

lundi 19 mai 2014

Politique Matin : Nicolas Dupont-Aignan, Député « Debout la République » de l’Essonne et Robert Rochefort, Tête de liste « UDI-MoDem » dans la circonscription du Sud-Ouest pour les européennes


Politique Matin : Nicolas Dupont-Aignan, Député... par LCP

Parlement’air - L’Info : Marie-Anne Chapdelaine, députée PS d'Ille-et-Vilaine et rapporteure de la PPL «Autorité parentale et intérêt de l'enfant»


Parlement’air - L’Info : Marie-Anne Chapdelaine... par LCP

Eléctions européennes : des panneaux vides et des habitants peu concernés

2017 : la candidature de Sarkozy peu désirée mais jugée très probable

La candidature de Nicolas Sarkozy à l'Elysée en 2017 est jugée par une forte majorité de Français non désirable mais cependant hautement probable, selon un sondage Ifop-Fiducial publié ce lundi.

Nicolas Sarkozy a beau se tenir (officiellement) à l'écart de la vie politique, une majorité de Français juge probable une candidature de l'ex-président de la République en 2017. Une candidature qui n'est pas particulièrement désirée par ailleurs. 63% des Français disent ne pas souhaiter que le prédécesseur de François Hollande se présente à la prochaine présidentielle, contre 37% à le vouloir. En juin 2013, ils étaient 40% à dire oui. Chez les seuls sympathisants de l'UMP en revanche, ils sont 84% à souhaiter cette candidature ( -3 pts par rapport à juin 2013).

Si ce retour ne paraît pas majoritairement désirable, il est en revanche jugé très probable : 76% de Français et 85% des sympathisants UMP pensent que Nicoals Sarkory se présentera. C'est beaucoup plus qu'en juin de l'an dernier où les taux étaient respectivement de 61% et 75%. Dans l'hypothèse où il est candidat, il est le préféré de 50% des sympathisants UMP pour représenter leur parti, loin devant le maire de Bordeaux
Alain Juppé (23%), François Fillon (7%) ou Christine Lagarde (5%). En l'absence de l'ex-président, le maire de Bordeaux passe en tête à 40% devant François Fillon à 13%.

Enquête Ifop pour i>Télé, réalisée par téléphone du 2 au 15 mai auprès d'un échantillon de 1.150 personnes, représentatif de la population française, âgée de 18 ans (méthode des quotas).
 

Le Député du Jour : Jacques Bompard, député du Vaucluse


Le Député du Jour : Jacques Bompard, député du... par LCP

Bourdin Direct: Marion Maréchal Le Pen - 19/05

L'expresso du 19 mai

"Parfois, dans le constat, Jean-Luc Mélenchon peut avoir raison". Marine Le Pen, invitée de RTL lundi matin, a reconnu que son adversaire du Front de gauche pouvait être sur la même ligne qu'elle. Là, il s'agissait de l'affaire Kerviel. Plus tard dans la matinée, Marion Maréchal-Le Pen a estimé qu'il y avait entre le Front national et l'extrême gauche des "points de convergence".

La joie du jour

"Hourra!" Jean-Luc Mélenchon salue lundi la première place de la gauche radicale Syriza à Athènes et sa région au premier tour des élections locales grecques, y voyant l'amorce d'un "effet domino". "Hourra!", s'exclame-t-il donc dans un communiqué, car "pour la première fois en Europe, a craqué la chaîne libérale qui étouffe les peuples, celle de la complicité de la droite et du PS pour appliquer ensemble les politiques d'austérité", écrit le coprésident du PG dans un communiqué.

Le regret

L'UDI s'est fait vampirisée dimanche son grand meeting d'avant européennes par Jérôme Kerviel et son barnum sur la plage de Vintimille. Yves Jégo, patron par intérim du parti, est amer : "L’opération de ce week-end est une opération réussie pour lui puisqu’on n’a parlé que de lui. On n’a d’ailleurs pas assez parlé d’Europe qui est quand même le grand enjeu. On a quand même eu un grand meeting qui n’a pas eu beaucoup d’espace dans les médias!" Et de citer Talleyrand : "Tout ce qui est excessif est insignifiant."
Lire notre reportage : Les centristes n'y arrivent pas

Les coulisses

François Hollande a décidé de repousser sa prise de parole sur la réforme des collectivités territoriales à dans quinze jours, une semaine au moins après les élections européennes, assure lundi le Figaro. Il pourrait toutefois, ajoute le quotidien, s'exprimer dès le 26 mai, au lendemain de l'élection, sur les résultats de la veille. "Il s'exprimera en tant que chef de l'État", note une source gouvernementale dans le journal. "Il tirera les conséquences de ces élections."

L'anecdote

"Haut fourneau" : c'est le surnom d'Edouard Martin, ex-syndicaliste CFDT en pointe de la lutte des salariés d'Arcellor-Mittal à Florange. Rien à voir avec son ancien emploi, assure au Parisien celui qui est devenu tête de liste PS dans la région Grand Est pour les européennes. Tout est dû à sa consommation excessive de tabac, trois paquets par jour, confie-t-il. "Il faudrait quand même que je me calme, cet été peut-être..."
 

dimanche 18 mai 2014

Marine Le Pen: "l'Union européenne nous interdit tout patriotisme économique" - 18/05

Jean-Louis Borloo revient pour parler de l'Europe - 18/05

Politique Première: Matignon / Parlement / Elysée: Ménage à trois


Politique Première: Matignon / Parlement... par BFMTV

Les très mauvais sondages de François Hollande

Deux sondages du «Parisien» et du «JDD» égratignent le chef de l'Etat...
Les sondages se suivent et se ressemblent pour François Hollande. Sa popularité se trouve toujours dans les abysses, à 18%,  selon le baromètre mensuel Ifop du JDD.  
Le même taux qu’au mois d’avril la nomination du populaire Manuel Valls ne lui a donc pas apporté un peu d’air. D’ailleurs, même le Premier ministre commence à plonger, en baisse de deux points avec 56% de taux de satisfaction.
Et dans le Parisien ce dimanche, un autre sondage pourrait assombrir la journée du chef de l’Etat. Dans une enquête d’opinion consacrée aux présidents de la Vème République, il est considéré comme le plus mauvais  des sept. Moins de 0,5% des sondés l’ont jugé comme le meilleur président. Très sévère, ceci étant, puisque François Hollande n'en est qu'à deux ans de mandat.

http://www.20minutes.fr/politique/1377965-les-sondages-catastrophiques-de-francois-hollande

Bayrou plaide pour "un impôt universel"

Alors que Manuel Valls a annoncé vendredi martin sur Europe 1 des mesures pour faire sortir 1,8 million de ménages de l’impôt sur le revenu, François Bayrou a présenté dimanche matin une philosophie diamétralement opposée à celle du Premier ministre. Le président du Modem a plaidé pour un impôt "universel", qui serait acquitté par chaque contribuable, même le plus modestement rémunéré.
"Il faut que tout le monde participe". "Dans un pays bien équilibré, tout le monde devrait participer à l’impôt. Même symboliquement, même par petite somme", a développé François Bayrou. "Pour moi l’impôt devrait être universel, puisque c’est de l’action publique qu’il s’agit. Il faut que tout le monde participe, même de manière symbolique, même s’il fallait augmenter les minimas pour que ça ne pèse pas sur le porte-monnaie des gens les plus modestes", a proposé le président du Modem.
Bayrou pense aux classes moyennes. Car pour le maire de Pau, c’est désormais les classes moyennes qui trinquent. "La conséquence de tout cela est extrêmement simple : on concentre l’impôt sur les classes moyennes", a-t-il asséné. "Les revenus les plus élevés ont de l’optimisation fiscale avec des conseillers. Or, les classes moyennes ne sont pas touchées par les dégrèvements du bas de la pyramide, et les facilités du haut de la pyramide. Il faut baisser la pression fiscale pour tout le monde. Que les classes moyennes n’aient pas à porter sur leurs épaules de manière aussi lourde les efforts de tous".
 

C' Politique ce dimanche

Jean-Christophe Cambadelis

Émission du 18/05/2014

 

L'invité : Jean-Christophe Cambadelis                          
L'invité
Jean-Christophe Cambadelis

L'invité : Jean-Christophe Cambadelis

L'invité
Jean-Christophe Cambadelis

vendredi 16 mai 2014

Parlement’air - L’Info : Geoffroy Didier - Secrétaire général adjoint de l'UMP et Candidat à l’élection européenne sur la liste de l’UMP « Pour la France, agir en Europe avec Alain Lamassoure » (5ème sur la liste)


Parlement’air - L’Info : Geoffroy Didier... par LCP

Impôts : Manuel Valls allège 3 millions de ménages


Impôts : Manuel Valls allège 3 millions de ménages par LCP

Ministre oui, informaticien non!

Alba Ventura : "Nicolas Sarkozy, parlera ou parlera pas ?"


Nicolas Sarkozy : parlera, parlera pas ? par rtl-fr

Politique Matin : Nathalie Arthaud, tête de liste en Ile-de-France pour les Elections Européennes, porte-parole de Lutte-Ouvrière et Aymeric Chauprade, tête de liste Front National en Ile-de-France pour les Elections Européennes


Politique Matin : Nathalie Arthaud, tête de... par LCP

Manuel Valls : "1,8 million de ménages sortiront de l’impôt sur le revenu"


Manuel Valls : "1,8 million de ménages... par Europe1fr

Valls: "Nous aimons la France et l'Europe"

L'expresso du 16 mai

Le Premier ministre, Manuel Valls a annoncé qu'1.8 millions de ménages "vont sortir de l'impôt" pour l'automne 2014. La mesure sera financée par la lutte contre la fraude fiscale et coûtera 1 milliard d'euros à l'Etat. Manuel Valls avait précédemment annoncé que 650.000 ménages allaient bénéficier de cette mesure.

Le soutien

Interrogé sur les rumeurs de rapprochement entre Orange et Bouygues Télécom, le ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg a annoncé sur BFMTV et RMC que "le gouvernement est favorable au retour des trois opérateurs."

L'initiative

Les jardins de l'Elysée seront de nouveau accessibles au public le premier dimanche de chaque mois à partir du 1er juin. Ils étaient déjà ouverts au public quelques mois fin 2012, conformément à la promesse de François Hollande de laisser les visiteurs fouler les pelouses et allées du parc présidentiel. Mais le renforcement du plan Vigipirate consécutif à l'intervention française au Mali, en janvier 2013, avait conduit l'Elysée à revenir sur cette mesure.
 

jeudi 15 mai 2014

Européennes : Copé et l'UMP défiés par Le Pen


Copé et l'UMP défiés par Le Pen par lejdd

Copé dénonce des "allégations", "amalgamées, mal vérifiées"

Le FN mise sur les élections européennes

Ségolène Royal: le décret Montebourg "n'est pas protectionniste" - 15/05

Ségolène Royal, c'est un peu Calamity Jane

Bourdin Direct : François Rebsamen - 15/05

Ségolène Royal : "Un gouvernement, ce n'est pas une cour de récréation"

Bernard Cazeneuve : "L'élection européenne présente des risques"

Juppé hospitalisé au Val-de-Grâce

Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, 68 ans, a été admis mercredi soir à l'hôpital parisien du Val-de-Grâce "pour y subir une série d'examens médicaux", a annoncé jeudi la mairie, mais selon son entourage "il n'y a pas de problème médical grave" et il reprendra ses activités en fin de semaine.
"Alain Juppé a été admis, mercredi soir, à l'hôpital du Val-de-Grâce pour y subir une série d'examens médicaux", a annoncé le service de communication de la mairie de Bordeaux dans un bref communiqué, précisant que l'ancien Premier ministre "reprendra ses activités officielles dès la fin de cette semaine".

"Pas de problème médical grave"

Il a été hospitalisé mercredi soir, alors qu'il s'était rendu dans cet hôpital parisien où il est suivi pour un "contrôle de routine". "Ils ont préféré le garder" pour des examens plus approfondis, a-t-on indiqué dans son entourage, avant de préciser qu''il "n'y a pas de problème médical grave".
Son directeur de cabinet s'est entretenu avec lui au téléphone jeudi matin et a assuré qu'il allait bien, a précisé cette source, qui a ajouté que la mairie avait préféré jouer la transparence car Alain Juppé a dû annuler un certain nombre d'engagements qui étaient dans son agenda officiel. Il devrait reprendre ses activités officielles à Bordeaux samedi ou dimanche.
Alain Juppé (UMP) a été réélu triomphalement maire de Bordeaux en mars avec 60,9% de voix. Selon le dernier palmarès des personnalités politiques Ifop-Paris Match publié mercredi, Alain Juppé reste en tête du palmarès des personnalités politiques préférées des Français.
 

L'expresso du 15 mai

"Ségolène Royal n'a pas à intervenir sur les dossiers qui ne sont pas les siens". Sur BFMTV-RMC, le ministre du Travail, François Rebsamen, a taclé sa collègue du gouvernement accusé de jouer perso après ses déclarations dans Paris Match. Elle prenait notamment position en faveur de General Electric dans le dossier Alstom contre la position du ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg.

La méthode (Coué)

Interrogé sur la chiffres de la croissance (nulle au premier trimestre 2014), le ministre des Finances, Michel Sapin, a opté pour la méthode Coué : "Ce n'est pas grave, cela conforte toute la politique de soutien aux entreprises que nous menons aujourd'hui", a-t-il expliqué sur Europe 1. "Ce sont les chiffres du premier trimestre: c'est le moment où le président de la République, il en a eu l'intuition, a dit 'on doit accélérer, on doit approfondir parce qu'on doit accélérer la croissance'", a précisé Michel Sapin.

Le retour

L'ancien Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a donné sa première interview depuis son départ du gouvernement.  Il a reconnu, sur RFI, une nouvelle fois, qu'il n'avait pas "assez décrit l’état réel du pays (au moment de son arrivée au pouvoir, Ndlr). En particulier la nécessité de mener des réformes profondes mais qui porteront leurs fruits que progressivement." Concernant les nombreux couacs qui ont émaillé ces vingt-deux mois au pouvoir, l'ancien Premier ministre n'estime pas avoir manqué d'autorité : "La discipline, c’est d’abord une auto-discipline, avoir l’esprit collectif." Il a également expliqué qu'il était "prêt" à continuer à Matignon fin mars, au moment été débarqué par le président de la République.

La défense

Interrogé sur les soupçons de surfacturation de conventions organisées par Bigmalyon durant la campagne électorale de 2012, Valérie Pécresse, qui était proche de François Fillon durant la campagne interne de l'UMP, a défendu mollement sur i-Télé le président élu du parti : "Je suis sûre que Jean-François Copé aura à coeur de donner toutes les explications sur ces dépenses", a-t-elle expliqué

La phrase

"Ségolène Royal n'a pas à intervenir sur les dossiers qui ne sont pas les siens". Sur BFMTV-RMC, le ministre du Travail, François Rebsamen, a taclé sa collègue du gouvernement accusé de jouer perso après ses déclarations dans Paris Match. Elle prenait notamment position en faveur de General Electric dans le dossier Alstom contre la position du ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg.
 

Le sondage

Le président de la République François Hollande a enregistré en mai un nouveau record d'impopularité, 78% des Français se disant défavorables à son action, selon le baromètre Ipsos pour Le Point, à paraître jeudi. Le précédent pic (76%) avait été atteint en février, puis en avril. Seuls 19% des sondés se disent favorables à son action (contre 18% en mars). Comme le mois dernier, seule une minorité de sympathisants PS émettent unjugement favorable à l'égard de son action (46%), contre 50% (+2%) qui la désapprouvent.

mercredi 14 mai 2014

Réforme territoriale: François Hollande reçoit les chefs des partis politiques - 14/05

Le retour agité de Duflot à l'Assemblée nationale - 14/05

Ecotaxe: un député PS relance la polémique

"Elle a toujours des comptes à régler Ségolène Royal" - 14/05

François Fillon : "Pas de redressement de l'Europe sans redressement national"

Gattaz: "appelle les salaires fixes à une modération salariale" - 14/05

L'expresso du 14 mai

Pour le gouvernement aujourd'hui, la meilleure élection c'est celle qui n'a pas lieu." L'ancien ministre du Budget, Eric Woerth (UMP) s'en est pris, mercredi, sur Radio Classique/LCI, au report programmé des élections régionales de mars 2015.

L'indulgence

Invité de RTL, l'ancien Premier ministre François Fillon, a refusé d'accabler l'ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, qui a annoncé qu'il ne voterait pas pour le candidat UMP en Ile-de France, Alain Lamassoure : "Henri Guaino a tort mais il a sa liberté d'expression et je me garderai bien de donner des leçons."

Le retour (en vidéo)

Selon Europe 1, l'ancien patron de l'UDI, Jean-Louis Borloo, retiré pour des raisons de santé, a prévu de s'exprimer dans un message vidéo de quatre minutes lors du dernier grand meeting de campagne de l’UDI et du Modem avant les européennes, à Aubervilliers, dimanche.

L'attaque

Le candidat du Parti populaire européen (PPE), Jean-Claude Juncker, a attaqué, sur Europe 1, sans la citer, la président du Front national, Marine le Pen, qui souhaite sortir la France de la zone euro : "Celui qui dit que la France doit quitter l’euro n’est pas un patriote français."

Le tweet

L'ancienne ministre du Logement, Cécile Duflot (EELV), se félicite du soutien de la vainqueur de l'Eurovision, Conchita Wurst, aux Verts.

 http://www.lejdd.fr/Politique/Francois-Fillon-Henri-Guaino-a-tort-mais-il-a-sa-liberte-d-expression-666237