vendredi 31 octobre 2014

Présidence de l’UDI : guerre de succession à la Kalachnikov


Présidence de l’UDI : guerre de succession à la... par Europe1fr
Alain Juppé devance largement Nicolas Sarkozy dans un sondage BVA pour Orange publié jeudi soir. 55% (+2) d'entre eux souhaitant que le maire de Bordeaux "ait davantage d'influence dans la vie politique française", contre 26% (-7) pour l'ancien président. Pour la première fois, la présidente du FN Marine Le Pen devance Nicolas Sarkozy dans la liste des personnalités proposées (29%, +1).

La critique

Candidat à la présidence de l'UDI, le député-maire de Drancy, Jean-Christophe Lagarde, ne s'est pas montré très enthousiaste à l’idée du Premier ministre de construire une "maison commune" de "toutes les forces progressistes" : "Manuel Valls nous invite à venir vivre dans une maison commune dont il est le seul habitant", a-t-il déclaré sur France Info.

Le tacle

L'ancien ministre de la Ville et proche de Martine Aubry, François Lamy tacle la gestion de la crise de Siven par le nouveau gouvernement : "Après la mort du manifestant, il aurait fallu réagir plus vite...", a-t-il estimé sur i-Télé.

Le recrutement

Selon le Huffington Post, le Front national compte aujourd'hui 83.000 adhérents, soit le plus haut niveau depuis sa fondation.

Le mercato

L'ancien directeur de cabinet d'Arnaud Montebourg, Boris Vallaud, devrait devenir secrétaire général adjoint de l'Elysée, selon Libération. Il doit remplacer Nicolas Revel qui a été proposé au poste de directeur général de la Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM).
 

jeudi 30 octobre 2014

Hollande, "président paria"


Jeudy Politique : Hollande, président paria par lejdd

Popularité: nouvelle chute pour Hollande et pour Valls, selon un sondage

La cote de popularité de l?exécutif a de nouveau baissé en octobre, le de la République et son Premier ministre perdant chacun trois points et atteignent respectivement 20% et 35% d'opinions positives, selon un sondage BVA pour Orange publié jeudi.
Après avoir regagné 4 points le mois dernier,
s'approche de son plus bas niveau de popularité (19%), et recueille 79% d'opinions négatives
  Il perd 5 points chez les sondés se disant sympathisants de gauche, dont 50% ont une mauvaise opinion du président .
Le chef du gouvernement Manuel Valls, qui avait gagné un point en septembre, voit sa cote de popularité plonger au plus bas depuis sa nomination à Matignon avec 35% d'opinions positives, en particulier auprès des sympathisants de gauche (53%, -8 points).
Dans un communiqué, l'institut de sondage explique ce désamour à gauche par "les nouvelles divisions au sein de la majorité", "les différentes polémiques sur le contrat de travail unique ou sur le nom du PS, mais aussi et surtout, par les très mauvais chiffres du chômage et l?aveu d?échec en ce domaine de Francois Rebsamen."
Seuls 10% des sondés jugent que la politique du président et du gouvernement est "efficace", et moins d'un quart la juge "juste" (24%, +1).
Le sondage propose aussi de mesurer la popularité de 32 personnalités politiques.
Parmi les noms proposés, les quelque 1.200 personnes sondées ont placé Alain Juppé largement devant Nicolas Sarkozy, 55% (+2) d'entre eux souhaitant que le maire de Bordeaux "ait davantage d'influence dans la vie politique française", contre 26% (-7) pour l'ancien président.
Pour la première fois, la présidente du FN Marine Le Pen devance M. Sarkozy dans la liste des personnalités proposées (29%, +1).
La baromètre montre aussi un saut de popularité pour le ministre de l?Économie, Emmanuel Macron (36%, +13), qui se place au quatrième rang derrière Alain Juppé, François Bayrou et Bruno Le Maire.
Sondage réalisé par internet les 28 et 29 octobre auprès de 1.225 personnes, un échantillon composé à partir de la méthode des quotas. La marge d'erreur pour un score de 20% dans un échantillon de 1.000 personnes s'établit à 2,5.
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/popularite-nouvelle-chute-pour-hollande-et-pour-valls-selon-un-sondage-30-10-2014-4253313.php

l'expresso du 30 octobre

La France livrera-t-elle à la Russie un navire de guerre Mistral le 14 novembre? Les autorités russes l'affirment mais le constructeur a démenti mercredi. "Les conditions ne sont pas réunies" pour le livrer le Mistral a? pour sa part, réagi jeudi le ministre des Finances, Michel Sapin,sur RTL.

Le retrait

Le ministre des Finances, Michel Sapin, a annoncé sur RTL qu'il allait demander aux députés socialistes de retirer l'amendement socialiste prévoyant de taxer les dividendes versés par certaines sociétés à leurs actionnaires. Les organisations patronales ont vivement réagi mercredi à l'adoption de cet amendement, le Medef dénonçant une "folie taxatrice" tandis que la CGPME a estimé que "la France fait le choix du salariat contre la création d'entreprise".

Le tacle

Le Premier Ministre, Manuel Valls, n'a pas apprécié l'hommage que lui a rendu François Hollande lors de la remise de sa légion d'honneur : "Le président se méfie de tout le monde. Il a raison. Il devrait se méfier de lui," a confié le chef du gouvernement en privé selon le Figaro.

La chute

Le nombre d'adhésions chute au Parti socialiste. Selon Europe 1, le PS s'attend à des recettes venues des adhésions 50 à 60% inférieures à ce qui été prévu au départ pour l'année 2014.

La critique

Le patron des sénateurs écolos au Sénat, Jean-Vincent Placé, a trouvé, sur Sud Radio, "infâme" les déclarations du président de la FNSEA, Xavier Beulin, sur les "djihadistes verts". Il demande des "excuses" au patron du syndicat agricole.

La controverse

Dans l'Obs, le Premier ministre, Manuel Valls, avait relancé l'idée d'un contrat de travail unique. Le secrétaire d'Etat à la Réforme de l'Etat, Thierry Mandon ne partage pas cet enthousiasme. Le contrat de travail unique "est une proposition du passé"a-t-il expliqué sur France Inter. Cela veut dire "enlever des droits aux cdi et ce n'est pas possible."
 

mercredi 29 octobre 2014

Manuel Valls répond aux questions des auditeurs de RTL

L'expresso du 29 octobre

Notre fragilité économique est préoccupante, tous les compteurs sont arrêtés, sauf celui du chômage", a estimé l'ancien Premier ministre Alain Juppé sur France Info, ajoutant : "Ce quinquennat a échoué." Invité à réagir aussitôt sur RTL, Manuel Valls a seulement commenté : "Il faut faire attention aux propos définitifs. Et donc rendez-vous dans deux ans et demi."

Les coulisses

Le Canard Enchaîné de mercredi fait état des crispations entre l'Élysée et Matignon. Selon l'hebdomadaire satirique, le président de la République estime que l'interview de Manuel Valls à L'Obs' était "pas utile". "J'en ai un peu marre qu'il fasse provoc sur provoc. Il tire un peu trop sur la corde", aurait confié François Hollande à ses proches.
Voir la chronique vidéo de Bruno Jeudy : Valls, Premier ministre jusqu'à quand?

La promesse

Manuel Valls l'a assuré : les 3,6 milliards d'euros d'économies supplémentaires promises par Paris à Bruxelles, en échange de son feu vert pour le budget 2015, "n'auront pas d'impact sur les impôts". "Nous avons trouvé des fonds sans toucher à nos engagements", a martelé le Premier ministre sur RTL.
Invitée sur Radio Classique, son ancienne ministre, Aurélie Filippetti, n'est toutefois pas de cet avis. "Ce qui pose problème, c'est la politique menée par ce gouvernement. On vit aujourd'hui une récession dans la zone euro", a-t-elle d'abord estimé avant d'analyser : "Comment fait-on pour changer la logique du toujours plus d'économies? Les règles de Bruxelles sont absurdes. On est victime de cette doxa."

Vu à la TV

Contrairement à Michèle Alliot-Marie et Geoffroy Didier, l'UMP Bernard Accoyer a confirmé qu'il avait bien participé à l'émission de télé-réalité de D8 qui met en scène des responsables politiques dans la peau de Français lambda. Sur RFI, l'ancien président de l'Assemblée nationale a fait le bilan de cette expérience : "J'y ai appris beaucoup de choses (...) J'ai vu la complexité du système hospitalier."

La cible

Cécile Duflot, qui a évoqué mardi une "tâche indélébile sur l'action du gouvernement" au sujet de la mort de Rémi Fraisse, a été très critiquée par les responsables de droite mercredi matin. Sur Sud radio, l'UDI Chantal Jouanno a ainsi estimé que la responsable EELV "est dans un règlement de compte personnel" vis-à-vis de Manuel Valls. "Cécile Duflot ne représente pas l'écologie, elle représente l'écologie politique", a encore commenté l'élue centriste. Sur i-Télé, le patron des députés UMP Christian Jacob s'est, lui, étonné  du "quasi-soutien immédiat des écologistes" aux "bandes de casseurs qui ont agi à Albi et Nantes" lundi soir, en réaction à la mort de jeune militant
 

mardi 28 octobre 2014

Drame de Sivens: une très mauvaise affaire pour le gouvernement


Drame de Sivens: une très mauvaise affaire pour... par LEXPRESS

Budget sécurité sociale, un vote très tendu

Élizabeth Martichoux : "La réforme territoriale, quel gâchis !"

François Fillon : "des comportements inacceptables" à Sivens

L'expresso du 28 octobre

Marisol Touraine a justifié sur France 2 la modulation des allocations familiales, décidées dans le projet de budget de la Sécu voté mardi à l'Assemblée : "Une politique familiale forte aujourd'hui, c'est celle qui créé les places de crèches. Elle ne peut se limiter qu'à des allocations." Et la ministre de la Santé d'assurer : "Ce n'est pas la natalité seule qui explique le dynamisme français."

L'incompréhension

L'eurodéputé écologiste José Bové continue de mener son combat contre la ferme des 1.000 vaches, dans la Somme. Il a dénoncé sur BFMTV le fait qu'avec ce projet, "la viande et le lait ne sont plus que des sous-produits". "Les industriels ne sont intéressés que par les excréments de ces vaches pour faire de l'électricité", a-t-il expliqué avant de faire part de son incompréhension quant à l'attitude du gouvernement : "Est-ce que c'est normal d'avoir un ministre de l'Agriculture qui nous dit : 'je ne suis d'accord, mais je ne peux pas empêcher un tel projet'?"

Le regret

Evoquant sur i-Télé la mort de Rémi Fraisse et les tensions autour du barrage de Sivens (Tarn), l'UMP Luc Chatel a renvoyé la responsabilité à François Hollande : "Il a encouragé une écologie plus radicale dans son programme en 2012." "François Hollande a surfé sur l’ambiguïté en laissant penser qu'il allait appliquer" l'accord PS-EELV, a regretté l'élu haut-marnais.

Le soutien

L'UMP Valérie Boyer, qui a été porte-parole de François Fillon fin 2012 lors de la campagne interne à son parti, a annoncé sir Twitter son soutien à Nicolas Sarkozy dans la course à la présidence de l'UMP

lundi 27 octobre 2014

L'expresso du 27 octobre

Contre une dissolution de l'Assemblée nationale, Delphine Batho a estimé sur i-Télé qu'"une cohabitation, cela ne réglerait rien". Changer le nom du PS? "Pareil, un ravalement de façade ne changera rien." L'ancienne ministre est plutôt "favorable à une grande coalition de Jean-Luc Mélenchon au centre".

La pointe d'agacement

Interrogé sur BFMTV sur la polémique sur le régime de Vichy, lancée par Eric Zemmour et nourrie par Jean-Marie Le Pen, Florian Philippot a dit "préférer parler de 2014 plutôt que de 1944". "On est le seul pays qui fait des retours en arrières permanents sur l'histoire", a regretté le vice-président du FN avant de répondre, devant l'insistance de Jean-Jacques Bourdin : "Il n'y a rien à réhabiliter dans Vichy, (…) une excroissance de l'Allemagne nazie."

Le point statistique

Hervé Morin ne souhaite pas contester les résultats du premier tour du scrutin pour la présidence de l'UDI, dans lequel il est arrivé en seconde position derrière Jean-Christophe Lagarde. L'ancien ministre a toutefois livré sur France 2 quelques éléments d'explication : "Plus de 46% des adhérents de l'UDI n'ont pas pu voter." Et d'ajouter : "Jean-Christophe Lagarde a su mobiliser dans son département (la Seine-Saint-Denis, Ndlr), 40% des gens qui ont voté pour lui viennent de (celui-ci)."

La précision

Invité sur Sud Radio, Jean-Marc Germain, député socialiste et frondeur, a indiqué qu'il n'était pas contre le retour sous la barre des 3% du PIB de déficit public. "Mais c'est la croissance qui fait réduire les déficits", a-t-il demandé.

Le règlement de compte

En 2012, Edouard Martin (CFDT) et Walter Broccoli (Force ouvrière) étaient les deux figures syndicales du conflit opposant les salariés des hauts fourneaux de Florange à ArcelorMittal. Le premier est devenu eurodéputé, le second a écrit Qui a tué Florange?, un récit amer du conflit social. Il a résumé son propos sur France Inter : "Le discrédit qu'Edouard Martin a fait porter aux syndicats se paiera." Walter Broccoli, qui "ne conçoit pas que notre société puisse vivre dans le libéralisme", estime également qu'"Emmanuel Macron est un ministre de droite".

Le débat

Delphine Batho et Bruno Le Roux, respectivement sur i-Télé et France Info, ont condamné les violences autour du barrage de Sivens (Tarn) et ont regretté la mort d'un jeune homme dans la nuit de samedi à dimanche. Mais ils ne sont pas d'accord sur le fond. Pour Bruno Le Roux, "une poignée (de militants) ne peut pas réussir à arrêter des projets d'utilité générale".
Delphine Batho a réclamé au contraire l'arrêt du projet de barrage. L'ancienne ministre de l'Ecologie a par ailleurs rappelé qu'elle avait mis en place un moratoire pour geler ce type de projet : "Je demande de revenir à ce moratoire, suspendu juste après mon départ (du gouvernement, Ndrl)."
 

dimanche 26 octobre 2014

Popularité : léger mieux pour Hollande

François Hollande ne tiendra pas jusqu'en 2017 selon François Bayrou

Le président du MoDem estime dimanche que le président de la République ne pourra terminer son mandat sans dissoudre l'Assemblée nationale et donc certainement affronter une cohabitation.
François Bayrou a déclaré dimanche ne pas croire que François Hollande "puisse tenir jusqu'en 2017" sans dissoudre l'Assemblée et a estimé que le président de l'UMP serait alors "probablement le Premier ministre de la cohabitation". Invité du "Grand rendez vous" Europe1/Le Monde/I
"Je ne suis pas sûr que François Hollande puisse tenir jusqu'en 2017 avec une majorité déchirée", a dit François Bayrou, en ajoutant: "les institutions offrent alors au président le retour devant le peuple, généralement par la dissolution". Et en cas de victoire de la droite, "il n'y a pas d'autre solution possible" que la cohabitation, selon François Bayrou, car "si vous gagnez, vous allez gouverner". A cet égard, a relevé le maire de Pau, "l'élection du président de l'UMP est probablement l'élection du Premier ministre de la cohabitation. Il y a des nécessités institutionnelles et je ne crois que cela ait complètement échappé à Nicolas Sarkozy".

Pour François Bayrou, "il n'y aura pas de changement politique majeur s'il n'y a pas de retour devant le peuple". "Ensuite, je ne pense pas que dans un pays qui est plongé dans une crise aussi profonde que la nôtre, on puisse mener la politique qui convient avec une majorité riquiqui, rétrécie", a-t-il dit. Selon lui, "ce que l'Allemagne a montré, et c'est pourquoi il faut un changement de pratique institutionnelle, c'est que quand il y a de très grands enjeux il faut que les forces politiques puissent travailler ensemble sans se renier".

Après des élections, "il ne serait pas difficile pour moi de travailler avec des hommes comme Alain Juppé d'un côté ou ceux qui viennent de s'exprimer autour de Manuel Valls", a dit François Bayrou, en faisant référence au "courant réformiste" du PS. Manuel Valls "est cohérent, et ne manque pas d'un certain courage" mais actuellement "il ne sera en rien suivi par son camp", a-t-il jugé.
 

vendredi 24 octobre 2014

Les conflits du PS - L'édito de Christophe Barbier


Les conflits du PS - L'édito de Christophe Barbier par LEXPRESS

Alba Ventura : "Réduire le nombre de parlementaires, une bonne idée"

L'expreso du 24 octobre

Jean-Christophe Cambadélis sonne la fin de la récré. "PS, cela veut dire Parti socialiste…et pas PlayStation. Il ne s'agit pas de descendre le maximum de socialistes en moins de temps possible", déclare le premier secrétaire du PS au Parisien. "Etre socialiste, c'est travailler pour rendre la société plus juste", explique-t-il posant dans son bureau de Solférino, un gant de boxe dédicacé à la main gauche – offert par l'Ukrainien Vitali Klitschkso. "Je déplore cette règle du "je" qui valorise la petite phrase, les postures".

La réplique

Dans Le Parisien Magazine, Bruno Le Maire répond à Nicolas Sarkozy qui, comme le raconte le journal, "fulmine en privé : 'Ce connard, c'est moi qui l'ai fait!'" "Ce que j'ai obtenu, je l'ai eu à la sueur de mon front,  rétorque Bruno Le Maire, qui pose pinceau à la main, prêt à repeindre un mur bleu. "On ne m'a rien donné, insiste-t-il. (…) Ça l'arrangeait bien de me nommer pour récupérer un proche de Villepin. Il était bien content de trouver quelqu'un qui parlait couramment la langue pour se rabibocher avec les Allemands. Bien content aussi de trouver quelqu'un pour parler aux paysans quand ils étaient en colère… Ses attaques me laissent froid. Je suis libre".

Le cadeau

Comment augmenter son nombre de fans sur sa page FacebookSelon le blog du journaliste de France 2 Guillaume Daret, repéré par Le Lab,  Nicolas Sarkozy envisage de "récompenser son millionième fan" sur le réseau social. "Il y aura quelque chose de particulier pour lui, un petit moment avec Nicolas Sarkozy", confie un proche conseiller. "Rencontre avec Nicolas Sarkozy? Déjeuner? Journée "VIP" lors d’un meeting?", interroge le journaliste. "On verra bien, on y travaille, rien n'est tranché pour l’instant mais il y aura quelque chose". L'ex chef de l'État comptait vendredi matin 990.359 fans sur le réseau social, contre 507.982 pour François Hollande.
http://www.lejdd.fr/Politique/Sarkozy-veut-recompenser-son-millionieme-fan-Facebook-696114

jeudi 23 octobre 2014

Le Clash Figaro-L'Obs : Valls-Aubry, les deux gauches sont-elles en guerre ?

Valls, Premier ministre jusqu’à quand?


Valls, Premier ministre jusqu’à quand? par lejdd

Elections départementales : projections inquiétantes pour le PS


Elections départementales : projections... par Europe1fr

Divergences au sein de la gauche

L'expresso du 23 octobre

Dans le Parisien/Aujourd'hui en France, Alain Juppé plaide pour une réduction de moitié le nombre de parlementaires. "Ce n'est pas ce qui va nous permettre de rééquilibrer les comptes publics" mais "il faut le faire. C'est un bon signal", a insisté le candidat à la primaire UMP pour la présidentielle de 2017. "Il y a 577 députés et 348 sénateurs, plus de 900 au total. C'est évidemment beaucoup trop", juge le maire de Bordeaux qui "pense qu'une diminution de moitié ne serait pas absurde, autant pour une raison d'efficacité démocratique que pour une raison d'économies". Un combat que partage Claude Bartolone qui, sur RTL, a rappelé que dans son dernier ouvrage il plaidait pour 400 députés au lieu de 577.

L'avis

Réagissant à l'interview de Manuel Valls dans L'Obs,appelant à en finir avec la gauche passéiste, Claude Bartolone considère qu'il s'agit d'une" faute". Le président de l'Assemblée nationale conseille au Premier ministre de se "concentrer" sur "son travail de Premier ministre", de "répondre aux attentes des Français" et de "laisser ce débat aux militants socialistes". Ce n'était pas le "meilleur moment pour pousser cette chansonnette", a ajouté Claude Bartolone.

La confiance

Claude Guéant a-t-il été écarté de la campagne pour la présidence de l'UMP de Nicolas Sarkozy? L'ancien ministre de l'Intérieur ne trouve pas. "Je vais avoir 70 ans (en janvier, Ndlr), il est tant de faire la place aux jeunes", a-t-il souri sur i-Télé. Au sujet des attaques de Patrick Buisson, dans L'Obs, qui menace de faire des révélations fracassantes, Claude Guéant reste serein, jugeant toutefois que ce "type de propos n'est pas convenable", de la part de "quelqu'un qui a été un proche collaborateur du Président de la République. "Je ne vois pas ce qu'il y a à craindre", a-t-il ajouté.

La réplique

Quand François Hollande a remis mercredi les insignes de Grand-Croix de l'ordre national du Mérite à Manuel Valls, il a cité Clemenceau et déclaré qu'on "peut réussir sa vie sans être Président". Manuel Valls dit avoir ressenti une "grande émotion" et ne veut pas y voir une pique. "Vous ne trouverez jamais chez moi la moindre distance critique", par rapport au président de la République, a-t-il déclaré sur BFMTV, saluant, "l'humour" du chef de l'Etat, "une merveilleuse arme". François Hollande a "parfaitement raison", a-t-il ajouté. Clemeneceau est quelqu'un qui a eu raison tout au long de sa vie" , a-t-il rappelé au passage, saluant le "beau parcours de ce "géant de l'Histoire".

L'attaque

En visite à la Fiac, où il a notamment croisé Zahia, Manuel Valls en a profité pour envoyer une petite pique à Benoît Hamon, très critique envers la politique du gouvernement. "Désolé, je ne réponds pas à propos de Benoît Hamon. Il n’est pas exposé ici, il n’est pas suffisamment à l’avant-garde", a lâché le chef du gouvernement selon Le Parisien.
 

mercredi 22 octobre 2014

Budget: Manuel valls défend les orientations du gouvernement

ZAPPING - La grosse fatigue de Macron, une toile de tente et la fin du secret bancaire

Hollande à Valls: Les mois à venir demanderont du "sang-froid"

l'expresso du 22 octobre

Interrogé sur l'information du Canard Enchainé qui révèle que plus d'une soixantaine de parlementaires serait visés par une enquête fiscale, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, a assuré sur France Info que "la politique des coquins et des copains, c'est fini."

La critique

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a lourdement critiqué les anciens ministres qui se sont abstenus sur le volet recettes du budget. "Ce n'est pas bon ni pour eux, ni pour le PS, ni pour les frondeurs, c'est une attitude déplorable", a attaqué Jean-Christophe Cambadélis sur RTL, visant Benoit Hamon et Aurélie Filippetti. Il a également raillé la ""double attitude de soumission quand on est au gouvernement et de permission quand on sort".

La réponse

Après les critiques de Jean-Christophe Cambadélis, l'ancienne ministre de la Culture, Aurélie Filippetti a dit n'avoir "aucune leçon à recevoir de qui que ce soit. Il y a de la mauvaise foi dans ses propos."

Le constat 

L'ancien ministre de l'Education, Benoit Hamon a estimé sur RFI que la politique de l'exécutif "menace la République", et mène vers un "immense désastre démocratique". "La menace de la République, c'est la préparation tout droit, comme on s'y prépare pour 2017, d'un immense désastre démocratique", soit "non seulement l'arrivée au second tour de la présidentielle de Marine Le Pen sans coup férir, mais en plus la menace que demain, elle dirige le pays", a-t-il explicité. " "S'il y a une menace pour la démocratie, Benoit Hamon n'a qu'à quitter le PS. Il va trop loin. Une limite a été franchie", a réagi sur BFMTV/RMC, le porte-parole du gouvernement, Stéphane le Foll.

L'attaque

La maire de Lille, Martine Aubry a attaqué violemment François Hollande devant les frondeurs selon le Canard enchaîné : "J'avais raison, Hollande est un incapable. Il a tout raté : le chômage, il n'a pas réussi à le faire baisser, et la croissance n'est pas au rendez-vous. Tout va de travers."
 

mardi 21 octobre 2014

Patrick Menucci : " La totalité des députés socialistes sont révulsés par les propos de Gérard Filoche"


Patrick Menucci : " La totalité des députés... par LCP

Le Député du Jour : Christian Kert, député UMP


Le Député du Jour : Christian Kert, député UMP... par LCP

L'expresso du 21 octobre

Nous avons fait des choix un peu différents de l’histoire économique de la gauche". Le ministre de l'Agriculture et proche de François Hollande, Stéphane le Foll, tente de justifier aux Echos la politique économique de l'offre choisie par le gouvernement. 

La réaction

"Il était un des meilleurs lutteurs contre le french-bashing qui l'insupportait", a jugé sur Europe 1 le ministre des Finances, Michel Sapin, en réaction à la mort du patron de Total, Christophe de Margerie.

L'engagement 

Le patron du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob, souhaite que l'UMP rétablisse l'universalité des allocations familiales en cas de retour au pouvoir : "Si l'UMP revient au pouvoir, elle doit prendre l'engagement de rétablir l'universalité des allocations familiales. En tout cas moi, je m'y engage", a-t-il assuré sur RTL.

La déprime

L'ancien bras droit de Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, se laisse aller aux confidences dans Le Parisien : "Les choses sont simples dans une pareille situation (celle de l'affaire Bygmalion, Ndlr) : soit on se pend, soit on décide d'affronter les choses. J'ai opté pour le second choix, même si la première question s'est aussi posée."
 

lundi 20 octobre 2014

Martine Aubry n'a pas changé: dommage - L'édito de Christophe Barbier


Martine Aubry n'a pas changé: dommage - L'édito... par LEXPRESS

NKM face à Ségolène Royal


Nathalie Kosciusko-Morizet débat avec Ségolène... par NKM

Alba Ventura : "À quoi joue Martine Aubry ?"

Politique Première: Politique social du gouvernement: Martine Aubry se pose en chef des "frondeurs" – 20/10


Politique Première: Politique social du... par BFMTV

L'expresso du 20 octobre

Après l'interview de Martine Aubry dans le JDD qui critiquait vivement la politique économique de l’exécutif, le patron des députés socialistes, Bruno Le Roux, a estimé sur RTL qu'"il ne doit pas seulement y avoir des débats mais il faut aussi avoir de l'unité." Pour Olivier Faure, proche de l'ancien Premier ministre, Jean Marc Ayrault, "le point aveugle du raisonnement de Martine Aubry, c'est l'Europe. Pour le reste, je n'ai pas de désaccords majeurs", a-t-il expliqué sur RMC.

Le recours

Après son entretien dans le JDD, Martine Aubry était invité sur France inter lundi. Elle a indiqué qu'elle ne voulait pas être un "recours". Accepterait-elle une nomination à Matignon? "Je ne suis pas dans cette logique-là. Manuel Valls est aujourd'hui au gouvernement. C'est un homme qui a des nerfs, il peut accepter le débat. Je pense que ça a été un bon ministre de l'Intérieur, aujourd'hui il faut qu'il accepte ce débat-là pour tous ceux qui veulent aider à réussir". La maire de Lille a également estimé que "l'extrême-droite est à nos portes et veut gagner". Le Premier ministre, Manuel Valls, avait provoqué une polémique début septembre en expliquant que Marine Le Pen et l'extrême droite sont "aux portes du pouvoir".

Le point d'accord

Candidat à la présidence de l'UMP, Hervé Mariton est d'accord avec certaines thèses du polémiste de droite Eric Zemmour : "Quand Eric Zemmour dit des choses fortes sur les problèmes d'identité de notre pays, il a raison", a-t-il affirmé sur i-Télé. Interrogé sur la thèse zemmourienne sur Vichy, le président d'honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen a estimé que "Vichy a fait ce qu'il pouvait pour essayer de défendre les Français." Il a également critiqué les propos du numéro 2 du Front national Florian Philippot qui avait expliqué qu'il n'y avait "rien à sauver à Vichy". "Florian Philippot ne sait pas de quoi il parle", a-t-il asséné sur BFMTV/RMC. 

Le conseil 

Soutien de Nicolas Sarkozy dans la campagne pour la présidence de l'UMP, l'ancien ministre de la Justice, Rachida Dati, donne des conseils à l'ancien président de la République : "Nicolas Sarkozy ne devrait plus parler de lui ou de sa vie personnelle. Nombreux le pensent et peu osent lui dire", a-t-elle estimé dans Le Parisien.

Le désaccord

La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a évoqué dimanche sur BFMTV l'imposition possible d'une vignette pour les poids lourds étrangers transitant sur le territoire français pour financer le manque à gagner de la suppression de l'écotaxe. Cette idée ne satisfait pas le ministre des Finances, Michel Sapin : "En Europe on ne taxe pas un camion étranger parce qu'il est étranger", a-t-il assuré sur France Info.
 

dimanche 19 octobre 2014

Sondage : à mi-mandat, la rupture entre Hollande et les Français

Voilà une mi-quinquennat très préoccupante pour François Hollande. Un président contesté dans son propre camp et qui n'a de cesse de décrocher avec l'opinion. Selon notre sondage OpinionWay, seules 15 % des personnes interrogées (-2 depuis avril) se déclarent satisfaites de l'action du chef de l'Etat depuis son élection, contre 85 % (+2 depuis avril) qui se disent mécontentes.

Logiquement, 86 % des sondés ne souhaitent pas que le chef de l'Etat se représente en 2017 contre 13 % seulement qui le souhaitent.

Sans surprise, c'est sur la lutte contre le chômage que le taux de mécontentement est le plus fort (88 %). Les sondés sont aussi 86 % à se dire assez ou très mécontents quand on évoque les engagements de la campagne ou la fiscalité.

Plus inquiétant encore pour le chef de l'État : ses traits d'image sont considérés comme très mauvais. Selon notre enquête, une infime minorité de Français jugent que Hollande est à l'écoute des préoccupations des Français (18 %), dit la vérité (16 %), sait prendre des décisions difficiles (16 %), sait où il va (14 %). Alors qu'il avait fait campagne sur le rassemblement, seuls 10 % de sondés jugent, deux ans et demi après son élection, qu'il est capable de rassembler les Français.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/19/97001-20141019FILWWW00181-exclusif-sondage-a-mi-mandat-la-rupture-entre-hollande-et-les-francais.php

Interview d'Aubry: "Les débats, c’est nécessaire" réagit Le Foll

Sylvia Pinel: "Nous devons soutenir l'investissement et la création d'emploi"

vendredi 17 octobre 2014

Le Mystère Macron - L'Édito de Christophe Barbier


Le Mystère Macron - L'Édito de Christophe Barbier par LEXPRESS

L'expresso du 17 octobre

Sur France 2, la maire de Paris Anne Hidalgo s'est montrée très prudente quant à la volonté du gouvernement de moduler les allocations familiales. La socialiste a exprimé ses réserves quant aux "modalités de mise en œuvre" de cette mesure et a demandé "beaucoup plus de progressivité", sans quoi les classes moyennes seraient directement impactées par la modulation.

La colère

Pour une partie de la droite, la modulation des allocations familiales est un casus belli. Le député UMP Hervé Mariton y a vu sur BFMTV une "attaque supplémentaire contre la famille" et "la remise en cause du principe d'universalité" de cette aide, ce dont se défend le gouvernement. "Quelle sera la prochaine étape? Que les remboursements de soins de la Sécurité sociale ne seront pas les mêmes suivant les revenus?", s'est ainsi indigné le candidat à la présidence de son parti.

Le démenti



Ségolène Royal a-t-elle été recadrée par François Hollande, comme l'affirme Le Parisien? "Je n'en n'ai vraiment pas le souvenir, mais si ça fait plaisir à certains…", a souri l'intéressée sur i-Télé. La ministre de l'Ecologie assure que le Président ne lui a pas dit "un mot" sur sa proposition de rendre gratuites les autoroutes le week-end. "Au contraire", estime Ségolène Royal, son ancien compagnon l'a "félicité pour l'adoption" de la loi sur la transition écologique.

La prédiction

Manuel Valls "est avant tout occupé à la mise en scène de sa sortie" (...) Il cherche la bonne posture pour prendre un jour l'opinion publique à témoin en disant 'voyez, moi je suis un réformateur. Le président de la République a peur des réformes et on ne peut pas travailler avec cette majorité'", a déclaré Christian Jacob dans un entretien accordé au Figaro. Selon le patron des députés UMP, "le nouvel échec de la gauche aux cantonales de mars 2015" pourrait être "le bon prétexte" pour le Premier ministre de quitter le gouvernement.

La divergence



"Fessenheim fermera" avant 2017, a assuré la patronne des écologistes, Emmanuelle Cosse, sur France Info. La secrétaire nationale d'EELV assure que François Hollande s'est engagé en ce sens, à l'occasion d'une rencontre entre eux lundi. "C'est compliqué, je suis très pragmatique", a répondu sur i-Télé Ségolène Royal, qui avait dit mardi ne pas être certaine que le site alsacien ferme en premier. La ministre de l'Ecologie a évoqué une "hypothèse avancée pendant la campagne présidentielle". "Ce qui est sûr, c'est que deux réacteurs fermeront", a-t-elle ajouté, sans préciser lesquels.

La phrase

Le Parti radical de gauche "a besoin de plus de respect", a indiqué Thierry Braillard, l'un de ses représentants au gouvernement. Alors que sa formation doit dire vendredi si elle continue de participer à la majorité gouvernementale, le secrétaire d'Etat aux Sports a dit attendre davantage, "notamment sur la réforme territoriale".

Le soutien



Eric Woerth "s'inscrit en faux" contre cette "perception globale" que le retour de Nicolas Sarkozy serait raté. "Nicolas Sarkozy s'adresse aux militants (...) et donc il a un langage qui s'adresse aux militants", a fait savoir sur RTL le député de l'Oise, en affirmant que cela fonctionnait "plutôt bien". L'ancien ministre a assuré que l'ex-Président revenait même "par l'humilité", en choisissant de se présenter d'abord à la présidence de son parti.
 

Le Roux : «Je ne veux pas être le comptable des engagements du président de la République

jeudi 16 octobre 2014

Marine Le Pen, présidente…en 2015


Jeudy Politique : Marine Le Pen, présidente…en... par lejdd

Politique Première: À mi-mandat, François Hollande est-il en manque d'idées ? - 16/10


Politique Première: À mi-mandat, François... par BFMTV

Stéphane Le Foll : "Finissez vos assiettes !"


Stéphane Le Foll : "Finissez vos assiettes !" par rtl-fr

Alba Ventura : "Le retour raté de Nicolas Sarkozy"


Alba Ventura : "Le retour raté de Nicolas Sarkozy" par rtl-fr

L'expresso du 16 octobre

Dans un livre à paraître la semaine prochaine intitulé Big Magouille, la journaliste de Libération Violette Lazard décrit le train de vie du candidat Nicolas Sarkozy lors de la dernière campagne présidentielle, dont les fausses factures sont au coeur de l'affaire Bygmalion. Est ainsi mentionné sur le site du Nouvel Obs un meeting à Nice, qui a coûté au total 5.460,90 euros. "Nous sommes nombreux à avoir halluciné ce soir-là, nous mangions de la truffe et buvions du champagne alors que nous n'avions pas gagné...", commente l'un des participants dans l'ouvrage.

La réaction

Interrogé par Sud Radio sur le buffet truffe-champagne, Hervé Mariton, candidat à la présidence de l'UMP face à Nicolas Sarkozy a jugé "inacceptable que le parti paye des buffets de cette valeur". "Les vraies valeurs m’intéressent davantage que les pâtes aux truffes", a ajouté le député de la Drôme.

La mise en garde

Les concurrents de François Fillon sont prévenus : "J'ai indiqué que je serai candidat aux primaires de l'opposition si elles sont honnêtes. Sinon je serais candidat au premier tour de la présidentielle. Comme ça, les choses sont simples et tout le monde est prévenu", a lancé l'ex-Premier ministre sur France Info. Avant de préciser : "Une primaire honnête, c'est une primaire à laquelle tous les Français qui souhaitent participer puissent participer. Où il y a deux ou trois millions de Français qui participent."

La critique

"Il n'y a aucune raison" que le budget 2015 de la France soit retoqué par la Commission européenne. Sur i-Télé, le patron des députés socialistes Bruno Le Roux a assuré que "le problème de Bruxelles, c'est Bruxelles". Pour justifier le dérapage des déficits français, qui risque d'être sanctionné, le député a évoqué des "circonstances exceptionnelles". Or, celles-ci sont en "grande partie" les conséquences de la "Commission Barroso, qui a été en faillite totale", a assuré Bruno Le Roux.

La phrase

"Je ne pense pas à Bruxelles en me rasant", a ironisé sur France Inter le ministre de l'Economie Emmanuel Macron, qui a réfuté que son projet de loi pour libérer l'économie française soit un "signal" envoyé à la Commission européenne.

Le coup de gueule

"C’est minable et scandaleux!" Sur Europe 1, Olivier Falorni n'a pas apprécié le retour discret de Thomas Thévenoud la veille à l'Assemblée. L'ex-secrétaire d'Etat, qui a quitté le gouvernement pour ses frasques fiscales est réapparu en commission. Un retour qui inspire "une forme de dégoût, la nausée", à Olivier Falorni. Et le député de la Charente-Maritime de plaider pour "une inéligibilité à perpétuité".

La confusion

Une précision en deux temps. Des contrôles des passagers à l'arrivée à Roissy sur le vol quotidien d'Air France en provenance de Conakry, en Guinée, débuteront samedi matin et non vendredi, a rectifié la ministre de la Santé Marisol Touraine. Elle avait dans un premier temps avancé sur sur LCI/Radio Classique la journée de "demain" (vendredi). L'Elysée avait indiqué mercredi que la France "allait mettre en place un dispositif de contrôles à l'arrivée des vols en provenance de la zone touchée par le virus" Ebola.
 

mercredi 15 octobre 2014

ZAPPING: Les salles de shoot et Ségolène Royal échauffent l'Assemblée nationale

Les conférences de Sarkozy pendant sa campagne à l'UMP passent mal

Ce n'est pas par la stigmatisation et la culpabilisation des chômeurs qu'on s'en sortira


Jean-Marc Ayrault : "Je n'ai pas à distribuer... par rtl-fr

L'expresso du 15 octobre

François Hollande est satisfait de la candidature de Nicolas Sarkozy à la présidence de l'UMP. "Il faudra lui dire un jour que son retour est très utile", a-t-il confié selon Europe 1.  "Deux ans et demi, c’est court quand on est au pouvoir. Mais très long quand on est dans l’opposition", juge-t-il également.

L'avis

L'ancien Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, n'est pas favorable à une nouvelle réforme du marché du travail. "Ce n'est pas par la stigmatisation et la culpabilisation des chômeurs qu'on s'en sortira", a-t-il expliqué sur RTL. Le député de Loire-Atlantique a dit également "regretter" le retrait de l'écotaxe. Jean-Marc Ayrault donne également des conseils à son successeur : "Il faut veiller à ce que le dialogue soit une méthode de réussite", a-t-il assuré

L'idée

La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, n'entend pas abandonner l'idée de la gratuité des autoroutes le week-end. "Il fallait mettre le sujet sur la table pour rendre aux automobilistes l'argent qu'ils ont trop payé" a-t-elle insisté sur Radio Classique-LCI après s'être faite recadrer mardi par Matignon. "Les idées iconoclastes étonnent toujours", a-t-elle ajouté.

La préoccupation 

Interrogé sur Europe 1 sur des entreprises comme Facebook et Apple qui veulent aider leurs employées à congeler leurs ovules, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, s'est dit "préoccupée d'entendre que des entreprises congèlent des ovocytes" et met en garde contre des "conséquences éthiques".

L'attaque

L'ancien candidat Front de gauche à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, a attaqué le futur Commissaire européen aux affaires économiques, Pierre Moscovici : "Après nous avoir serré le kiki, voilà maintenant Pierre Moscovici à la Commission européenne pour continuer", a-t-il affirmé sur BFMTV-RMC.
 

mardi 14 octobre 2014

Benoît Hamon : "Le gouvernement doit changer de politique économique"

Valls: "je ne veux pas d'un projet thatchérien"

Alba Ventura : "Ségolène Royal, l'homme fort du gouvernement


Alba Ventura : "Ségolène Royal, l'homme fort du... par rtl-fr

L'expresso du 14 octobre

La ministre de l'Ecologie du développement durable et de l'Energie, Ségolène Royal, a annoncé sur RTL que la centrale nucléaire de Fessenheim ne fermerait pas "forcément" en 2016. François Hollande avait promis durant sa campagne présidentielle en 2012 que la centrale devait être arrêtée avant la fin de son premier mandat. La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a dit également souhaiter une baisse de 10% des tarifs autoroutiers et "une gratuité, par exemple, le week-end".

Les chiffres

Selon un sondage Ipsos-Le Point publié lundi soir, Nicolas Sarkozy perd 11 points de popularité auprès des proches de l'UMP (71%) et se fait devancer par Alain Juppé dont l'action est jugée favorablement par 76% des sympathisants UMP (+4 points). Ces chiffres "m’inspirent de la modestie", a expliqué Alain Juppé sur France Inter. "Cela m'inspire un sentiment de confiance aussi et m’incite à avancer", a-t-il poursuivi.

Les encouragements

Malgré la baisse de Nicolas Sarkozy dans les sondages, l'ancien président de l'UMP, Bernard Accoyer, assure que la campagne de l'ancien président de la République se passe bien. "Toutes les réunions qu'il tient sont des réussites", a-t-il déclaré sur Sud Radio.

L'oubli

Sur France 2 le 21 septembre, l'ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, avait soutenu qu'il n'avait "jamais entendu parler de Bygmalion" durant la campagne présidentielle. "Moi-même je ne connaissais pas cette société Pygmalion...ou Bygmalion, je ne sais plus exactement", a déclaré sur i-Télé le proche de l'ancien chef de l'Etat, Brice Hortefeux.

L'absence de soutien

L'ancienne ministre de l'Ecologie, Delphine Batho, qui avait été limogée par Jean-Marc Ayrault en 2013 ne souhaite pas la réélection du président de la République. "Je crois que François Hollande n'est pas en position d'être réélu. Je ne le soutiendrai pas pour 2017", a-t-elle assuré sur BFMTV-RMC.

lundi 13 octobre 2014

Valéry Giscard d'Estaing: "Sortir de l'Euro serait une catastrophe pour la France et les Français

Alba Ventura : "Les deux chronos de la réforme"


Alba Ventura : "Les deux chronos de la réforme" par rtl-fr

Bruno Le Roux : "Il y a un problème de l'assurance chômage"

L'expresso du 13 octobre

Après avoir dit dimanche "que quand le président de la République s'exprime, les ministres appliquent", le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a de nouveau attaqué le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron sur France Info. "Ce ne sont pas les mesures visant à encadrer les chômeurs qui créent la croissance", a-t-il expliqué. Dans le JDD, Emmanuel Macron avait assuré qu'il ne devait "pas y avoir de tabou ni de posture" sur l'assurance-chômage. 

L'explication

Sur France Info, l'ancien ministre, Benoît Hamon, a également critiqué les "initiatives désordonnées" du gouvernement destinées à "amadouer l'Union européenne" après les propos d'Emmanuel Macron sur l'assurance-chômage, "pas la bonne manière de faire" selon lui. "la France n'a pas d'autre choix face à la Commission européenne, sauf à perdre sa crédibilité, que d'accélérer sur les réformes dites structurelles, un agenda qui n'est pas le sien. Je crois qu'Emmanuel Macron comme le Premier ministre mettent en oeuvre des propositions, les mettent en débat parce qu'ils n'ont pas d'autres choix que de le faire et que l'Union européenne l'exige", a-t-il expliqué.

La menace

Le président du Parti radical de gauche, Jean-Michel Baylet, continue de menacer de quitter le gouvernement : "Si nous ne sommes là que pour le décorum, nous n'avons pas de raison de rester au Gouvernement", a-t-il déclaré sur RMC. "Nous demandons au PS plus d'humilité et de respect envers ses alliés", a-t-il ajouté.

La proposition 

Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, maintient son projet de "moduler" les allocations familiales en fonction des revenus. Le groupe socialiste doit discuter mardi d'une proposition de loi.
 

dimanche 12 octobre 2014

Sondage : Hollande en baisse, Valls stable

François Hollande voit la satisfaction face à son action perdre deux points en un mois à 18 %, tandis que son Premier ministre est stable à 32 % dans le baromètre CLAI-Metronews-LCI. Nicolas Sarkozy cède 6 points dans cette enquête réalisée par OpinionWay et publiée dimanche. Le chef de l'État est crédité de 18 % de satisfaction contre 20 % en septembre. Le nombre de mécontents augmente de un point à 81 %. Manuel Valls suscite 32 % de satisfaits (inchangé) et 67 % de mécontents (idem).
Jean-Yves Le Drian (Défense) et Laurent Fabius (Affaires étrangères) gardent la tête du palmarès de l'action gouvernementale, à 52 % de satisfaits (- 1 chacun). Tous les ministres testés perdent du terrain, mais Stéphane Le Foll (Agriculture, porte-parole du gouvernement) abandonne 9 points à 38 % de satisfaction et Emmanuel Macron (Économie) autant à 31 %.

Juppé au top

Alain Juppé est tout seul en haut du palmarès des autres leaders politiques, avec 54 % de Français satisfaits (+ 1). Il devance de 11 points le président du MoDem François Bayrou (43 %, - 1), talonné par l'UMP Bruno Le Maire (41 %, + 1). Nicolas Sarkozy voit son taux de satisfaction fondre de six points, à 33 %, par rapport à septembre, mois au cours duquel il est entré en piste pour la présidence de l'UMP. Marine Le Pen perd cinq points à 30 %.
L'étude a été réalisée par téléphone du 6 au 8 octobre auprès de 1 023 personnes représentant la population française de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

http://www.lepoint.fr/politique/sondage-hollande-en-baisse-valls-stable-12-10-2014-1871712_20.php

Marine Le Pen : "Je suis pour la suppression" de l’écotaxe

Assurance chômage : Cambadélis recadre Macron

"La gauche a quelques totems". Les propos d'Emmanuel Macron favorable à une réforme de l'assurance chômage, risquent d'être abondamment commentés au Conseil national du PS, qui se tient dimanche à Paris. Le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a recadré le ministre de l'Economie en lui rappelant que François Hollande avait tranché la question d'une réforme de l'assurance-chômage. "La gauche n'a pas de tabous mais elle a quelques totems, en particulier le fait que quand le président de la République s'exprime, les ministres appliquent ", a déclaré le député à son arrivée au conseil national du PS. Est-ce une fin de non recevoir à ce chantier? "Absolument", a tranché Jean-Christophe Cambadélis.
"On ne peut pas en rester là", dit Macron. Le patron de Solférino réplique ainsi à Emmanuel Macron qui, dans le JDD, a jugé qu'il ne devait "pas y avoir de tabou ni de posture" sur l'assurance-chômage, en plein débat à gauche sur l'opportunité de débattre du montant et de la durée des allocations. "L'assurance-chômage est en déficit de 4 milliards d'euros", argumente le ministre. "Quel responsable politique peut s'en satisfaire ? Il y a eu une réforme, elle est insuffisante. On ne pourra pas en rester là. C'est aux partenaires sociaux qu'il appartient de faire avancer les choses".
Une dissonance entre Valls et Hollande. Cette forte prise de position intervient trois jours après que François Hollande eut assuré à Milan, à propos d'une réforme de l'assurance chômage, qu'il y avait "suffisamment de sujets pour que nous soyons bien occupés et que nous montrions que nous faisons des réformes utiles à l'emploi". La déclaration du chef de l'Etat avait été interprétée comme un recadrage de propos rapportés par Manuel Valls. A Londres, le Premier ministre aurait déclaré que la question du montant et de la durée de l'indemnisation chômage en France devait "être reposée".

vendredi 10 octobre 2014

Les missions de Pierre Moscovici - L'édito de Christophe Barbier


Les missions de Pierre Moscovici - L'édito de... par LEXPRESS

Ségolène Royal au sujet des portiques installés: "On va regarder comment cela se passe"

L'expresso du 10 octobre

Alain Juppé a dénoncé "l'amateurisme et l'improvisation permanents" de l'exécutif, illustré selon lui par le report de l'écotaxe. "On a le sentiment que la France n'a plus de gouvernement. On ne voit plus dans quelle direction on veut aller", a déclaré l'ex-Premier ministre sur Radio Classique.

Le soutien

Edouard Philippe, le député-maire du Havre et très proche d'Alain Juppé, apporte son soutien à la candidature de Bruno Le Maire à la présidence de l'UMP. Selon lui, il y a "trois candidats de grande valeur. Hervé Mariton est un candidat très actif, connaissant bien ses dossiers, avec lequel je ne suis pas toujours d'accord mais que j'aime bien. Nicolas Sarkozy a l'énergie, les qualités et les défauts qu'on lui connaît. Et Bruno Le Maire s'est lancé dans cette campagne avec beaucoup de sérieux et d'énergie, en portant un vrai projet pour le mouvement. Je le soutiendrai", dans une interview vendredi au Figaro.  Quant à Alain Juppé, candidat à la primaire UMP pour 2017, l'élu estime qui est "le mieux à même de rassembler les Français et, dans une période complexe, de remettre notre pays en ordre de marche".

La colère

"La commission Juncker est une commission perverse, on a mis partout des gens qui ne correspondent pas aux rôles", a déploré Eva Joly, sur i-Télé.

La critique

Cécile Duflot s'est dite "très surprise" du report de l’écotaxe et considère que c'est une "erreur absolument désastreuse". Selon l'ex-ministre, c'est aussi "très symbolique que ça soit fait en même temps que la loi sur la transition énergétique. Sur RTL, elle a pointé un "problème de courage politique". "Il y a les mots (...) dès qu'il s'agit de passer aux actes il n'y a plus personne, il y a une main droite qui parle et une main gauche qui défait".

Le retour

Jean-Marc Ayrault est sorti de son silence. L'ex-Premier ministre a adressé un courrier à Manuel Valls pour critiquer les budgets trop limités attribués selon lui à la Région Pays de la Loire et à Nantes. Le député de Loire-Atlantique y fait part de son "étonnement devant la faiblesse des enveloppes attribuées aux Pays de la Loire" dans le cadre du futur contrat de projets Etat-Région 2015-2020, rapporte Presse-Océan. Selon Jean-Marc Ayrault, la "cinquième région française en terme de population et de PIB", est "clairement défavorisée par rapport à ses voisines puisqu'elle reçoit 96 euros/habitant contre 145 euros/habitant pour la Bretagne et 252 euros/habitant pour le Poitou-Charentes", région de Ségolène Royal.

La proposition

Dans Les Echos, Xavier Bertrand, candidat aux primaires pour l'élection présidentielle de 2017, propose d'instaurer un "contrat de droit privé" pour les nouveaux fonctionnaires. "Je propose que pour tous les nouveaux entrants, le statut de fonctionnaire ne soit conservé que pour les fonctions régaliennes. Pour les autres, je propose un contrat de droit privé, et non un contrat de cinq ans", a-t-il expliqué.  L'ex-ministre souhaite aussi un "droit d'option" : "Soit les fonctionnaires gardent leur statut et leur salaire actuels, soit ils renoncent à leur statut moyennant des augmentations de salaire de 20%. Voilà qui peut intéresser nombre d'infirmières par exemple".
 

Alba Ventura : "Quand Delphine Batho sulfate François Hollande"


Alba Ventura : "Quand Delphine Batho sulfate... par rtl-fr

Cécile Duflot : l'abandon de l'écotaxe est "une erreur désastreuse


Cécile Duflot : l'abandon de l'écotaxe est "une... par rtl-fr

Alain Duhamel : "Du socialisme en France, il ne reste que les socialistes"


Alain Duhamel : "Du socialisme en France, il ne... par rtl-fr

jeudi 9 octobre 2014

La chasse à Sarkozy est ouverte


Jeudy politique : la chasse à Sarkozy est ouverte par lejdd

Jeudy Politique : Valls, Matignon en 2014 ou Élysée en 2017?


Jeudy Politique : Valls, Matignon en 2014 ou... par lejdd

Écotaxe : pour NKM, Ségolène Royal "assassine" l'écologie

L'ancienne ministre de l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) a jugé jeudi dans un tweet que son homologue actuelle Ségolène Royal "assassin(ait)" l'écologie en abandonnant l'écotaxe. "Par manque de courage, Ségolène Royal tue l'#écotaxe et assassine l'écologie", a-t-elle réagi sur Twitter, après l'annonce par Ségolène Royal de la suspension sine die de la mesure impulsée en son temps par NKM. L'écotaxe, qui devait initialement entrer en vigueur en juillet 2013, a été repoussée à deux reprises avant d'être suspendue puis remplacée par le péage de transit. Celui-ci devait être mis en place au 1er janvier 2015, mais avait été repoussé aux premiers mois de 2015.
Le sénateur centriste de Paris Yves Pozzo di Borgo a lui aussi regretté jeudi sur Twitter la reculade de Ségolène Royal. "Quelle faiblesse ce gouvernement ! Supprimer l'écotaxe. Les réformes sont impossibles." Le conseiller de Paris UMP Jérôme Dubus, également délégué général du Medef Ile-de-France, s'en est au contraire félicité. "Suspension de l'écotaxe, une très bonne mesure pour l'économie, il n'y a plus que certains élus de droite qui soutenaient cette taxe inique." Lors du dernier Conseil de Paris en septembre, le groupe UDI-MoDem et le groupe UMP présidé par Nathalie Kosciusko-Morizet s'étaient prononcés pour la mise en place du péage de transit sur le périphérique, conformément au dispositif gouvernemental.
http://www.lepoint.fr/politique/ecotaxe-pour-nkm-segolene-royal-assassine-l-ecologie-09-10-2014-1870928_20.php

Valls et Aubry s'affichent ensemble à Lille

l'expresso du 9 octobre

Cinq mois après sa démission forcée de la présidence de l'UMP, Jean-François Copé, en pleine traversée du désert, ne renonce pas à ses ambitions. "Je suis prêt. 2017, ça va être très difficile, mais j'ai encore un petit espace pour y arriver…", a-t-il répondu en août à un élu qui le questionnait sur son repos, rapporte Le Parisien. Le journal précise que si 2017 ne marche pas, il pense déjà 2022. Jean-François Copé a pour l'heure réactivé son club Génération France et tiendra chaque semaine un rendez vous dans son bureau avec une vingtaine de députés pour parler "actualité et débattre des sujets de fond", selon un partisan.

Le soutien

Après le père, la fille. Alain Juppé engrange les soutiens. Dans Le Nouvel Observateur, Claude Chirac plaide pour le maire de Bordeaux qui est, explique-t-elle, "le choix de l'évidence" pour "les Chiraquiens". "Nous sommes d'accord sur l'essentiel", ajoute-elle. Claude Chirac n'exclut pas non plus de s'engager personnellement en 2017. La semaine dernière, Jacques Chirac avait apporté son soutien à son ancien Premier ministre dans la course à la prochaine présidentielle.

Le démenti

Alors que RTL annonce une hausse du prix du tabac de 30 centimes d'euro en janvier prochain, Marisol Touraine n'a pas confirmé l'information. Si la ministre de la Santé a rappelé sur i-Télé qu'elle avait déjà évoqué une hausse probable du prix du tabac au mois de janvier, elle assure cependant que son montant n'est pas connu "à ce jour".

La position

Marine Le Pen s'est déclarée hostile à une réforme de l'indemnisation du chômage. La présidente du Front national y voit un nouvel usage du "logiciel d'austérité" qui est à ses yeux "mortel". "C'est toujours le même logiciel", celui de "l'austérité, toujours plus d'austérité". "On sait qu'il est mortel pour l'économie et qu'il est la conséquence de ce chantage sur la validation de notre budget" par la commission de Bruxelles, a-t-elle déclaré sur RTL. "Je suis attaché à notre système de protection sociale car c'est un progrès", a-t-elle encore insisté refusant que la France connaissent le "drame" de l'Espagne et de la Grèce.  

L'annonce

Il n'y a en France "aucun cas de malade du virus Ebola" et "aucune personne surveillée" pour des symptômes liés au virus, a annoncé la minsitre de la Santé. Elle a aussi évoqué le cas de l'infirmière de Médecins sans frontières touchée par Ebola et rapatriée en France. Elle est désormais "guérie" et fait l'objet d'un "suivi médical extrêmement régulier quelques semaine le temps de sa convalescence". Marisol Touraine a également expliqué qu'elle était favorable aux contrôles des individus au départ, dans les aéroports des pays touchés et espère qu'ils seront renforcés.
 

Politique Première : Valls et Hollande sont-ils en désaccord sur la réforme de l'assurance-chômage ? - 09/10


Politique Première : Valls et Hollande sont-ils... par BFMTV